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Le scandale des retraites des élus européens !

Publie le vendredi 23 avril 2010 par Open-Publishing
12 commentaires

UN SCANDALE ! ! ! A SAVOIR AVANT LA "TONTE" DE 2010

Vous avez remarqué que nos politiques se battent comme des fous pour rentrer dans l’administration européenne Et pourquoi ?

A LIRE CI-DESSOUS

En guise de réflexion !

Scandaleux, tout simplement.

Envoyez ceci aux Européens que vous connaissez !!!

La retraite à 50 ans avec 9.000 euros par mois pour les fonctionnaires de l’UE a été approuvée !!!!

Cette année, 340 fonctionnaires partent à la retraite anticipée à 50 ans avec une pension de 9.000 Euros par mois.

Oui, vous avez bien lu !!!

Afin d’aider l’intégration de nouveaux fonctionnaires des nouveaux états membres de l’UE (Pologne, Malte, pays de l’Est...), les fonctionnaires des anciens pays membres (Belgique, France, Allemagne..) recevront de l’Europe un pont d’or pour partir à la retraite.

POURQUOI ET QUI PAIE CELA ?

Vous et moi travaillons ou avons travaillé pour une pension de misère, alors que ceux qui votent les lois se font des cadeaux dorés.

La différence est devenue trop importante entre le peuple et les "dieux de l’Olympe" !!!

REAGISSONS par tous les moyens en commençant par divulguer ce message à tous les Européens. Bonne journée à tous quand même.

C’EST UNE VRAIE MAFIA CES HAUTS FONCTIONNAIRES DE l’UNION EUROPEENNE.... A DIFFUSER LARGEMENT S.V.P

Les technocrates européens jouissent de véritables retraites de nababs... Même les parlementaires qui, pourtant, bénéficient de la "Rolls" des régimes spéciaux, ne reçoivent pas le tiers de ce qu’ils touchent... C’est dire ! Giovanni Buttarelli, qui occupe le poste de "contrôleur adjoint de la protection des données", aura acquis après seulement 1 an et 11 mois de service (en novembre 2010), une retraite de 1 515 € / mois. L’équivalent de ce que touche, en moyenne, un salarié français du secteur privé après une carrière complète (40 ans).

Son collègue, Peter Hustinx, vient de voir son contrat de cinq ans renouvelé. Après 10 années, lui aura droit à près de 9 000 € de retraite / mois.

C’est simple, plus personne ne leur demande des comptes et ils ont bien décidé d’en profiter. C’est comme si, pour leur retraite, on leur avait fait un chèque en blanc.

En plus, beaucoup d’autres technocrates profitent d’un tel privilège :

1. Roger Grass, greffier à la Cour de justice européenne, va toucher 12 500 € de retraite par mois.

2. Pernilla Lindh, juge au Tribunal de première instance, 12 900 € / mois.

3. Damaso Ruiz-Jarabo Colomer, avocat général, 14 000 € / mois.

Consultez la liste : http://www.kdo-mailing.com/redirect...

Pour eux, c’est le jackpot. En poste depuis le milieu des années 1990, ils sont assurés de valider une carrière complète et, donc, d’obtenir le maximum : 70 % du dernier salaire. Car, c’est à peine croyable... Non seulement leurs pensions crèvent les plafonds mais il leur suffit de 15 années et demie pour valider une carrière complète alors que pour vous, comme pour moi, il faut se tuer à la tâche pendant 40 ans et, bientôt, 41 ans.

Face à la faillite de nos systèmes de retraite, les technocrates de Bruxelles recommandent l’allongement des carrières : 37,5 ans, 40 ans, 41 ans (en 2012), 42 ans (en 2020), etc. Mais, pour eux, pas de problème, le taux plein c’est 15,5 ans... De qui se moque-t-on ?

A l’origine, ces retraites de nababs étaient réservées aux membres de la Commission européenne puis, au fil des années, elles ont également été accordées à d’autres fonctionnaires. Maintenant, ils sont toute une armée à en profiter : juges, magistrats, greffiers, contrôleurs, médiateur, etc.

