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Le pape veut-il se refaire une virginité ?
Publie le mercredi 20 septembre 2006 par Open-Publishing15 commentaires
de Sami Aldeeb
Au lendemain de l’anniversaire des attentats du 11 septembre,
Benoît XVI a cité une phrase d’un dialogue du XIVe siècle dans lequel
un empereur byzantin s’adresse à un "persan cultivé" » :
"montre-moi ce que Mahomet a apporté de nouveau, et tu ne
trouveras que des choses méchantes et inhumaines, comme son
ordre de diffuser par les moyens de l’épée la foi qu’il professait".
Cette phrase a soulevé des critiques de la part des musulmans
partout dans le monde. Elle mérite quelques réflexions :
– Les juifs, les chrétiens et les musulmans ont tous des cadavres
dans le placard. Un proverbe arabe dit : "Lorsque les voleurs se
disputent, on retrouve les choses volées". Maintenant les trois
communautés religieuses vont exhumer les cadavres les unes des
autres. Spectacle de désolation !
– Quel est le but du Pape allemand : se refaire une virginité pour son
pays aux yeux de Bush en épousant ses thèses ?
– Pourquoi le pape, depuis son accès à la papauté, n’a pas adressée
la moindre critique à l’égard des sionistes et d’Israël qui utilisent
aussi la religion pour humilier et opprimer les Palestiniens pour le
seul crime qu’ils ne sont pas juifs ?
En tant que Palestinien chrétien je condamne cette attitude du pape
qui risque de faire couler du sang innocent. J’espère qu’il adoptera
dans l’avenir un langage plus correct et condamnera de façon égale
aussi bien le fanatisme des islamistes que celui des sionistes.
Messages
1. > Le pape veut-il se refaire une virginité ?, 20 septembre 2006, 17:08
Il n’en a pas besoin s’il est puceau.
1. > Le pape veut-il se refaire une virginité ?, 20 septembre 2006, 17:47
Il l’a peut etre perdue dans sa période pré-chretienne , le prestige de l’uniforme attirait les filles à l’époque !!
C de T.
2. > Le pape veut-il se refaire une virginité ?, 20 septembre 2006, 20:42
Pourquoi avec les filles ? Dans sa période avec les jeunesses hitlériennes, c’est à la caserne qu’il la perdu son pucelage le vieux fanatique et impérialiste !
2. > Le pape veut-il se refaire une virginité ?, 20 septembre 2006, 18:03
... et des chrétiens. Hein, Benoit numéro machin.
Parce que quand on parle de fanatisme, on oublie un peu facilement celui des chrétiens. L’inquisition n’a jamais été désavouée (Le Pape a juste dit qu’elle "n’était pas adaptée à notre époque") et elle était chrétienne et espagnole. Oublions aussi les saints qui ont conquis cette sainteté l’épée à la main "contre les infidèles". Oublions les églises appuyant, encourageant, bénissant les progroms, de la Russie à la Lithuanie en passant par la collaboration avec les Nazis, Franco ou les dictatures d’extrême-droite.
Plus récemment, en France, des illuminés ont commis un attentat dans un cinéma qui projetait "la dernière tentation du Christ", l’organisation "Occident Chrétien" a souvent appuyé ses arguments avec des barres de fer. Aux USA comme en Pologne, les extrêmistes chrétiens seraient heureux de "vous obliger à garder l’enfant de votre violeur" au nom d’un droit à la vie purement religieux. Dans le même sujet, oublions les menaces de violence contre les inventeurs de la "pilule du lendemain" (RU 486). Ils encouragent la violence contre leurs opposants, y compris politique : c’est un prédicateur chrétien qui a demandé dans ses sermons que l’on assassine Chavez, pour UN exemple parmi des centaines. Oublions aussi aux USA les fanatiques qui défendent parfois violemment une lecture littérale de la Bible contre la science et le simple bon sens jusque dans les universités ou parlent d’un Armageddon proche (et nucléaire ?) au Moyen Orient.
