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LE VATICAN LAVE PLUS BLANC… GRÂCE À LA MACHINE À LAVER !

Publie le lundi 9 mars 2009 par Open-Publishing
4 commentaires

PERSIF(F)LAGE
La politique de l’humour ou l’inverse
cf tribune de geneve

09.03.2009
LE VATICAN LAVE PLUS BLANC… GRÂCE À LA MACHINE À LAVER !
Une toute petite attention à toutes les vraies femmes de la planète !

Selon le Vatican : Grâce à « Confessionnal® » et « Baptême® », les taches, même originelles, disparaissent !

Selon le Vatican toujours : Grâce à la machine à laver classique, une très lourde tâche féminine disparaît !

Les femmes -ces êtres inférieurs qui n’ont une âme que depuis peu- ont d’autres tâches à assumer : Celles qui demandent à ce que soit suivi le précepte de « croissez et multipliez », mais ne « croassez » pas ! Taisez-vous !... Le plus difficile ?

Même si le Vatican a accordé une âme aux femmes, la qualité de cette âme n’est pas la même que celle des hommes ! Cette « connerie » est certainement parfaitement exacte ! La preuve ?... C’est un « Monsignore », Wojciech Giertych, théologien proche du pape qui, benoîtement, le dit ! il est donc aussi possible de dire que c’est une « sous-pape » qui a lâché ! Lâché une incongruité !
 http://www.lematin.ch/actu/monde/ho...

Il est pourtant une « souillure » que les Princes de l’Église ne peuvent ni ne veulent laver dans « Confessionnal® » : celle de l’avortement !... Même dans le cas où l’avortée n’a que neuf ans, qu’elle est enceinte de jumeaux par la « grâce » de Dieu et surtout du viol perpétré par son beau-père, avec, de plus, de très importants risques de mourir en couche… Pour les Huiles (Saintes ?), rien n’y fait ! Ils excommunient aussi bien la presque future Grand-maman qui a demandé ce « sacrilège », que l’équipe de médecins qui ont pratiqué l’intervention !

Au passage, vous remarquerez que le Magnifique Salopard de Beau-Père pourra, lui, continuer à faire partie de l’Église ! Après avoir passé dans la « machine à laver », le « simple » pécheur sera à nouveau sans taches ! … Quel Génie !... Pas « Lavabo », mais « Cuvette de chiottes » !

… Et pendant ce temps, sur ce même site, une femme (une vraie ?) répand la bonne parole sous le titre de « PS 139 » !
 http://ps139.blog.tdg.ch/archive/20...

C’est en raison de « trucs » pareils qu’il est indispensable qu’une « Journée Internationale des Femmes » existe !

 http://peresiffleur.blog.24heures.c...

Messages

  • Le pape et sa jeunesse hitlerrienne,qui rehabilite les monseigneurs,qui sont des saigneurs.Qu’attendre de ces gens la !momo11

  • das reich benoit XVI a encore frappé au brésil !
    il est urgent de lui crier : vade retro satan ensoutané !

  • Les femmes -ces êtres inférieurs qui n’ont une âme que depuis peu-

    La culture entretient des rumeurs parfois infondées. Rumeurs aux sources lointaines, rumeurs "opportunes" pour certains ... pour justifier ce qui les arrange, leur misogynie par exemple !
    Quelques éléments glanés dans un article documenté démentent que cette question « Les femmes ont-elles une âme ? » ait été à l’ordre du jour d’un quelconque débat théologique dans l’histoire de l’Église catholique.

    "Selon une légende, un concile aurait débattu de cette question : « Les femmes ont-elles une âme ? » En fait, lors d’un synode provincial (Mâcon 585), un assistant protesta qu’une femme ne pouvait être appelée homme. Les évêques répondirent, en citant la Genèse : « Au commencement Dieu créa l’homme, il les créa mâle et femelle et leur donna le nom d’Adam ou homo terrenus, homme de la terre. L’épouse fut donc désignée comme le mari et tous deux furent appelés homme. » De même, le Christ est dit Fils de l’homme bien qu’il soit né d’une femme, car le mot femme est entendu ici au sens génétique, mais la protestation mal traduite donna « une femme ne peut être appelée créature humaine ».

