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La CGT nous la défendons

Publie le mardi 10 juin 2008 par Open-Publishing
23 commentaires

Pourquoi avoir retirer l’information sur la position de la Confédération CGT ;

Vous auriez du comprendre que le but de cet information n’était

pas de salir la CGT ,bien au contraire en tant qu’ adhérent

de la CGT ,je suis comme bon nombre de cégétistes qui s’expriment

ici très attaché à mon organisation et ceci depuis 1967

Cette information n’avait d’autre but que de chercher à savoir la

vérité sur l’attitude de la Direction Confédérale aujourd’hui

Nous ne voulons pas etre de petits soldats que l’on mène à

l’aventure .

Et si les informations que donnent B.<> ,s’avèrent exactes

cela est très grave et nous devons savoir la vérité ,pour moi comme

pour d’autres cégétistes c’est de l’avenir de notre organisation dont

il s’agit

Pour rappel ,n’oublions pas que Sarkozy a invité au restaurant les

Dirigeant des différentes organisations syndicales dont la CGT.........!

Un Cégétiste en colère

Messages

  • faites iech avec les articles pouraves de bakchich !!

  • Moi aussi j’aime la CGT,pour autant si cela s’avere exact c’est ecoeurant.Le réformisme de la conf va aller jusqu’ou ?Déja les accords cfdt,merdef et cgt,les frr,les abandons multiples dictés par ce réformisme puant,alors la suite.....fraternellement momo11

  • On s’en tappe, c’est la base qui doit dicter à la direction ce qu’elle veut !

    C’est pour cela qu’elle descentd massivement dans la rue, pour que Thibault transmette juste à Sarkozy et son gouvernement ump ce que veulent les salariés. C’est pas la peine de chercher des poils sur les oeufs, même si certains pensent que les directions syndicales tendent à réfréner la colère des salariés qui souhaitent de plus en plus une grève reconductible dans tous les secteurs d’activité et en même temps ! D’ailleurs il y a des piquets de grève dans pas mal d’entreprises, mais les médias n’en soufflent mot ou si peu !

    Après tout, si la base trouve que ça va pas dans le sens qu’elle souhaite, qu’elle se prenne en charge, suscite des coordinations entre syndicats ouvriers pour une action commune d’envergure. Quand leurs intérêts sont touchés, les étudiants savent faire, alors pourquoi pas les salariés !

    Et Sarko l’aura dans le ..., il pourra toujours soudoyer, draguer qui il veut, mais pas le peuple qui aura le dernier mot dès qu’il le décide ! Tout est mis en place par le pouvoir pour que ça pète sérieusement : ce site détient le record d’infos qui montrent et démontrent aussi que les intérêts de notre classe ouvrière sont attaqués, rognés jusqu’à nous mettre à poils ou en état d’esclavage si nous laissons faire ! Et Bruxelles n’est pas pour rien non plus ! Pourvu que les IRLANDAIS ne se laissent pas prendre au piège des fausses promesses et des discours trafiqués !

    • "c’est la base qui doit dicter à la direction ce qu’elle veut !"

      Tout à fait exact ! C’est la base du fédéralisme ! Et surtout quand on engage l’avenir du syndicalisme

      Mais en l’occurrence, pour signer la position commune du 9 avril, la "base" n’a même pas été consultée, pas même correctement informée, la charte de la vie syndicale a été bafouée

      A ce propos, nous sommes le 10 juin et mon syndicat n’a toujours pas reçu la "position commune" : c’est une première !

      Je ne sais pas s’il y a des "vérités à cacher", et je ne goute pas les procès d’intention (encore moins de corruption) , mais notre direction confédérale prend la même pente graisseuse que la CFDT : l’accompagnement du capitalisme

      Lire pour comprendre "Qu’est ce que la CGT", Bernard Thibault, éditions de l’Archipel

      un passage qui en dit long (il y en a bien d’autres exemples) sur les abandons successifs voulus, préparés par la direction confédérale

      il sait que les conservateurs du parti communiste, qui sont aussi les conservateurs les plus virulents de la CGT, sont regroupés dans l’association « Continuer la CGT ». Pour eux, la confédération doit, d’abord et avant tout, « rester une organisation syndicale de lutte des classes ».