Ils sont largement aussi nombreux que les fanatiques des autres religions. Nombre d’entre eux sont dangereusement proches du pouvoir, l’influencent voir le dirigent.
Avant de s’attaquer à la religion des plus pauvres et des plus faibles, ce qui n’est qu’une façon de plus de les humilier et des les rejeter, commençons par relever et critiquer avec virulence chaque excés et invitation à la violence de la religion des riches et du pouvoir ici et maintenant, dans nos pays, où nous avons autrement plus d’influence et ou nous mesurons quand nos critiques sont utiles.
John V. Doe
1. > Le pape veut-il se refaire une virginité ?, 20 septembre 2006, 18:15
ces deux derniers papes ne sont pas croyant,si non comment éxpliquer la voiture avec des vitres
blindé ,s’il croit vraiment en dieu il laisse sa vie entre les mains de dieu ,il ne se protege pas contre la volenté du dieu ,il est un homme politique ca c’est sur et de l’extreme droite.
2. > Le pape veut-il se refaire une virginité ?, 20 septembre 2006, 19:40
Ainsi l’Islam est la religion des pauvre ...
J’en parlerai à mes copains des pauvre monarchies pétrolières, la prochains fois qu’il viendront me voir avec leur 380 plaqué en or.
C’est vrai, ils sont tellement sympas !!!!!....
SVP Arrêtez de dir n’importe quoi !!! Il n’y a pas de religion de méchant et de gentils.
3. > Le pape veut-il se refaire une virginité ?, 20 septembre 2006, 19:37
je serai curieux de savoir ce qu’a répondu l’homme "cultivé" à cet empereur.
le pape le sait "c’est le plus grand yntellectuel du monde":mais il ne le dira
jamais ,car il aurait raté son cours.
1. > Le pape veut-il se refaire une virginité ?, 20 septembre 2006, 19:58
impossible, il lui aurait fallu demander d’abord pardon pour tous les crimes contre l’humanité perpetrés au nom de dieu et couverts par Rome, justement, la liste est là, article précedent... hasard ?
Non, j’y vois plutot la main de dieu -)
http://bellaciao.org/fr/?page=article&id_article=34281
Des 3 religions du livre, les chrétiens obtiennent de très loin la palme de "bouchers" d’or avec une mention particuliere pour la secte catho... les extremistes musulmans et sionistes font ce qu’ils peuvent , mais ils ont du mal à rattraper le peloton de tête.
Alors, c’est drole, mais je partage tt à fait ce qu’a dit 1664,
sauf qu’il était le dernier homme au monde à pouvoir le dire !
sousmarinvert
2. > Le pape veut-il se refaire une virginité ?, 20 septembre 2006, 22:02
ratzinger est un faf ! point final !
4. > Le pape veut-il se refaire une virginité ?, 20 septembre 2006, 22:29
Benoît XVI : pape de la rupture ?
Karim Emile Bitar
Consultant en stratégie et en communication,
Lorsqu’en avril 2005, le cardinal Joseph Ratzinger fut élu pape, nombreux furent ceux qui se sont inquiétés d’une radicalisation et d’une dérive droitière de l’Église catholique, sous la houlette de celui qui avait fait preuve d’une grande rigidité doctrinale dans ses précédentes fonctions de « préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi. » Mais le fait que le nouveau pape était un proche de Jean-Paul II, le chantre inlassable du dialogue des religions, était de nature à rassurer ceux qui craignaient un changement des positions vaticanes quant aux grands enjeux géopolitiques de l’époque.
En effet, tout en adoptant des positions conservatrices sur les questions sociales et notamment en matière de mœurs, Jean-Paul II avait fait preuve en politique internationale d’un authentique progressisme. Sa vision d’un ordre mondial fondé sur le droit et la justice avait fait de lui un symbole respecté bien au-delà des pays catholiques. A l’instar du grand Jean XXIII, Jean-Paul II était un farouche opposant à l’extrémisme chrétien — d’où son intransigeance face aux intégristes lefebvristes et sa méfiance vis-à-vis des évangélistes américains — et un partisan résolu du rapprochement avec le judaïsme et l’islam.
