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MAM : le sabre puis le goupillon !!!!!!!!!!!!!!!

Publie le samedi 1er décembre 2007 par Open-Publishing
3 commentaires

MAM : le sabre puis le goupillon

| 1er décembre 2007 |bétapolitique

Il faut croire que le passage au ministère de la défense laisse des traces. Après avoir fait faire des ronds dans l’eau à notre ancien porte-avion entre l’Inde et la France et nous avoir délivrée des mensonges gros comme un pastis basque à ce sujet.

La ministre tente un recyclage à l’intérieur, et déclare ce jour :

"la reconnaissance de la France envers l’Eglise catholique (...) pour son rôle historique et sa contribution à la définition d’indispensables repères moraux"

Elle ne passera, sans doute, pas Fillon III ce printemps.

Pour les repères moraux de l’Eglise, je vous conseille "suveiller et Punir" de Foucault qui nous livre sur les trois premières pages un procès-verbal d’un écartèlement au moyen-age. Un bijou de réalisme pas très catholique.

- http://www.peuples.net/

de
 http://www.betapolitique.fr/+MAM-le...

Messages

  • tu as trouvé ce passage dans quel discours de mam ???? envoyer ca au canard. Ils vont adorer

  • Les propos de MAM ont l’avantage d’être clairs.

    Effectivement il s’agit d’une main mise du spirituel et en particulier de l’église catholique "vaticanesque" sur la gestion de notre société, et ceci très bien orchestrée par les pouvoirs en place.

    Le petit supplément faisant référence au religieux insidieusement inséré dans le préambule du texte de la constitution européenne en est le meilleur exemple.

    De plus on assiste à une attaque rampante de l’école public qui n’a que pour seul but de privatisé l’enseignement au profit d’établissement religieux.

    Pour meilleur preuve il suffit de lire l’intervention, le 27 novembre, de Madame la députée PCF Marie-Héléne Amiable, à l’assemblée nationale.

    J’en reporte ici un extrait. M.Mengneau

    Monsieur le secrétaire d’État chargé de l’outre-mer, si l’article 89 de la loi de 2004 ne modifie en rien la loi Debré, expliquez-moi donc, par exemple, pourquoi je recevais de nouveau hier, et pour la troisième fois, une lettre par laquelle un établissement privé d’une commune voisine de celle dont je suis maire me demande de payer, à compter de 2004, les frais de scolarisation d’une vingtaine d’élèves pour lesquels je n’ai pas donné mon accord, alors même qu’il y a de la place dans les écoles publiques de ma commune. (Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen divers gauche.) Cette demande est la troisième que je reçois et, je le répète, c’est la troisième fois que cet établissement me demande de payer.