  • Pourquoi avoir retirer l’information sur la position de la Confédération CGT

    c’est une info de Bakchich, pas de la CGT !

  • Gerard alias "nazairien"

    sur notre site on a decide de plus publie des article de B. cet site s’avère être un site de droite sur de apparence contestataire voir "poujadiste"... aucun confiance et aucun pub pour cet site...

    Entre autre on applique la réciprocité, çà donne que dans cet site on peux pas publie notre article donc pas question de faire "profite" de notre espace libre et de la "publication ouvert" a sens unique...

    Donc on peux publie la même information par des source différent et plus fiable, merci.

    Pour Bellaciao
    Dr Furioso

    • JE n’ai jamais eu une foi infini dans ce site ,J’ai transmis cette information

      en précisant bien ,"si tout cela s’avère exact" ( au conditionnel donc )

      car je m’interroge beaucoup

      Dorénavant je tiendrais compte des recommandations faites par Bellaciao

      Je n’y avais pas fait attention auparavant

      Fraternellement

    • d’autant plus que Gérard dit "Cette information n’avait d’autre but que de chercher à savoir la vérité "

      et il compte sur Bak... pour connaitre la vérité ?!

      mort de rire !

    • "si tout cela s’avère exact"

      « Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose » (Beaumarchais)

    • Thibault qui se précipite à l ’Elysée au secours de Sarkozy la veille de

      l’action des cheminots et qui de ce fait torpille leur mouvement :

      C’est de la calomnie

      La confédération qui appose sa signature au bas d’ un texte très contesté

      sans avoir consultée sa base

      C’est de la calomnie

      Leduigou qui siègent dans des organismes en compagnie de nos

      ennemis de classe

      C’est de la calomnie

      Et pour un cégétiste c’est tout cela qui devrait vous inquiéter

    • Moi je suis cheminot,en grève,et pas torpillé !

      Fais attention à ce que tu dis car c’est toi,en racontant des salades cueillies dans des jardins de merde,qui va passer pour une torpille.

      LE REBOURSIER

    • Je comprend pas trop ?la CGT ne doit plus sieger dans les organismes sociaux parce que les patrons y sont ?

      Dans les boites les patrons il faut plus y aller ?ça c’est une bonne idée plus personne y va on appele ça la gréve et dans les organismes ça se passe beaucoup mieux pour les intérêts des salariés !

      Sans rire !

      JCG

  • Pas bien compliqué d’aller sur le site de la CGT : http://www.cgt.fr/

    On n’est jamais mieux servi que par l’original.

    Quand aux délires des "militants" du clavier c’est "du vent du bout des doigts" mais pour le contenu (nouveau statut du salarié, démocratie sociale...) et les méthodes (pour gagner plus il faut lutter plus et se syndiquer + CGT bien sur)
    surtout n’en dites rien, car c’est la CGT la vrai.

    Pas les élucubrations de ceux qui ont sur d’avoir raison tout seul et ne parle que de cela. J’ai raison jai raison je suis sur davoir raison....

    UNIS POUR LES REVENDICATIONS NOUS SOMMES UNE FORCE EXTRAORDINAURE....

    • Leduigou qui siègent dans des organismes en compagnie de nos

      ennemis de classe

      C’est de la calomnie

      C’est celà, Nazairien ! Et mon cul c’est du poulet ? Le Duigou fait -entre autres - partie d’un think tank très libéral fondé par Jean Peyrelevade : Confrontations Europe. Avec son ami Michel Rocard.

      Cherche sur gougueule et tu trouveras...