Sa repentance sincère quant aux fautes historiques et aux crimes commis par l’Eglise témoignait d’un indéniable courage et a permis une réconciliation historique avec le judaïsme. Ce courage allait de pair avec une exemplaire lucidité sur les questions diplomatiques, qui est apparue notamment dans son insistance sur une paix juste au Proche-Orient, dans son attachement particulier à la coexistence islamo-chrétienne au Liban, dans son indéfectible soutien à la cause palestinienne, dont il avait maintes fois souligné la centralité, ainsi que dans sa très ferme condamnation de l’invasion illégale de l’Irak et du mur de séparation construit par Israël.
Pour toutes ces raisons, au décès de Jean-Paul II, le soft power (concept formulé par le politologue Joseph Nye, signifiant la « puissance douce », le pouvoir d’attraction, la capacité de convaincre et d’influer sans avoir recours à la coercition) du Saint-Siège était donc à son apogée, et la diplomatie vaticane semblait idéalement placée pour peser de manière positive sur tous les dossiers brûlants de la scène internationale et endiguer ainsi les menaces du « choc des civilisations ».
Qu’en est-il aujourd’hui ? Le capital de sympathie engrangé par Jean-Paul II a-t-il été dilapidé par son successeur ? Au-delà d’un simple et très légitime droit d’inventaire, certains propos et initiatives du nouveau souverain pontife pourraient en effet laisser penser que c’est une véritable rupture avec l’héritage de Jean-Paul II que Benoît XVI est entrain d’opérer, subrepticement, mais sûrement.
En réintégrant les intégristes lefebvristes excommuniés par son prédécesseur , en les recevant à Castel Gandolfo, en les autorisant même à célébrer la messe selon les anciens rites préconciliaires, Benoît XVI semble relativiser l’importance de nombreuses conclusions du concile Vatican II, dont le jeune théologien Joseph Ratzinger, alors novateur, avait pourtant été l’un des architectes.
Lorsque, dans son discours du 28 mai 2006 à Auschwitz-Birkenau, Benoît XVI attribue la responsabilité de l’holocauste à un simple « groupe de criminels », il blesse un grand nombre de juifs — et bien d’autres — qui sont légitimement indignés car ces propos sont en contradiction avec toute l’historiographie récente, qui relève sinon une culpabilité collective, du moins une responsabilité collective du peuple allemand ayant porté Hitler au pouvoir.
C’est aujourd’hui au tour des musulmans — et fort heureusement de beaucoup d’autres — de se sentir blessés par les propos, particulièrement inquiétants, tenus par Benoît XVI dans son discours prononcé le 12 septembre à l’université de Ratisbonne. Nous aurions chaudement applaudi le souverain pontife s’il s’était contenté de critiquer, fut-ce avec la plus grande virulence, l’intégrisme, l’islamisme, l’instrumentalisation de la religion à des fins politiques, et les violences perpétrées au nom de l’islam. Mais il est étonnant qu’un intellectuel de la trempe de Benoît XVI se soit laissé entraîné sur la pente sinueuse des généralisations.
Mentionnant un dialogue du XIVe siècle entre l’empereur byzantin Manuel II Paléolologue et un fin lettré persan, Benoît XVI a lui-même qualifié d’« étonnamment brusque » mais néanmoins tenu à citer une phrase de Manuel II : « Montre-moi donc ce que Mahomet a apporté de nouveau. Tu ne trouveras que des choses mauvaises et inhumaines, comme sa prescription de défendre avec le glaive la foi qu’il prêchait. » Je laisserai aux islamologues le soin de répondre sur le fond à cette philippique, mais l’on ne peut que s’étonner d’entendre, de la bouche d’un pape, des propos que l’on retrouve habituellement chez des polémistes mal inspirés, ayant trop vite oublié les ravages des croisades et les bûchers de l’inquisition.
