Accueil > Marché de la nation en Allemagne...
Elle en trépigne d’impatience la gauche allemande dans l’attente de la réception du choix que Mr Schröder fera au tournant des résultats de ces élections législatives qui finalement ne semblent pas lui être aussi défavorable que n’osait le prétendre l’ensemble de l’opinion.
Elle en a des sueurs de voir l’homme en qui elle mettait toute sa confiance sept ans avant et qui ne serait pas étonnée de le voir disparaître derrière un appât de façade FDP, plus consistant que la solution verte que le SPD devait déjà trouver trop rigoureuse à ses programmes et n’être plus qu’un homme de paille dévoué à une droite qui exige par lui une reconnaissance au pouvoir car elle ne peut être reconnue que par l’accord du Chancelier sortant.
Ainsi serait encore un peu plus perdu de poids en Europe de pouvoir de la gauche et l’homme Schröder de préférer sauver sa tête plutôt que de se tourner vers une gauche intégrale qui inclurait la formation d’Oskar Lafontaine...
Mais cette logique de papier est déclarée comme inenvisageable alors qu’elle porte sur deux sièges les prémisses d’une reconnaissance politique de cette Allemagne anciennement de l’Est signifiée comme assimilée mais d’où les sévères critiques, plutôt que de poser problème en se tournant vers la simple contestation, devrait permettre d’orienter la définition d’une nouvelle gauche par la reconnaissance de ce qui lui reviendrait de droit, à savoir la reconnaissance légitime de son existence politique par son inclusion aux côtés du gouvernement en tant que participante à part entière aux tâches étatiques car après tout, son discours n’est pas si vide de sens qu’il n’y paraît...
Mais bon, en politique les calculs sont souvent faussés et s’éloignent des bases des principes de répartition schématiques des différentes mouvances représentatives d’une seule ( ? !) au sommet de l’Etat alors certainement que le Link refusera tout soutient, quelque qu’il soit...