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Nicolas Sarkozy remonte dans les sondages !

Publie le samedi 17 février 2007 par Open-Publishing
22 commentaires

Nicolas Sarkozy rêve tellement d’être élu. Depuis au moins 30 ans il se voit président, au dessus de tous, avec le petit bouton rouge pour éteindre sa soif de puissance et de suffisance. Il ne faudrait pas qu’une femme, suprème déshonneur, lui prenne sa place.

Il n’a quand même pas passé les 5 dernières années de sa vie, en campagne permanente, à accepter de supporter d’imbuvables personnes, pour être privé de sa récompense : l’Elysée.

Aussi, faut-il se donner toutes les garanties. Notamment celle de compenser un bilan désastreux et un programme démagogique et qui prend les électeurs pour des veaux. Si les français ouvrent un peu les yeux ils risquent de faire ce qu’ils font à chaque élection : l’alternance. La raison les y pousserait (le bilan des 5 dernières années est assez vite fait), il faut donc travailler cette raison au corps.

Les sondages sont là pour ça ! Pensez-vous : la plupart des instituts de sondage sont aux mains d’amis complaisants, la presse à 75% détenus par des proches. Laissons faire les sondeurs comme on laisse faire le vent pour sécher le linge.

Démonstration du processus. C’est un peu long, mais indispensable pour comprendre la logique du gesticulateur précoce

La campagne présidentielle 2007 est l’occasion de multiples sondages qui semblent peu crédibles et parfois manipulés.

C’est étrange mais plus les instituts de sondages se trompent et plus les Français sont sondés. Faut-il rappeler les échecs passés lors d’élections françaises ? Trois mois avant le scrutin de 2002, les candidats Jacques Chirac et Lionel Jospin arrivaient en tête avec 23 % des intentions de vote, loin devant M. Jean-Pierre Chevènement, qui en obtenait 12 %, et M. Jean-Marie Le Pen, qui était gratifié de 8 % (Sofres, 4 février 2002) [1] ?

La campagne de l’élection présidentielle 2007 connaît ainsi une multitude de sondages (portant même sur le second tour, ce qui n’a guère de sens), chaque semaine, alors même que tous donnent les mêmes tendances du moment. Comme ils sont publiés les uns après les autres, nous connaissons une répétition d’une seule et même information.

Une seule et même information répétée et relayée par l’ensemble des médias alors même qu’elle peut s’avérer totalement erronée, tant les enquêtes peuvent être menées de façon artificielle ou sur un échantillon trop contestable.

Au-delà, comment accorder une crédibilité sans nuance à certains sondages comme ceux de l’Ifop dont la présidente n’est autre que Laurence Parisot, également présidente du Medef et proche du candidat UMP Nicolas Sarkozy ?

En réalité, les sondages parasitent le terrain et dans la plupart des cas ne retranscrivent pas la réalité. Le Monde diplomatique [3] relève un exemple probant : « Quand M. Nicolas Sarkozy ou son conseiller politique M. François Fillon ont pris des positions démagogiques en matière de répression des jeunes délinquants ou de remise en cause des « régimes spéciaux », un sondage a aussitôt été diligenté. Le 15 septembre dernier, par exemple, Aujourd’hui en France titra en Une : « Retraite, la fin des privilèges, les Français sont pour ». Et, en matière de sécurité, c’est au moment précis où un policier brutalisé témoignait des violences qu’il venait de subir que l’« enquête » intervint. »

L’ancien président de la Sofres, Pierre Weill fut « stupéfait » devant un enquête si biaisée : « On est stupéfait à la lecture des deux enquêtes, de voir à quel point les réponses sont dans les questions : au point qu’il est légitime de se demander si les résultats reflètent l’avis des sondés ou le pressentiment des sondeurs ! L’Ifop, par exemple, introduit ainsi le questionnaire de l’étude qu’il a réalisée pour le Figaro et LCI : « A propos de la récente agression de deux CRS à Corbeil-Essonnes et plus généralement au sujet de la délinquance, êtes-vous tout à fait d’accord, plutôt d’accord, plutôt pas d’accord ou pas d’accord du tout avec les affirmations suivantes ? » Difficile, lorsqu’on vous apostrophe ainsi, de ne pas donner dans la surenchère répressive, sauf à se sentir d’une lâcheté coupable envers les deux CRS victimes d’agresseurs ignobles » [4].

En comparaison, ce qui est tout à fait étonnant, c’est l’absence de sondages après la rencontre de M. Sarkozy avec le président des Etats-Unis Georges W. Bush, après ses déclarations condamnant en territoire étranger la politique étrangère du gouvernement auquel il appartient, ou après son déplacement raté en Corse : aucune enquête d’opinion ne nous a instruits de ce que les Français en pensaient dans un pays qui produit pourtant deux sondages par jour en moyenne.