Mais le pire, dans cette affaire, c’est qu’ils ne cotisent même pas pour leur super retraite. Pas un centime d’euro, tout est à la charge du contribuable...

Nous, nous cotisons plein pot toute notre vie et, au moindre retard de paiement, c’est la déferlante : rappels, amendes, pénalités de retard, etc.

Aucune pitié. Eux, ils (se) sont carrément exonérés. On croit rêver !

Rendez-vous compte, même les magistrats de la Cour des comptes européenne qui, pourtant, sont censés "/contrôler si les dépenses de l’Union européenne sont légales, faites au moindre coût et pour l’objectif auxquelles elles sont destinées.../ ", profitent du système et ne paient pas de cotisations.

Et, que dire de tous ces technocrates qui ne manquent pas une occasion de jouer les "gendarmes de Bruxelles" et ne cessent de donner des leçons d’orthodoxie budgétaire alors qu’ils ont les deux mains, jusqu’aux coudes, dans le pot de confiture ?

A l’heure où l’avenir de nos retraites est gravement compromis par la violence de la crise économique et la brutalité du choc démographique, les fonctionnaires européens bénéficient, à nos frais, de pensions de 12 500 à 14 000 € / mois, après seulement 15 ans de carrière et sans même cotiser... C’est une pure provocation !

Mon objectif est d’alerter tous les citoyens des états membres de l’Union Européenne. Ensemble nous pouvons créer un véritable raz de marée.

Il est hors de question que les technocrates européens continuent à jouir, à nos frais et en toute impunité, de telles retraites. Nous allons leur remettre les pieds sur terre.

Sauvegarde Retraites a réalisé une étude précise et très documentée qui prouve par "A+B" l’ampleur du scandale. Elle a déjà été reprise par les médias.

http://www.lepoint.fr/actualites-ec...

Diffusons, diffusons massivement auprès de tous les relais de vingt-sept pays de l’Union Européenne, il en restera bien quelque chose !!!

URL de cet article
 http://www.legrandsoir.info/le-scan...

Messages

  • Sauvegarde Retraite est une association ultra libérale. Son Guru est l’ancien ministre du travail de Pinochet, qui a privatisé le système de retraite par répartition des Chiliens. Pour "sauver" les retraites, elle préconise les fonds de pension

    Cette "association" est spécialisée dans sa haine anti-fonctionnaires.

    Plus le mensonge est gros, mieux ça passe ?

    La confédération CGT avait commis un communiqué rétablissant la vérité après la grossière manipulation concernant l’Ircantec