    « Sinon comment aurait-on pu vénérer la vierge Marie dès les premiers siècles du christianisme et baptisé des femmes qui n’auraient pas d’âme ? Cette rumeur fait partie de celles qui ont été véhiculées à partir du siècle des Lumières, où la bonne foi n’était pas forcément de mise, d’un côté comme de l’autre d’ailleurs. Elle prend sa source dans un épisode de L’Histoire des Francs de Grégoire de Tours. Celui-ci raconte que lors du synode de Mâcon, en 486, l’un des participants avait, en jouant sur les termes homo et vir, insinué qu’on ne pouvait assimiler la femme à un être humain (grosso modo : homo et vir étaient selon lui équivalents). Il fut aussitôt contredit par les évêques présents.
    A partir de là on a imaginé un soit disant débat qui aurait animé l’Église pendant des siècles... » »

    « L’âme ou la raison des femmes : Les femmes ont-elles une âme ? Du point de vue théologique la question ne fut jamais sérieuse. Du point de vue politique elle le devint lorsqu’il s’est agi d’accepter que les femmes soient ou non des sujets civils : l’âme était alors devenue une métaphore de la raison. Cette question sera examinée à partir de quelques textes du XVIIIe siècle (lois, Encyclopédie, Diderot). »

    « Bien sûr que non, les femmes n’ont pas d’âme ! Demandez à Descartes ! Et ce n’est pas du tout une question de religion, du moins catholique.
    Elles ne peuvent pas plus en avoir que les Nègres, et pour les mêmes raisons : parce que l’homme (masculin) ne pouvait, dans les siècles passés (espérons que c’est différent, maintenant, mais... voire !) tenir debout que s’il les exploitait, les confinait, et les écartait de toute décision économique ou politique. Voyez Caton (234-149 av. JC) : « Ne donnez aucun droit aux femmes, car sitôt qu’elles seront vos égales, elles vous seront supérieures. » Voltaire, qui n’était pas un esprit si éclairé que ça, pensait certainement de même. [...] L’âme ou la raison des femmes si contestable(s) n’a rien à voir avec la religion catholique, du moins dans son principe évangélique. Elle a TOUT à voir avec des hommes au pouvoir, ou des théoriciens du pouvoir (comme l’ont été de nombreux « philosophes »).

    Source : citations > La question de l’âme des femmes par Christophe http://www.weblettres.net/spip/article.php3?id_article=424

    Cette autre page * semble accréditer cette conclusion que l’origine de cette rumeur est récente et que l’Église catholique n’a rien à voir avec cette controverse imaginaire. De plus, comme à l’époque de ce synode de Maçon en 585 les clercs avaient le droit de se marier, il est un peu difficile de penser que l’Église aurait pu se prononcer sur un statut de la femme différent par Nature de celui de l’homme. La séparation des genres qui aurait pu affecter une éventuelle controverse théologique sur les qualités essentielles de la femme n’apparût que bien plus tard avec le pape Grégoire VII (1073) qui institua le célibat ... pour bien d’autres raisons.

    "Ainsi, les femmes occupent une place importante au Moyen Age, ayant des droits comme celui d’être maître, de voter dans de nombreux cas et être éligible (!) etc...Une large gamme de métiers leur sont accessibles, mais leur droits vont leur être peut à peu retiré dans les siècle à venir.Le Moyen Age restera donc une période particulièrement faste pour les féministes, et il faudra de nombreux siècle et de nombreux combats pour peu à peu revenir à ce statut, puis, (heureusement tout de même que nous n’en sommes pas restés là) le dépasser..."
    * http://simonedebeauvoire.centerblog.net/1569058-La-femme-au-Moyen-Age

    • Le Vatican et la machine à laver, les 50 ans de la poupée Barbie. Triste semaine.

      Je me souviens d’avoir eu une poupée Barbie, elle avait de petites ballerines noires, un rouge à lèvres et un petit peigne minuscules, à glisser dans un sac à mains noir tout aussi petit. Dans les années 1970, de quoi Barbie aurait-elle eu besoin de plus ?

      Je me souviens d’avoir été émue en regardant le magnifique documentaire de Virginie Linhart, « 68, mes parents et moi », partie à la rencontre de ses frères et sœurs de mai 68, Nathalie Krivine, Samuel Castro, Mao Peninou, tous nés de parents militants et intellectuels engagés, maoïstes, trotskystes, etc, dont certains ont sacrifié leur vie professionnelle et personnelle au service d’un idéal révolutionnaire. Leurs parents fumaient, vivaient en communauté. Robert Linhart, le père de Virginie, normalien, fondateur de l’Union des Jeunesses Communistes, partit travailler chez Citroën comme ouvrier. Il raconta L’établi. Ses parents avaient des choses plus importantes à faire que « s’occuper d’elle »…

      Aujourd’hui, les filles de 1968 ont quarante ans. Une génération de filles. Même âge, même époque, et pourtant, quelle mémoire collective à partager ? Peu de souvenirs, de livres d’enfants, peu de comptines. Autre autorité, autre famille, autre éducation, des histoires individuelles confrontées à l’Histoire, pour les unes… ou si peu, pour les autres. Virginie et ses sœurs de 68 ont grandi dans un monde sans Barbie, interdite par leurs mères féministes. Qu’elles en soient rassurées, elle n’ont rien raté… Pourtant, à regarder en arrière ces années passées, un fil commun nous relit : mai 1968. Grâce à l’histoire des unes, Virginie, Nathalie et les autres, aux passions de leurs mères, le cours de l’Histoire a pu changer pour les autres.
      Plus que la machine à laver !

      http://labetiseeconomique.wordpress.com