Citant alors l’éditeur de ce dialogue, l’universitaire de Münster Théodore Khoury, Benoît XVI a souligné que « pour l’empereur, un Byzantin éduqué dans la philosophie grecque, la phrase "ne pas agir selon la raison contredit la nature de Dieu" est évidente. Pour la doctrine musulmane en revanche, Dieu est absolument transcendant, sa volonté ne dépend d’aucune de nos catégories, même pas celle de la raison. » Ce passage de Khoury, implicitement repris à son compte par Benoît XVI, est troublant à plus d’un titre.
D’abord par son côté anhistorique, tant il est vrai que le monde chrétien et l’Eglise catholique en particulier ont mis plusieurs siècles à admettre la nécessité d’une conciliation entre Fides et Ratio.
Ensuite parce qu’il omet de mentionner le fait, fondamental, que ce n’est que par l’intermédiaire des philosophes musulmans que cette philosophie grecque fondée sur la raison a pu être traduite et atteindre ainsi l’Occident, ce qui est une preuve parfaite de l’enrichissement mutuel et de la non-étanchéité des cultures.
Enfin et surtout parce que ces propos semblent prendre pour acquis les vieux dogmes orientalistes aujourd’hui discrédités, dogmes qui établissent de très fallacieuses distinctions ontologiques et épistémologiques entre un « Occident chrétien » supposément rationnel et un « islam » qui serait par nature rétif à la raison. Faut-il rappeler que ce n’est qu’en 1992 que l’Église catholique a « pardonné » à Galilée, lequel avait, en 1632, eu l’outrecuidance de dire, sur une base rationnelle, que la terre tourne autour du soleil ? Et les totalitarismes qui ont ravagé l’Occident au XXe siècle étaient-ils très « rationnels » ? L’Occident et la chrétienté n’ont donc pas toujours témoigné d’une grande « rationalité », pour le moins que l’on puisse dire. Quant à l’« islam », s’il était imperméable à « notre » catégorie qu’est la raison, comment expliquer ses indéniables contributions aux mathématiques, à l’astronomie, à la médecine et à bien d’autres sciences ?
Ces distinctions de nature essentialiste entre l’« Occident » et l’« islam » sont non seulement erronées compte tenu de l’extraordinaire diversité au sein de chacune de ces civilisations, mais aussi particulièrement néfastes et potentiellement dévastatrices tant elles peuvent être aisément instrumentalisées par des dirigeants, musulmans ou occidentaux, souhaitant imposer des visions bellicistes au nom d’une supposée incompatibilité ancestrale entre « eux » et « nous ». Bien qu’ayant été brillamment déconstruits, les discours orientalistes sont redevenus très vivaces depuis le 11 septembre, et servent aujourd’hui d’arrière-plan idéologique aux funestes projets de guerre des civilisations, souhaitée par les islamistes et favorisée par les politiques à très courte vue des faucons de Washington et de Tel Aviv. Ce n’est pas un hasard si Ehud Olmert, dans un discours orientaliste — et raciste — typique a proclamé que c’était pour « défendre la civilisation occidentale » qu’il avait largué un million de bombes à fragmentation sur le Liban ! Ce n’est pas non plus un hasard si l’orientaliste Bernard Lewis, principal propagateur de cet essentialisme manichéen est aujourd’hui le maître à penser de Dick Cheney et l’inspirateur des désastreuses politiques moyen-orientales de l’administration Bush.