Alors les sondages sont-ils un outil pour servir certains candidats ? Et en particulier (uniquement ?), celui de l’UMP ?

On peut légitimement se poser la question. En ce sens, soulignons l’étrange manœuvre ayant eu lieu autour du discours de Mme Royal, le dimanche 11 février 2007 à Villepinte :

– Tout d’abord, l’ensemble des médias a focalisé la population sur cette intervention en affirmant qu’il s’agissait d’une étape essentielle voire « vitale » pour la campagne de la candidate socialiste.

– Le discours ayant été particulièrement bien reçu par l’ensemble des présents et des commentateurs, on a assisté à un réajustement du positionnement des médias qui se sont montrés plus impartiaux pour nombre d’entre eux.

– Pour autant, très vite, alors que l’ensemble des médias appelait à plus de propositions la veille du discours, ce contenu a été tout simplement ignoré, bien que très abondamment traité par la candidate pendant près de deux heures.

– Dès le lendemain, été rendu public et relayé un sondage donnant une nouvelle fois Ségolène Royal perdante, alors même qu’il était tout à fait obsolète et ne prenait pas en compte la prestation de cette dernière.

– Le même jour et comme chacun s’en doutait, nous avons assisté à une médiatisation abusive sur le financement des mesures, alors même que cela n’avait jamais été demandé à Nicolas Sarkozy, sous-entendant, -ce qui a bien entendu été infirmé depuis, mais trop tard- que le programme de Mme Royal était un « gouffre financier irresponsable ».

– Etrangement, le mardi 13 février, la population prend connaissance d’un sondage réalisé par l’Ifop, dont la présidente Laurence Parisot est proche du candidat UMP.

– Précisément, ce sondage donne une avance encore plus large de M. Sarkozy sur Mme Royal que précédemment au discours de cette dernière. Le rapport est alors de 54 % contre 46 % au second tour.

On saisit alors aisément la volonté de « casser » la dynamique de Ségolène Royal suite à son discours reconnu comme de très haute tenue. Volonté de l’UMP relayée par un institut de sondage « ami ».

Il faut préciser que ce sondage a été commandé par Paris Match, propriété d’Arnaud Lagardère, ami intime du président de l’UMP.

Il a été effectué le lundi 12 février 2007 auprès de seulement 879 personnes et alors que la population n’avait pas eu le temps de prendre en compte le discours prononcé la veille par Mme Royal. Mais aucune nuance n’est apportée au sondage de l’Ifop et il est bien précisé : « sondage réalisé après le discours de Ségolène Royal ».

Comment les médias peuvent citer en boucle des sondages donnant un rapport de 51 % à 49 % ou de 52 % à 48 % alors même qu’un résultat aussi serré n’a aucune valeur statistique du fait de la marge d’erreur (plus ou moins 3 %).Cela explique peut-être le fait que depuis peu, certains sondages sont ainsi un peu plus large avec un rapport de 53 % à 47 % ou 54 % à 46 % (celui de l’Ifop) : pour se rendre plus crédibles ?

Il n’y a en fait que peu d’ « alertes » sur la faible crédibilité des sondages, et ces derniers continuent d’affluer.

Alors, il y a peut-être un premier intérêt à la prolifération des sondages. C’est, pour les médias, celui de surestimer ou de sous-estimer un ou une candidat(e) et de procéder à un classement (comme le confirme le rappel de la Commission des Sondages, cité plus haut) : nous avons ainsi l’organisation d’un suspense qui ne peut que rendre les débats plus animés et les médias plus sollicités, plus écoutés, plus lus, plus regardés.

D’ailleurs, notons que ce sont les propres sondeurs qui commentent abondamment les sondages dans les médias, ce qui ne permet aucunement de relativiser des résultats. On le comprend donc aisément, les sondages des grands instituts constituent aujourd’hui un outil au service du candidat et président de l’UMP, Nicolas Sarkozy. Paranoïa ? Les sondages peuvent agir sur la réalité. Ce ne sont pas les sondés mais les sondeurs et les décideurs médiatiques qui influencent sur la sélection des candidats.

C’est la participation des sondages dans la sélection des candidats et dans leur médiatisation, la collusion des intérêts avec les médias, qui entraînent le fait que les candidats consacrent l’essentiel de leur temps à promouvoir leur image plutôt que des idées. En l’espèce, la palme revient à Nicolas Sarkozy.