    • En effet c’est un article de Gérard Rodriguez (conseiller confédéral CGT sur l’activité retraites) que voici :
      La mal nommée « Sauvegarde retraite », officine experte dans l’art de la démagogie et du poujadisme, ne cesse de ressasser la vieille antienne selon laquelle les fonctionnaires seraient à l’origine de tous nos maux
      Ainsi, dans une de ses dernières diatribe anti-fonctionnaires, elle prétend que les régimes complémentaires de retraite des salariés du privé Arrco-Agirc seraient victimes « d’un pillage en règle » au profit de l’Ircantec, présentée comme le régime complémentaire des « fonctionnaires contractuels ».
      1ère observation : Par définition, les contractuels de la fonction publique ne sont pas fonctionnaires. C’est précisément la raison qui fait qu’ils cotisent non pas au régime de la fonction publique (régimes des pensions de l’Etat ou Cnracl) mais à la Cnav pour le régime de base et à l’Ircantec pour le régime complémentaire. C’est donc à ce titre que les contractuels de La Poste cotisaient à l’Ircantec.
      2ème observation : La loi de privatisation de La Poste stipule que, jusqu’à la date de l’adhésion de La Poste à l’Arrco et à l’Agirc, les contractuels qui sont affiliés à l’Ircantec restent à l’Ircantec. En revanche, les contractuels non cadres qui seront embauchés après cette date seront affiliés à l’Arrco, les cadres seront affiliés à l’Arrco et à l’Agirc.
      C’est donc une loi, que la CGT a d’ailleurs combattue, qui va conduire à transférer, de l’Ircantec à l’Arrco et l’Agirc, des cotisants qui ne seront amenés à prendre leur retraite que d’ici 30 ou 40 ans. Autrement dit, l’Ircantec devrait s’acquitter des pensions des actuels retraités et des pensions futures des contractuels actuellement affiliés sans les ressources correspondantes dans un système solidaire par répartition (notion évidemment totalement inconnue de la très libérale « sauvegarde retraite »). Rappelons à cet effet que dans un système par répartition, les actifs du moment financent les retraités du moment. Pour maintenir ce principe, il a été convenu que l’Arrco et l’Agirc, qui percevront pendant quelques décennies des cotisations sans avoir à verser les prestations correspondantes, devront s’acquitter auprès de l’Ircantec d’un montant qui lui permette de verser à ses ressortissants actuels et futurs leurs pensions. La CGT préconise que ce montant soit calculé chaque année de manière à prendre en compte les évolutions au fil de l’eau et avec précision, dans l’intérêt des ressortissants des différents régimes complémentaires.
      3ème observation : Cette officine, pourtant si soucieuse des intérêts des salariés et retraités du privé ne dit mot du véritable scandale des exonérations de cotisations sociales dont profitent les entreprises. Elles représentent plus de 30 milliards d’euros qui sont compensées par l’Etat, et donc les ménages par leurs impôts.
      Elle ne trouve également rien à redire au fait que les revenus financiers des entreprises ne sont soumis à aucune cotisation ou prélèvement, pas même la CSG.
      En tentant d’attiser la haine vis-à-vis des fonctionnaires ou des salariés des régimes spéciaux (thématique récurrente du pillage), « Sauvegarde retraite » roule pour le gouvernement qui aimerait bien aborder le rendez-vous 2010 avec un salariat divisé et donc affaibli. La CGT a d’ores et déjà engagée une grande campagne d’information, pariant sur l’intelligence collective et la connaissance partagée des grands enjeux de la retraite. Ceux qui, comme « sauvegarde retraite » misent sur l’ignorance et la crédulité en seront pour leurs frais.

    • En parlant de guru Chilien
      Voici le résultat du libéralisme dans ce pays.
      Avec la politique libérale des Chicago boys* sous la dictature pinochet le pays comptait en 1990, 38,6% de personnes sous le seuil de pauvreté chiffre officiel donc beaucoup plus..

      *Les Chicago Boys des économistes chiliens des années 1970, formés à l’Université de Chicago et influencés par Milton Friedman et Arnold Harberger.
      Une conception du miracle à géométrie variable

      *Ils travaillèrent pour la dictature militaire chilienne dirigée par le général pinochet, et jouèrent un rôle majeur dans ce qui est parfois appelé le « miracle chilien », formule de Milton Friedman c’est tout dire.

    • Il reste que les retraites et avantages divers de ce genre de "serviteurs du peuple" n’ont rien à voir avec la vie au quotidien des prolos et "petits citoyens" qu’ils méprisent même lorsqu’ils recherchent leur vote.

      Et c’est vrai tous courants politiques confondus. La "flexisécurité" et la casse du régime des retraites furent signées par la "gauche plurielle" en mars 2002 (Conseil Européen de Barcelone) :

      http://www.consilium.europa.eu/ueDocs/cms_Data/docs/pressData/fr/ec/71026.pdf

      A ne pas oublier, avant la tonte... de 2012 !

    • En effet, ne mélenchons pas les retraites des politiques (parlementaires, anciens ministres, notables locaux...) avec celles des fonctionnaires de base. Ce son deux mondes qui n’ont rien à voir entre eux.

