Accueil > Les usines ferment... le souvenir reste !
Les usines ferment... le souvenir reste !
Publie le jeudi 18 décembre 2008 par Open-Publishing1 commentaire
On n’est pas d’un pays mais on est d’une villeOu la rue artérielle limite le décorLes cheminée d’usine hululent à la mortLa lampe du gardien rigole de mon styleLa misère écrasant son mégot sur mon coeurA laissé dans mon sang sa trace indélébileQui à le même son et la même couleurQue la suie des crassier, du charbon inutileLes forges de mes tempes ont pilonné les motsJ’ai limé de mes mains le creux des évidencesLes mots calaminés crachent des hauts fourneauxMes yeux d’aciers trempés inventent le silenceJe me saoule à New York et me bats à ParisJe balance a Rio et ris à MontréalMais c’est quand même ici que poussa tout petitCette fleur de grisou à tige de métalOn n’est pas d’un pays mais on est d’une villeOu la rue artérielle limite le décorLes cheminée d’usine hululent à la mortLa lampe du gardien rigole de mon styleParoles Bernard Lavilliers_ Saint-Etienne
Messages
1. Les usines ferment... le souvenir reste !, 18 décembre 2008, 08:20, par librE
çà, ce serait bien du Bruno M !!!!!!! T’as pas signé ???
La crise te ferait t elle perdre la tête ?