L’occident en décadence

Quand on pense que Bill Clinton a fait face à des mesures de destitution par rapport à des faits concernant sa vie privée, il est étonnant de voir que de telles mesures n’ont jamais été prises contre les président et vice-président actuels des États-Unis quand il semble prouvé qu’ils ont initié une guerre sous de faux prétextes en Irak.

De plus, presque 6 ans plus tard, les soupçons pèsent toujours sur l’administration américaine à propos du 11 septembre 2001. Même si le gouvernement américain n’a pas organisé ces attentats, beaucoup de commentateurs pensent qu’ils ont peut-être intentionnellement laissé faire.

La population américaine ne semble pourtant pas vouloir aller au fond de ces choses, pourtant fondamentales pour la simple survie de la démocratie. Plusieurs y voient un signe de décadence. Aussi, le fait que les électeurs de plusieurs pays d’occident ont fait le choix lors d’élections récentes de politiciens proches de cette administration américaine montrerait que la décadence s’étend à l’occident en général.

Lorqu’une population s’éloigne de cette mission humaine d’apporter du bonheur aux autres et de faciliter la vie aux autres pour se replier strictement sur son bonheur personnel, c’est en effet le signe d’une décadence.