Résumons : celui qui commande, celui qui paye et qui fait publier peut faire dire ce qu’il veut aux sondages. Ceux qui commandent, qui payent, qui publient sont tous ou presque des proches du candidat UMP .

http://sarkostique.over-blog.com/article-1319130.html

Messages

  • On pourrait aussi en jouer des sondages, en répondant à côté. Quand ils en auront marre qu’on se moque d’eux, ils arrêteront.

  • une seule solution :moins de sondages et plus de debats controlés par les citoyens electeurs contribuables,le CSA a la retraite

  • Si l’on veut voir d’autres chiffres il n’y a qu’a faire un tour du côté d’expressionpublique .com il y a un espèce de comparatif Sarko Sego auquels ont répondu plus de 5500 pesonnes et Sarko s’en prend plein la gueule et ça fait plaisir à voir.Cela laisse rêveur quand aux sondages effectés à la demande des journaux appartenant aux Bouygues, Lagarderes et autres Dassaults.
    MM

  • Je ne vais pas reprendre votre Article sur les sondages,je les prends pour ce qu’ils sont : Un Avis de X personnes à un moment Y.

    C’est le tout début qui m’amuse quand vous dites que Sarkozy en rêve.

    Il y a eux pire comme exemples de Candidats qui ont tellement rêvé à cette place que ceux ci se sont présentés avec un

    cancer déclaré.

    Ce sont POMPIDOU et MITTERRAND.

    Où la vanité ne va t-elle pas se nicher.

  • Merci oeil de verre

    mais permet moi de dire que la haute teneur de sego je n’ai pas eu la meme sensation que toi mais bon.... quand aux sondeurs, sondons donc...

    < etes vous pour les sondages> plutot oui ;plutot non ; pas vraiment ; ou pas du tout ??

    Quand a 86 moi il me scotche

    pompidou et mitterand avait le cancer quand ils se sont déclarés : je ne vois pas le rapport

    Le seul chiffre que je retiens de sarko c’est : plus 4,86% d’atteintes aux personnes en 2006

    Cette seule raison( il y en a d’autres) me fera voter mgb

    louis coconuts

  • Les sondages ? Justement sur la foi de sondages, les militants socialistes ont chosi Royale !
    Grossière erreur, pire qu’en 2002...
    En 2002, sur la foi des sondages, le PS préparait le 2e tour avant l’heure.
    Elle est incompétente, ce n’est pas un sourire permanent qui va la sauver.
    Ni les 100 propositions, pour la plupart bidon, qui vont l’aider.
    On peut critiquer les positions de Sarko, bien sûr, mais reconnaissons que c’est un bosseur, qu’il connaît ses dossiers et qu’il est ô combien plus capable d’être président que Royale.
    Dur à dire, mais hélàs, c’est comme ça.
    Et, pas la peine de pleurer Royale : soce-bourgeoise qui vantait le projet de constitution européenne réactionnaire.
    A gauche, il n’y a que Buffet, Bové, Voynet, Besancenot et Laguillier : tous trop bêtes pour y aller en ordre dispersé...
    Au final, sondages ou pas, les électeurs ne sont pas dupes : aucun candidat crédible à gauche.
    ça va être du poher-pompidou comme en 1969. Et on l’aura bien mérité !

    • La question n’est pas simplement de savoir si Ségolène n’a pas le niveau (je te jure !) ou si le programme ne vous plait pas. Si son programme vous plaisait vous ne seriez pas ici vous seriez au PS.

      La bonne question est plutôt la suivante, en ayant le niveau et ayant le bon programme allez-vous vous gagner utilement ? Non. Mais vos idées vont triompher même perdants. Admirable ! On est là pour ca. Comme c’est plaisant.

      On ne dit évidemment pas de voter pour le PS au premier tour, devons-nous en revanche contribuer verbalement à tous instant à la curée contre Ségo qui la fait chuter tous les jours. Oui ? non ? indifférents ?

      Enfin, dernière hypothèse : on a tous tellement raconté avec tous les toquards de l’UMP qu’elle était une pleine conne, on l’a dit et on l’a fait savoir aux voisins de palier, que la voilà qui s’effondre au premier tour. Quel est notre avantage ? On y gagne quoi ? un boulot avec Sarko, un RMI musclé, un appart pas cher.

      Vous vous en foutez complètement que ce soit Sarko ou pas ! Chantez-le chantez-le, après on pourra ensemble tous le danser autour du feu.

      Il est bien que la gauche radicale sache ce qu’elle pense et se définisse clairement, il serait souhaitable en même temps qu’elle mette de la subtilité dans sa stratégie. Qui a lu Sun zu sait qu’un des éléments de l’art est d’affaiblir moralement les lignes arrières de l’ennemi. Bravo Sarko pour le moment il se démerde ! Ovation au vainqueur ! c’est comme ca que les zoulous honoraient les combattants plus doués qu’eux.

