Newell Rubbermaid dépèce l’usine Reynolds de Valence

Après avoir licencié les salariés de l’usine, des petites mains, payées par la multinationale americaine Newell Rubbermaid, s’empressent de dépanner, nettoyer et emballer les machines d’assemblages, de conditionnements, de moulages à destination de la Chine, Tunisie, Inde ou le droit du travailleur n’existe pas. "Peut-il y avoir un changement de société sans affrontement ?, jusqu’où doit-on courber l’échine, baisser la tête avant de se réveiller ?" demandent les Reynolds. (Vidéo réalisée par des anciens salariés de Reynolds).

Le pillage de l’usine Reynolds