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Hugo "Ché" Vez Fils de l’Homme ? (video)

par Gére animaux

Publie le mercredi 18 juillet 2012 par Gére animaux - Open-Publishing
1 commentaire

Quelle joie de voir le Bonhomme dans une telle forme ! L’Empire (le pire du pire) peut s’attendre au Pire...


Messages

  • il parait ,aussi... selon moi, que l’été, quelques trolls se glissent ici pour cacher leur pétoche bobo face à des hommes qui ne sont plus, en Amérique latine , les laquais de l’impérialisme !
    Ainsi fleurissent les "Cuba Si, Castro NO" cher à Fabius et RSF, la dénonciation du "Caudillo" Chavez , la cruauté des frères Castro, la mégalomanie d’Evo Moralès etc etc..

    Certes ces p’tits bourges qui voient Staline et les tchékas derrière tout ce qui bouge et globalement, va dans le bon sens d’un affaiblissement de l’impérialisme, ont ,face à eux pour le duo de la Bétise, des rigolos qui par ailleurs , se déguisent en Régis DEBRAY -sans la participation à des guérillas certes- et pondent de la connerie brosse à reluire de Chavez, à faire se gondoler !

    Exemple : notre CHE à nous, pas Caudillo mais godillot dela Soc dem, malvenu chez les Ch’tis , et replié en méditation citoyenne dans les maquis ....du Parlement Européen...
    Il a fumé de la colombienne avant d’arriver chez Hugo..IL a "craqué", son style sent bon l’Eluard des années 50, l’Aragon du "culte" , bref tout ce qui prouve que l’intelligence humaine est fragile....

     :))

    http://www.jean-luc-melenchon.fr/2012/07/16/no-volveran/

    Ce que j’ai vécu sur place, à Barquisimeto, m’a confirmé cette intuition de la dialectique du rationnel et du sensible dans la production du message politique. Ce qui nous attendait à l’arrivée, la télé le nommait « l’ouragan Bolivarien ! » pour intituler les images qu’elle donnait à voir.

    Un ouragan en effet ! Sur les trois kilomètres du trajet une foule compacte hurla sans discontinuer à mesure que les camions sur lesquels nous étions installés avançaient. Le rassemblement commença aux portes mêmes de l’aéroport, ce qui n’était pas prévu. Les véhicules du cortège ont donc fendu la foule au pas, entourés d’un impressionnant double cordon de militants qui protégeait autant le passage que les gens qui se précipitaient sur les voitures. Suffoqués par l’effort, ruisselants sous le soleil des Caraïbes, ils tinrent bon leur part de tâche ! Je voyais sur leurs jeunes visages la lumière que j’ai vue sur celui de mes camarades, filles et garçons qui ont fait cet exercice à Strasbourg, à Paris, et à combien d’autres endroits encore ! Puis on descendit des voitures et on monta sur le toit des bus qui avaient été postés face à un podium d’accueil, à cet instant totalement submergé. Commença alors le parcours. Ce fut comme un ailleurs de tout ce que j’ai connu. Jamais je n’ai vu telle ferveur politique se concentrer de telle façon dans les corps et les visages. A mi-chemin je m’aperçus que j’avais le visage en larmes

    A pleurer, !

    Tout ça pue la branlette citoyenne, ça sonne faux, c’est " Peponne au mausolée" qu’aurait joué de Funés.. mais moi, je dois être un peu timbré, ça me fait rire !

    Bonne journée

    A.C