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LE DÎNER DU CRIF : "Si Dieu n’existe pas tout est permis"

Publie le dimanche 8 mars 2009 par Open-Publishing
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Ainsi le dîner des pousse-aux-crimes a vu défiler tout ce qui compte en hommes politiques, en dignitaires musulmans et chrétiens, en écrivains ou chanteurs pro-Israéliens venus faire allégeance aux cheval de Troie d’Israël, le CRIF.

Cette institution dénonce à juste titre les actes antisémites dont cette communauté est victime même dans de modestes proportions en regard de ceux dont sont l’objet les musulmans au point que dans les années 1980, des journalistes italiens avaient mené et publié une enquête terrible sur "l’arabicide en France". Si mon souvenir est exact, ces auteurs avaient relevé la mort de deux cents arabes en quelques années sans que ce document suscitât l’émotion qu’on était en droit d’attendre.
Il ne s’agissait pas là de graffittis, d’insultes où de heurts entre bandes rivales mais d’hommes assassinés parfois tués, dans des conditions troubles, par des fonctionnaires de police et des racistes invétérés nourris au petit lait de l’Algérie colonisée, martyrisée avant de se soulever contre le statut de l’indigénat et de recouvrer par la lutte armée la dignité perdue 132 ans durant.

Le CRIF place Israël au-dessus de tout et l’exonère des obligations humaines universelles dont une procède du Judaïsme "Tu ne tueras point".

En l’oubliant, le CRIF importe le conflit Israélo-Palestinien en France et participe à la communautarisation de la France en pesant sur sa politique extérieure, par son soutien inconditionnel à Israël y compris en prenant en ôtage la population française d’origine juive en la désignant à "95% derrière" le carnage de Gaza, l’un des pires commis par un pays prétendûment civilisé.

Par delà le bien et le mal,là où le Crif se situe, il approuve l’usage de phosphore blanc dans des zones civiles densément peuplées, les bombes à uranium 238 appauvri et autres armes expérimentées sur les cobayes humains que constitue la population palestinienne ; mais aussi 1300 tués (1/3 d’enfants, de nourrissons) et 5000 blessés dont beaucoup ne survivront pas faute de soins adéquats.

Alors ? Le CRIF justifie l’indicible dans le pays de Voltaire, de Rousseau, de Robespierre, de St Just, de Louise Michel grâce aux combats desquels la citoyenneté du juif fut reconnue.

Emile Zola prit le risque de se dresser en faveur de ce juif Dreyfus condamné à tort pour trahison, puis réhabilité grâce à la mobilisation d’intellectuels au nom des valeurs qui fondent nôtre république et à la disparition desquelles le Crif travaille.

Ces valeurs de laïcité et d’humanisme sont remis en cause par cette officine d’Israël qui fait courir un grand danger pour la république, pour la la France et pour nos compatriotes d’origine juive, musulmane et chrétienne.

La prédiction de Dostoïevski " Si Dieu n’existe pas tout est permis", le Crif l’a fait sienne.

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