Les riches eux-mêmes sont surpris de voir comment les pauvres endurent sans se révolter

Les riches qui évidemment détiennent le pouvoir (les pauvres ne détiennent jamais le pouvoir) renforcent les mesures de sécurité un peu partout dans le monde et ce n’est pas sans raison.

Sous prétexte de menace terroriste depuis le 11 septembre 2001 (événement nébuleux probablement organisé par les riches au pouvoir eux-mêmes), la dérive sécuritaire a fait son chemin au point où nous vivons de plus en plus dans une société de surveillance, un État policier.

Cela démontre que les riches eux-mêmes considèrent que les pauvres auraient de bonnes raisons de se révolter contre ce qu’eux, les riches, leur font endurer.

Et le plus triste, c’est que cet archarnement contre les pauvres est conscient, voulu et planifié. Tout ce que les riches ignorent, c’est jusqu’à quand la classe ouvrière et les pauvres vont endurer sans troubler l’ordre établi.

Les attentats du 11 septembre 2001 aux États-Unis sont arrivés à un moment où probablement les sociologues à la solde des riches leur ont conseillé qu’il valait mieux renforcer la sécurité à l’intérieur des États ainsi que pour les diverses réunions de l’élite comme les sommets du G-20, du G-8, de l’OMC, etc... parce que la classe ouvrière ainsi que les pauvres risquaient d’en être rendus au ras-le-bol.

Et il semble malheureusement que ces enchères ne soient pas terminées. Les riches vont en effet aller aussi loin qu’ils le peuvent dans l’exploitation de la classe ouvrière et des pauvres.