Accueil > Le Printemps Espagnol libère une senteur de jasmin
L’Espagne n’a pas fini d’étonner le Monde, une belle démonstration de la vitalité de sa jeunesse, occupe les conversations les plus en verbes contre la crise qui affecte la « fragile Monarchie libérale » et chagrine « sa démocratie oligarchique ».
Toutes les crises ont un dénominateur commun ou un point de convergence avec le capitalisme comme père nourricier. C’est son appétit Gargantuesque et sa soif de profits qui est le fil conducteur d’un système qui génère la récurrence des crises exacerbant une problématique contradictoire qui n’a que trop duré.
Il plonge les individus, les plus faibles économiquement dans une précarité sans issus pour les tenir en prise direct, les isolant ainsi de la réalité. Tout en multipliant les aphtes d’une précarité par une pression économique et sociale. Ce qui confirme l’incapacité du capitalisme, à emprunter d’ autres chemins, différent de celui sur lequel il nous ballade depuis des lustres. S’il y a une chose que l’on peut aujourd’hui affirmer sans ce tromper c’est qu’il nous faudra sortir de la logique capitaliste ( donc en dehors du capitalisme)pour réaliser nos aspirations qui nous pressent d’aller politiquement vers une république démocratique (J’emprunte à Paco Ruiz son idée) "C’est d’une République du 21 eme siècle dont nous avons besoin " ou encore Monarchie ou République là est la question ?
Retour arrière 1936 le temps n’a rien cédé à la démocratie,40 ans de dictature puis deux systèmes deux concept de société, rythmé par une alternance qui n’en est pas une puisque seul un projet de société fonctionne, le projet libéral qui place l’argent au-dessus de l’Homme.
L’Espagne a énormément souffert mais le temps n’a pas effacé son droit d’aspirer à vivre dans une République laïc et Démocratique ? après 40 années de dictature, en finir avec la Monarchie. . Aujourd’hui comme en 1936 elle se souvient ou peut être la t’elle entendu dire ? : Qu’une autre jeunesse venue des quatre coins du Monde pour prêter mains forte à la République agressée . défilaient au cœur de la capitale espagnole en criant non ! au capitalisme ! non au fascisme ! A cet instant Le cœur du Monde battait alors dans les cœurs des défenseurs de Madrid, l’Europe ne la pas écouté trop préoccupé par les idéaux de ses dirigeants pris par une peur panique à l’idée de vivre dans une société égalitaire, avec une démocratie réelle, sans échelle de valeur . Un toit , du travail,… pas d’exploitation.
L’égalité pose le problème du partage, l’égalité c’est …Stop. La démocratie
Ce n’est pas le partage sauvage du bien d’autrui : c’est une redistribution des richesses produites par le travail qui tient compte des besoin de chacun . Tout le reste tient dans le désir du vivre ensemble et cela nous rendra plus de service que les soucis que provoque nos peur du lendemain dans une société qui divise pour régner. Imaginons que demain on commence le grand chantier de la vie en brisant les dernières peur qui nous habites en nous arque boutant sur les prémices d’une sociétés en devenir.
Oui ! une démocratie qui fonctionne de bas en haut et qui résiste au libéralisme financier en lui imposant dés à présent l’égalité entre tous, une liberté partagée entre hommes et femmes comme principe de vie