MADAME WOERTH ET LE JET D’EAU DE GENEVE...

de Polycarpe

La tribune de Genéve nous révele ce jour, que Madame Woerth, alors encore employée par madame Bettencourt, effectuait de nombreuses allées et venues, dans la citée de Calvin. Que pouvait bien faire, cette épouse d’un ministre du budget de la France, à Genéve ?.

Les langues de putes ( journalistes, gens de l’opposition, bloggeurs) diront, qu’elle faisait du placement hors- fisc de Bercy, avec les sommes énormes, de son illustre patronne, avec l’aval de son mari, Eric, chantre de la lutte contre la fraude fiscale... Tout cela, bien évidemment, ce sont de faux bruits, par des malveillants répandus ( diront en choeur Fillon, Baroin, Hortefeux ou Alliot-Marie) Madame Woerth, est une romantique, elle aime beaucoup, mais alors beaucoup, le jet d’eau de la rade.

Dans une période pas si lointaine, elle était partiquement, prise de convulsion, si elle ne se rendait pas, trois fois dans le mois, dans les beaux quartiers de Genéve, pour voir de prés, ce miracle de beauté, le grand jet ! Son mari, bien sûr n’était pas informé de tous ces voyages cachées, car honteux, comme une addiction maladive au lac Léman...

Voilà, toute la vérité, rien que la vérité, madame, la juge, nous sommes blancs comme neige, dans toutes ces mises en cause, en figure de chasse à l’homme, contre celui qui veut réformer, et perréniser les retraites par répartition : ERIC WOERTH ( et son orchestre de fausses notes) mon mari !

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