      J’en ai un peu marre qu’à chaque fois que l’on pointe les dérives d’une organisation à laquelle on est très attaché parce qu’il s’agit, à la base, d’une organisation ouvrière et démocratique, chaque fois qu’on râle parce que les dirigeants prennent des décisions incompréhensibles pour la base, on se fait traiter en ennemi et accusé de "faire le jeu de la droite". Un peu facile de faire la mouche du coche.
      Mais bon, il y aura toujours des moutons pour dire amen à toute et pour s’aplatir systématiquement devant la hiérarchie.

    • Le lobby oui-ouiste fondé par Le Duigou et des patrons sur le net au milieu de la figure :

       http://www.confrontations.org/spip....

      "Fondée en 1991 par Philippe Herzog, Jean-Pierre Brard, Jean-Christophe Le Duigou, Jean Peyrelevade et Michel Rocard, l’association Confrontations Europe est devenue un réseau de citoyens et d’acteurs européens de sensibilités et d’horizons divers de plusieurs pays d’Europe. Elle n’est liée à aucun parti politique."

      Le conseil de direction se réunit trois fois par an. Il est composé de Jean-Paul Bailly, Michèle Debonneuil, Jacky Fayolle, Claude Fischer, Jean Gandois, Marcel Grignard, Philippe Herzog, Alain Lamassoure, Jean-Christophe Le Duigou, Jacques Maire, Francis Mer, Michel Pébereau, Jean Peyrelevade, Franck Riboud, Jean-François Trogrlic."

    • Si vous me permettez, hier soir aux infos, Thibeault et Chérèque ont été reçu par Copé et d’autres parlementaires pour discuter de la signature sur le dossier de la "représentativité syndicale". j’ai noté qu’à la sortie en arrière plan Copé faisait une sale tronche et devant les micros Thibeault et Chérèque ont reconnu devant les micros que l’état leur avait tendu un piège, puisqu’il ne tient plus compte des engagements, ni de la parole donnée. Les deux hommes ont demandé un délai de réflexion de 6 mois sur le dossier, ce qui a été refusé.

      Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais j’aimerais bien savoir s’il est possible que la CGT, et je suppose la CFDT, puisse faire annuler sa signature, puisqu’il y a eu tromperie dès le départ sans l’avouer de la part de l’ump ?

      J’aurais préféré que le dossier soit discuté avant tranquillement par la base, même si Sarkozy menaçait de faire passer une loi s’il n’y avait pas de réponse rapide. Il aurait fallu prendre ce risque, pour démontrer à tous les salariés où Sarkozy, Copé et le médef voulaient en venir !

      C’est inutile d’être conciliants avec le pouvoir, surtout quand on ne partage pas les mêmes valeurs ! Deux mondes nous séparent : d’un côté les paillettes, le fric à gogo dans l’oisiveté totale, et de l’autre les vaches maigres, le pot-au-lait par terre, le porte-monnaie vide malgré le "travailler plus pour gagner quoi ?" et la faim qui nous harcèle au moindre faux pas !

      On a le droit de se tromper, mais pas d’être trompé. Thibeault a raison d’avouer publiquement le traquenard umpiste lamentable dans lequel il est tombé et c’est maintenant à la base de prendre le relais pour faire bloc. Sarko-Copé ont trahi la classe ouvrière, à nous de réagir.

    • Effectivement c’est a la base de reprendre les commandes.Mais si la base avait été consultée,sans doute que le piège "grossier" aurait été évité.Alors la lutte maintenant la base réclame des mouvements plus forts et non éparpillés,sera t-elle entendue ?momo11

  • La « représentativité irréfragable » accordée en 1982 aux cinq confédérations syndicales (CGT, CFDT, CGC, FO, CFTC) désignées par l’arrêté du 31 mars 1966 n’a sans doute plus que quelques années à vivre. Personne ne pleurera dessus, hormis certaines bureaucraties qui risquent d’y perdre leurs rentes de situation.
    L’avantage exorbitant accordé à ces 5 confédérations – présumées représentatives d’office sans jamais avoir à le justifier – est une violation constante de la liberté syndicale, et de la liberté des salarié-e-s à s’affilier à une organisation syndicale n’appartenant pas à ce « Club des cinq ».