  • voici le Guru de cette officine haineuse

    José Pinera, ex ministre du Travail au Chili et architecte de la réforme des retraites dans son pays (1980) expose sa vision pour l’avenir des retraites. Non seulement au Chili, mais aussi en Europe. Il propose une solution globale, fondée sur la responsabilité et la liberté individuelles, pour désamorcer la bombe à retardement des retraites.

    Autre Guru de cette officine, voici l’une des "recommandations" de Jacques Bichot (co-auteur avec le néo-fasciste Madelin)

    La retraite à 60 ans ? Sa place est au musée !

    Evoluer déjà dans le bon sens en remplaçant la décote et la surcote, dans les régimes par annuités, par un dispositif analogue à celui qui existait jusqu’en 1982 : possibilité de partir à la retraite à n’importe quel âge, disons entre 50 ans et 80 ans, avec un coefficient actuariel.

    dans le "Cri du contribuable" (tout un programme !)

    Que pensez-vous du système par capitalisation ? I’exemple du Chili n’est il pas intéressant ?

    (...)

    Quant au Chili, le système a remporté, au début, un large succès. Il y a dix ans, 70 o/o de la population cotisait. Aujourd’hui le taux doit être de 50 o/o.N ous avons connu cela en France : en 1910 a été créée une retraite (en principe obligatoire) par capitalisation pour les ouvriers et paysans. 6 millions de personnes y ont cotisé. En 1928, il n’y en avait plus que 100 000.
    Et puis le niveau de développement du Chili n’est pas le même qu’en France, et l’économie o informelle o (travail au noir) y est bien plus importante.

    Il oublie de dire que les ROP ( Retraites Ouvrières et Paysannes) ont ruiné des millions de retraités, qui n’ont touché qu’une misère !

    Le même processus de ruine s’est produit au Chili, après la "réforme" de son "ami" fasciste José Pinera


    • Chili : exemple de pays où le libéralisme accentue les inégalités

      Pinochet a imposé le système des Fonds de Pension (AFP), mais il en a excepté les Forces Armées. La moitié des Chiliens se sont retrouvés sans retraite.

      Le premier pays d’Amérique latine qui a incorporé le régime de capitalisation individuelle a été le Chili. En 1981, sous la dictature d’Augusto Pinochet, a été créé le système des Fonds de Pension (AFP) qui sera ensuite imité en Argentine. De fait, Domingo Cavallo (ex ministre de l’Economie de Carlos Menem) et les économistes orthodoxes qui le soutenaient ont utilisé cette expérience comme étant un preuve principale de la nécessité de privatiser la sécurité sociale. Mais l’exemple s’est transformé en cauchemar. Et non seulement ici, là-bas aussi. Le régime prévisionnel chilien subit une grave crise et est en processus de réforme. L’une des promesses principales de campagne de Michelle Bachelet a été de changer le système imposé il y a 25 ans. Son gouvernement a créé une commission de notables pour élaborer un projet. Ont défilé plus de 50 organisations sociales, patronales et syndicales pour apporter des idées au débat.

      Le gouvernement argentin a pris note de ce qui se passe au Chili. Ce pays recommence à servir d’exemple, bien que dans un sens contraire. Les problèmes qui apparaissent dans différentes communications sont en essence les même qui existent ici : 50 % des Chiliens ne pourra pas accéder à la retraite parce qu’il ne réunit pas les années d’apports nécessaires, la moitié du restant capitalisent si peu qu’ils ne toucheront une retraite inférieure à la minimum, les commissions des AFP sont très élevées et les entreprises jouissent de rentabilités extraordinaires, il y a une grande évasion d’apports prévisionnels et les femmes sont condamnées à des pensions entre 30 et 40 pour cent inférieurs à celles des hommes.

