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Livre : "L’Humanité disparaîtra, bon débarras !"

Publie le dimanche 23 avril 2006 par Open-Publishing
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L’espèce humaine provoque des bouleversements irréversibles de son environnement. Notre avenir est aussi bouché que celui des dinosaures ! Peut-on encore espérer que l’Homo sapiens acquière enfin la sagesse dont il se rengorge, alors que toutes les grandes questions (pollutions, saccages des terres et des mers, climats, nouveaux virus...) sont négligées ou méprisées ? D’où vient cette folie suicidaire ? De ce que l’homme est un grand singe égoïste. Il obéit à trois pulsions : sexuelle, territoriale et hiérarchique. Sa soif de domination le pousse à tous les crimes, y compris contre lui-même...

Guerre nucléaire, climats en folie, empoisonnement de l’air et de l’eau, nouvelles maladies... Tout cela sera très drôle. Et après ? Rien... La vie créera de nouvelles espèces jusqu’à ce que le Soleil brûle définitivement la planète, dans environ un milliard d’années.

L’humanité disparaîtra, bon débarras !
Yves Paccalet
Arthaud
Prix public : 15,00 EUR

http://www.eyrolles.com/Sciences/Li...

Messages

  • Le raisonnement de Yves Paccalet est d’une logique aussi simple qu’implacable ; il s’appuie sur des constats évidents, et facilement remarquables par tous.
    Ce résumé peut faire très mal aux religieux qui s’imaginent que l’Homme est un être de bonté à l’image de Dieu. La réalité est tout autre : nous sommes jusqu’à présent l’espèce vivante la plus maléfique sur Terre, pire qu’un virus.
    Le virus vit en multitudes d’individus, et son développement détruit l’être vivant qui le porte : le virus doit donc survivre par voie de contamination, pour atteindre d’autres êtres vivants à détruire à leur tour.
    L’homme vit en multitude sur la Terre, et son activité la rend malade en risquant de la détruire : l’Homme projette déjà sa voie de contamination : c’est la conquête de l’espace pour atteindre d’autres planètes à détruire.
    Pourquoi l’Homme est pire que le virus ? Parce que les éléments d’un virus ne se détruisent pas entre eux, ne s’entre-dévorent pas : ils avancent dans plus de solidarité.