La crise de confiance déclenchée par les propos de Benoît XVI ne se résorbera pas par un simple communiqué du Vatican disant que le pape est « absolument désolé » d’avoir offensé la sensibilité des musulmans. Il est aujourd’hui urgent de revenir sur le chemin d’un dialogue interreligieux qui aille au-delà des stériles querelles théologiques et qui fasse ressortir du fond de leurs enseignements tout ce qui rapproche les religions. Car si une autorité morale aussi influente que celle de Benoît XVI et du Vatican ne s’y oppose pas avec toutes ses ressources, rien ne pourra plus enrayer le triomphe de ce que Martin Buber appelait la « dialectique infernale » du « eux contre nous », et rien ne pourra plus empêcher que la guerre des civilisations chère à Lewis et Huntington ne devienne bel et bien une prophétie autoréalisatrice
1. > Le pape veut-il se refaire une virginité ?, 21 septembre 2006, 01:03
Merci pour ce dernier texte qui tranche sur le ton des précédents...
Il y a dans tout consensus de bistrot, ainsi en était-il des interventions précédentes, quelque chose qui mène trop loin et qui empêche le dialogue nécessaire et blesse inutilement...
Un mot encore, aujourd’hui on tente de nous faire croire que la presse a "monté l’affaire", cest mal connaître la manière dont la presse se déchaîne. D’abord elle ne se rend pas dans une conférence papale sans y avoir été invitée, on la sollicite, on lui explique que le pape va faire une déclaration, on lui distribue le discours et les attachés de presse soulignent la petite phrase... C’est comme ça que nous avons en politique, le pape est chef d’Etat, la ruée sur les petites phrases et les caméras qui se mettent en marche au moment prévu...
Donc il n’y a pas bévue et colère excessive du monde musulman, il y a une opération politique et un choix d’extrême-droite d’affrontement....
Danielle Bleitrach
2. > Le pape veut-il se refaire une virginité ?, 21 septembre 2006, 01:49
Votre démonstration est on ne peut plus clair.
Puisque les dirigeants sont sourds et aveugles, il revient aux peuples de montrer la voie de la paix et de l’amitié. Nous refusons toute guerre sur notre planète. Tous les peuples ont le droit de vivre selon sa culture et ses croyances. L’ingérence bête et stupide ça suffit.
3. > Le pape veut-il se refaire une virginité ?, 23 septembre 2006, 04:56
Sami,
J’ai lu dans le quotidien canadien La Presse l’article de Bitar que vous avez posté. Je le trouve beaucoup trop mesuré et "gentil" envers Ratzinger, même si sur le fond il fait bien passer le message, à savoir l’alignement du nouveau pape sur les positions des artisans du choc des civilisations.
5. > Le pape veut-il se refaire une virginité ?, 21 septembre 2006, 08:24
Fin théologien , on ne se lasse pas de vanter les capacités intelletueles de B 16 cet
homme au regard froid et coupant comme l’acier, absence d’amour et de compassion
flagrante. Instruction et intelligeance sont deux lignes parallèles,vous pouvez posséder
l’une sans posséder l’autre, pour l’intruction ,il suffit que dame nature vous dote d’un
grand tiroir MEMOIRE , mon lieu de culte a moi " oeil de bison " c’est la nature, la
mère nourriciere , GAIA la terre ,le ciel ,le soleil qui ensemence la terre
n’oubliez pas de les remercier ,sans eux point de vie ,alors vous savez les propos de
B 16 ou de n’importe quelles autres "sommités religieuse" c’est du pipi de chat
autre question a-t-on vraiment besoin d’un chef pour prier ? alors a quoi servent- ils ?
A FAIRE DE LA POLITIQUE ?
oeil de bison
1. > Le pape veut-il se refaire une virginité ?, 22 septembre 2006, 21:17
Toutes les prophéties se rejoignent :
D’après la chronologie de Malachie,
ce pape est le dernier et ne terminera pas son pontificat
Il le nomme "PIERRE ROMAIN "ou
"PIE" pour pape
et "R " à sa place dans l’alphabet romain qui ne comporte ,d’après mes souvenirs que 22 lettres,
donc le "16 " pour la seizième place
et les prophètes annoncent, pour notre époque, un grand schisme provoqué
par un "ANTI-PAPE germanique"
Michèle