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La détresse d’un enfant palestinien dont le père est embarqué par les soldats israéliens
Publie le mercredi 4 août 2010 par Open-Publishing4 commentaires
Une caméra a filmé ces moments douloureux où un enfant de 5 ans s’accroche désespérément à son père que l’armée israélienne embarque parce qu’il a "volé" de l’eau dans la région d’Hébron.
A propos de vol d’eau, le cynisme est à son comble quand on sait qu’Israêl a détourné à son profit les eaux du fleuve Jourdain, et que les colons israéliens se font construire des piscines dans les territoires occupés, tout en privant d’eau les Palestiniens, qui ont l’interdiction de forer des puits sur leurs terres.
– http://www.youtube.com/watch ?v=VcC1sXsu6Sw
Messages
1. La détresse d’un enfant palestinien dont le père est embarqué par les soldats israéliens, 4 août 2010, 17:38
ils sont fiers les connards de tsahal ils ont des adversaires à leur mesure :gosses ,pacifistes.... leurs meilleurs créneaux , leurs meilleurs faits d’armes
2. La détresse d’un enfant palestinien dont le père est embarqué par les soldats israéliens, 4 août 2010, 21:43, par Claude Deloume
Il va être difficile de lui apprendre que l’avenir, ce n’est pas une ceinture d’explosifs, à ce môme.
3. La détresse d’un enfant palestinien dont le père est embarqué par les soldats israéliens, 5 août 2010, 20:49
dans ses action là ILS SONT SUPER BONS LES SIONNISTES ISRAEL USA
FRANCE on se régale du désespoir des plus faibles ,des plus démunis
devant des hommes en uniformes NOIRS , des ARMES ,DES MATRAQUES
QUEL COURAGE .
On ne s"étonnera point du taux de suicides dans "l’armée la plus
démocratique du monde " même les psychiatres se suicide a Tel -Avive
surtout ceux qui sont proche et qui soignent les personnes au pouvoir
c’est tout dire
1. La détresse d’un enfant palestinien dont le père est embarqué par les soldats israéliens, 21 août 2010, 12:19
Depuis que quelques femmes libanaises, ont décidé de prendre le relai de la flottille de la liberté pour briser le blocus imposé à la Bande de Gaza, les embûches fusent de toutes parts pour les dissuader de mener ce périple. Sans ébranler pour autant leur obstination à aller au bout de leur but.
Le dernier de ces obstacles est venu de la part des Chypriotes qui ont déclaré par la voix de leur ambassadeur au Liban qu’ils n’étaient pas en mesure d’accueillir le bateau Mariam.
Le motif invoqué étant que le bateau d’aides qui devrait prendre la mer dans la soirée de dimanche prochain, avec à son bord des dizaines de femmes de nationalités différentes (entre 50 et 70) pourrait « compromettre la vie de gens, la paix et la stabilité régionales ».
La décision chypriote semble avoir étonné l’un des organisateurs du voyage, Yasser Kachlak, lequel déplore un changement position à la dernière minute. Lorsque l’ambassadeur chypriote l’avait visité dans les locaux du navire il y a quelques jours, il lui avait fait part de sa compassion pour les objectifs humains du voyage.
Auparavant, des obstacles étaient dressés par les autorités libanaises, qui ont pris leur temps pour octroyer leur feu vert ; ce qui a laissé croire à certains observateurs qu’elles font l’objet de pressions exercées par certaines capitales occidentales.
Les Israéliens ayant dès la date de l’annonce du bateau d’aide dépêché des messages flamboyants via des voies diplomatiques, mettant en garde que les militantes ne seront pas les bienvenues, faisant allusion qu’elles auront un sort similaire à ceux des militants de la flottille de la liberté. Le chef d’état major israélien ayant lui aussi révélé : « nous combattons le bateau Mariam par-dessus et par-dessous la table ».
Finalement quoique les autorités libanaises ont fini par céder, elles se sont contentés d’une autorisation de voyage vers Chypre et non vers la bande de Gaza. Il incombera donc aux voyageuses d’assumer les retombées des péripéties qui pourraient survenir durant leur périple.
Mais ce n’en était pas encore fini .
Jeudi dernier, alors que la date du démarrage du navire devait être annoncée lors d’une conférence de presse dans l’enceinte du port de Tripoli, les militantes du bateau Mariam se sont vues interdire son accès.
Ce qui a laissé dire à la coordinatrice du comité des organisateurs du voyage, Mme Samar El Hajj : « il faut lever le blocus contre le port de Tripoli et le bateau Mariam, avant celui de Gaza ».
Assurant détenir tous les papiers en règle pour la conférence de presse, Mme El Hajj qui n’est pas une femme à baisser les bas, a insisté pour la tenir à l’entrée extérieure du port, soupçonnant « les mêmes personnes qui étaient derrière les cinq dernières années d’injustice infligées au pays de faire de même avec Mariam »
Sachant qu’El Hajj est l’épouse de l’un des quatre hauts officiers libanais soupçonnés et arrêtés injustement dans l’affaire de l’assassinat de l’ex-Premier ministre libanais Rafic Hariri.
« Le navire Mariam va démarrer pour briser le blocus contre Gaza, et faire face aux Sionistes, mais il semble que les Sionistes de l’intérieur sont plus nombreux que ceux de l’extérieur ;
al manar
les femmes sur le Mariam sont de touts confessions