      De même qu’en Argentine, l’apparition des AFP a eu lieu en simultané avec une politique de flexibilisation du travail extrême. Selon des données de l’OIT, "seul un emploi sur trois au Chili est décent c’est-à-dire avec contrat, couverture sociale et rémunération digne". "48 % des travailleurs salariés reçoivent un revenu inférieur à deux salaires minimums", avertit cet organisme. Les chiffres interpellent, tenant en compte que le FMI et les pays centraux désignent toujours le Chili comme le modèle à suivre. Après plus de deux décennies de croissance économique, seule un tiers de sa population a un travail décent. Cela signifie que toute la richesse engendrée se concentre en haut de la pyramide.

      "L’actuel système des AFP est une affaire privée où seul 6 entreprises contrôlent et intervertissent près de 80 milliards de dollars, l’équivalent de 70 pour cent du PIB national", souligne le document que la Centrale Unitaire des Travailleurs du Chili a partagé avec la commission qui prépare la réforme. "Les profits de ces entreprises dépassent le normal : 24,8 % en moyenne sur le patrimoine, et dans le cas de Cuprum, 47,5 %".

      L’Association d’Avocats du travail a souligné que "tandis que la distribution et la capitalisation collective permettent la solidarité, la capitalisation individuelle est un instrument par définition non solidaire et, par le même, étrangère à la sécurité sociale". Et elle ajoute un concept clef : "La capitalisation ou épargne individuelle reproduit les inégalités : ceux qui ont eu tout au long de leur vie active la possibilité d’épargner arriveront à bénéficier d’une retraite, ceux qui gagnent des salaires insuffisants et et subissent le fouet des licenciements, de l’emploi saisonnier, informel ou précaire ne parviendront pas à capitaliser suffisamment".

      Dans le rapport du gouvernement de Bachelet cela est clairement présent : il signale que le niveau de couverture actuelle détermine que "la moitié des affiliés aux AFP dépendra du financement de l’État". "Sur 7,3 millions d’affiliés, seulement 3,1 millions a des cotisations à jour, c’est-à-dire, seulement 42 % apporte normalement ", signale à son tour le Conseil Chilien des Travailleurs Métallurgiques. Une autre donnée dans la même ligne indique que "en 2025, 55 % des pensions seront inférieures au minimum et ne seront pas complétées par l’Etat". "La conclusion est évidente -soutient la CUT- c’est un système pervers qui ne garantit absolument aucun futur pour le troisième âge."

      Malgré le fait que Pinochet a imposé les AFP aux Chiliens, il en a exclu les Forces Armées. "Si le régime antérieur était mauvais, déficitaire, injuste et une charge pour l’État : comment concilier cela avec les pensions que l’on paie aux membres des Forces Armées, qui sont meilleures, qui s’obtiennent avec moins d’années de cotisation que celle du reste des travaileurs du pays ?", s’interroge le Conseil des Travailleurs Métallurgiques.

      David Cufré, Pagina/12 (Argentine), 15 mai 2006
      Traduction : Fab, santelmo@no-log.org

  • et pendant ce temps la ils nous parlent de burqa , trop fort le roquefort .

  • Et il y a toujours des cons pour voter pour cette racaille !

    • et surtout des salariés suicidaires sarkosistes ou de droite...........

    • la plupart des salariés sont pas vraiment à droite,

       il y a ceux qui votent à droite voir extrême droite parce que de toutes façons les partis "de gauche" sont ridicules à pleurer tellement il est évident qu’ils ne croient plus à ce qu’il y a dans leurs noms "socialisme, communisme..."

       Ceux qui s’abstiennent pour la même raison

       Ceux qui votent à gauche ou Vert malgré tout (mais sans être convaincus, sinon ces partis seraient autre chose que des coquilles bureaucratiques vides)

       Ceux qui n’ont pas le droit de vote (immigrés) et à qui aucun parti établis ne veut le donner actuellement.

      Après y a peut-être quelques pour cents de convaincus, mais pas tant que ça,

      la vrai responsabilité elle est en haut, pour la même raison qu’on sanctionne l’employeur quand un employé fait une connerie, ou les parents quand c’est leurs gosses, il faut sanctionner (se débarrasser de) ces directions pourries.