    Depuis bientôt quinze ans, la baisse de leurs effectifs et l’émergence de nouveaux acteurs (Unsa, Solidaires, FSU), a de toute façon rendu caduque leur prétention à représenter à eux seuls l’ensemble du salariat au niveau national interprofessionnel. L’État et le patronat en sont contrariés, car cela sape la légitimité même du paritarisme et du dit « dialogue social », cette entreprise permanente de pacification des conflits de classes.
    Pour redonner un sens au paritarisme, il fallait à l’État et au patronat remettre à plat l’arrêté de 1966 et les règles de représentativité syndicale. C’est dans ce but qu’avait été ouverte, en février, une négociation interprofessionnelle. Un accord majoritaire étant impossible à obtenir – les bureaucraties FO, CFTC et CGC ayant tout à perdre à la fin du décret de 1966 – le Medef, la CGT et la CFDT rendaient publique, le 9 avril, une « position commune » en faveur de nouvelles règles de représentativité syndicale dans le secteur privé – les Fonctions publiques étant encore en cours de négociation. Le gouvernement a aussitôt annoncé qu’il souhaitait s’inspirer de cette position commune pour légiférer avant l’été. Sentant la fin annoncée de leur rente de situation, certaines bureaucraties cherchent à présent à tirer leur épingle du jeu – dès le 15 avril la CGC et l’Unsa entraient en pourparlers en vue d’une fusion.

    En réalité, le sujet ne sera probablement pas traité devant l’Assemblée nationale avant les élections prud’homales de décembre 2008. D’ici là, le débat va encore agiter les milieux syndicaux et, si la fin de « représentativité irréfragable » est quasi certaine, certains critères vont encore prêter à discussion.
    Certains courants léninistes, toujours attachés à une mythique « centrale unique des travailleurs », envisagent déjà avec empressement une simplification du paysage syndical, et vont militer en faveur d’une concentration au sein de la CGT. Ces courants oublient un peu vite comment et pourquoi cette simplification qu’ils appellent de leurs vœux est également souhaitée par l’État et le patronat. Parce que, dans le contexte actuel, cette simplification consacrerait l’hégémonie du duo CGT-CFDT et que, pour le gouvernement, ce tête-à-tête serait le meilleur moyen d’aligner la bureaucratie CGT sur les pratiques de cogestion cédétistes, et de marginaliser les tendances combatives aussi bien à l’intérieur de la CGT qu’à l’extérieur (SUD).
    il ne s’agit pas de défendre les avantages menacés ou les revendications non satisfaites de telle ou telle organisation syndicale particulière. Il s’agit de se placer du point de vue des intérêts de l’ensemble des travailleurs et des travailleuses

    La « position commune » Medef-CGT-CFDT est bien un petit arrangement entre amis. Pour autant, son contenu mérite une analyse nuancée. Si ce texte passait dans la loi :

    * la représentativité irréfragable serait abolie ;
    * le droit de tout syndicat représentatif au niveau interprofessionnel ou de la branche de désigner un délégué syndical (DS) ayant pouvoir de négocier dans une entreprise de plus de 50 salariés serait supprimé. Ce n’est que s’il était reconnu représentatif dans l’entreprise qu’il pourrait désigner un DS ayant pouvoir de négocier. C’est un recul au bénéfice du patronat

    http://www.anarkismo.net/newswire.php?story_id=9012

    ceci est un condensé du danger de cette position commune à lire plus attentivement sur le site d’AL même si on est pas libertaire leur analyse conforte tous ce qu’un syndicaliste révolutionnaire peux et doit aspirer à devenir ou à être .

    pierrot