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Les accès de l’usine Renault-Sandouville bloqués par la CGT (video)

Publie le lundi 13 octobre 2008 par Open-Publishing
7 commentaires

LE HAVRE (Seine-Maritime)Les accès de l’usine Renault de Sandouville (Seine-Maritime) était bloqués, lundi matin, par des salariés de la CGT qui protestent contre les suppressions de postes et les conditions de départ de leur établissement, a-t-on appris auprès de la CGT.

"Aujourd’hui rien n’est fait pour les 1.000 salariés concernés par le plan de départ. On veut un plan clair et précis", a indiqué Josiane Kharo, déléguée CGT du comité d’entreprise de Sandouville.

Le blocage des 4 portes d’entrée de l’usine est assuré par quelque 400 salariés au chômage technique cette semaine, a-t-on précisé de même source.

http://www.agefi.com/Quotidien_en_l...


Mondial de l’auto Manif des Renaults

Messages

  • il nous faut un n° de fax, ou un mail pour apporter la solidarité avec les travailleurs en lutte.

    la lutte continue, le 10 n’est que le vraie départ de la lutte

    Eric, DSC CGT Cegelec

    un.cgt.cegelec@gmail.com

  • SOLIDARITE AVEC LES RENAULT DE SANDOUVILLE
    QUE NAISSENT PARTOUT EN FRANCE ET EN EUROPE ? 1, 2, 3,... 10 SANDOUVILLE

  • Après la manif, ça continue. Bravo les mecs, secouez-les à ces fumiers en cols blancs, cette racaille mondialisée, qu’elle s’appelle Gohn ou Palin !

    Soleil Sombre

  • Renault-Sandouville bloquée une matinée par la CGT contre les suppressions d’emplois

    Des salariés CGT de l’usine Renault de Sandouville, près du Havre, ont bloqué lundi matin les accès du site, une opération destinée à protester contre la suppression de 1.000 emplois sur les 3.700 que compte le site.

    Le blocage a été levé en fin de matinée, l’usine ne fonctionnant pas l’après-midi en raison du chômage technique lié à la mévente de la nouvelle Laguna lancée à l’automne 2007.

    "Aujourd’hui, c’est un premier coup, mais cela va continuer et avec le temps on s’améliorera", a prévenu Fabrice Leberre, délégué CGT.

    "Les 2.500 salariés présents qui pouvaient entrer dans l’usine n’ont pas rejoint leur poste de travail", s’est-il félicité.

    Les quelques 400 salariés de la CGT ont bloqué tôt dans la matinée quatre portes de l’usine, empêchant les mouvements de camion, à l’entrée comme à la sortie, mais laissant passer à pied le personnel désirant travailler.

    A chaque point de blocage, ils ont constitué des tas de palettes auxquels ils ont mis le feu.

    "Rien n’est fait pour les 1.000 salariés concernés par le plan de départ. On veut un plan clair et précis", a indiqué Josiane Kharo, déléguée CGT.

    Elle a précisé que les salariés regrettaient notamment les conditions restrictives qui leur sont imposées lors d’une demande de formation, notamment celle d’un non-retour dans l’entreprise.

    En milieu de journée, la dirigeante PS Martine Aubry a rencontré sur place la CGT de l’usine, dans le cadre d’une visite prévue depuis la semaine dernière.

    "Vous croyez qu’une entreprise comme Renault, qui gagne de l’argent, ne peut pas financer des départs en préretraite pour des gens qui ont travaillé toute leur vie à la chaîne ?", s’est interrogée l’ancienne ministre du Travail, qui était accompagnée de Laurent Fabius.

    La semaine dernière, le président Nicolas Sarkozy s’était déjà rendu dans l’usine. Il avait dû renoncer à visiter des ateliers en état de siège et se contenter d’une discussion avec des représentants syndicaux et le PDG de Renault Carlos Ghosn.

    La suppression des 1.000 emplois dans cette usine qui fabrique la Laguna, l’Espace et la Vel Satis s’intègre dans un plan global annoncé en juillet qui prévoit 4.000 départs dans la maison mère en France et 2.000 autres dans les filiales européennes.

    La direction du groupe s’est depuis engagée à attribuer à Sandouville la construction d’un véhicule utilitaire à partir de 2012.

    La semaine dernière, le secrétaire d’Etat à l’Emploi Laurent Wauquiez avait par ailleurs annoncé que le contrat de transition professionnelle (CTP), qui sera expérimenté à Renault-Sandouville, concernerait aussi les "sous-traitants de l’ensemble du bassin" d’emploi.

    Le CTP assure un revenu de remplacement aux bénéficiaires de 80% du salaire brut pendant une durée maximale de douze mois.

    http://bellaciao.org/fr/spip.php?article72569

  • On est avec vous à 100 % !! Nous les salariés des autres secteurs d’activité on va vous rejoindre très vite, car tout le monde va être concerné et bien plus vite que ne le croie certain-e-s, et tous ensemble, on va faire péter ce système de merde qui impose à des êtres humains de quémander du travail sous payé pour leur permettre de survivre.

    On n’est pas des animaux , y’en a ras le bol de ce qu’on nous fait vivre. RÉVOLTONS NOUS C’est le moment ou jamais alors qu’ils sont en train de renflouer leurs casinos sur notre dos et celui des générations à venir !

    La Louve

  • Bravo et comme dit la louve il faut y aller tout de suite.