      Sans faire amis amis avec le PS qui n’est pas ici d’actualité, je crois bien que nous n’avons pas le moindre intérêt dans sa défaite, nous, on y récoltera au mieux la déroute.

      Ocséna

  • Sarkozy serait capable ? la première qualité de quelqu’un de capable est de savoir s’entourer .

    voyons le choix de ses porte-paroles, pour le candidat c’est Xavier Bertrand, pour le president de l’UMP c’est Valérie Pecresse.

    le 16 janvier 2007 a l’assemblée nationale representé par un autre ministre et dans un courrier precedent le porte parole ministre de la santé prend pour "une conne" Valerie pecresse porte parole de l’UMP et député en lui mentant.

    Celle ci remercie bien le ministre présent de s’etre foutu de sa gueulle et des électeurs et militants qu’elle represente.

    ils sont forts les porte-paroles sarkozyen !!!

    les details croustillants de l’affaire Bavier Bertrand mensonges, dissimulation et tromperie concernant des risques sanitaires l’affaire Xavier Bertrand

    http://next-up.org/forum/viewtopic.php?t=207

    S’ils se prennnent pour des anes entre eux , que pensent ils "du peuple"

  • Vous n’êtes que des dangereux paranoïaques, quand la presse parlait de Ségogo en bien, elle était impartiale et maintenant que la godiche se révèle, les médias sont des suppos de satan ? allons allons, vous savez bien que personne ne l’oblige à balancer toutes ses bourditudes... ce n’est que pain bénit pour ses détracteurs et tant mieux ! autant voir le désastre potentiel avant qu’après !
    Sarkozy sera un bon Président et il vous fera bien la nique, bande de cons de gauchos de base.
    Les neo conservateurs, c’est VOUS !!

    • Je viens de consulter le site « expressionpublique .com » et la, gros décalage entre les sondages des IFOP, SOFRES, et autre avec les résultats du site, ahhhh manipulation quand tu nous tiens !!!!!!!

      De toute facon l’IFOP avait pour présidente une certaine Laurence Parisot actuelle patronne du MERDEF, alors pour l’objectivité, cet institut de sondage pro-Sarko peut repasser.

      C’est sur, au soir du premier tour de la présidentielle, il y aura des surprises mais ces instituts de sondages vont nous expliqués qu’ils se sont trompés, mais c’est de la fautes des francais qui n’ont pas voté comme il fallait.

      SUPERYETI

    • Quand la presse bêtifiait de façon ultra-favorable à Ségo, qui était dupe ? qui a alors soutenu parmi nous ? (d’ailleurs on n’avait nul besoin de le faire et ce tintamare nous gonflait)

      Certes la manoeuvre, le retournement actuel était prévisible, après avoir trouvé son intérêt médiatique dans Ségo, la presse trouve son intérêt politique contre elle.

      Notre intérêt à nous maintenant c’est de ne pas laisser ce massacre aller en l’appuyant de propos stupides, phallos et beaufs, stop les dégats du verbe con, ne pas se tromper d’adversaire. Il y en a un qui est le véritable.

  • Segolene Royal fait des bourdes et une mauvaise campagne c’est clair ! Mais il y a un moment où faut être juste, malgré ce qu’on peut penser d’elle, du PS, de son programme, c’est une véritable cabbale médiatique qui s’est organisée contre elle. Quand bien même elle et son programme seraient irréprochables, sarko a trop de moyens à sa disposition. C’est pas de la paranoïa c’est du bon sens et de la lucidité.

    • Expression publique .com des réponses pas faites au téléphone avec 900 personnes, mais plus de 5000,qui vont sur ce site repondrent a 23 questions et sous questions librement selon leur choix.

      Question 23 : Si le second tour oppose Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy, qui souhaiteriez-vous voir élu président de la République ?
      Ségolène Royal 52 %
      Nicolas Sarkozy 36 %
      Ni l’un, ni l’autre 10 %
      Sans opinion 2 %
      Non réponse 1 %

  • Extraordinaire retournement de la situation Ségolène détestée par les médias et les instituts de sondage , alors que c’est eux qui l’ont consacrées . Mais dès que le vent tourne , quelle injustice...Un peu de sérieux !

    En 2002 les sondages se sont plantés et vous prenez en exemple pour le prouver un sondage réalisé 3 mois avant les élections, c’est ridicule . Vous savez très bien , cher manipulateur moraliste à l’oeil de verre (un indice ?), que sur trois mois tout change dans le cadre d’une élection et vous savez également très bien que dans les sondages non-publiés dans les derniers jours de la campagne voyaient la cote de l’infâme Le Pen monter dangereusement et celle de Jospin fléchir .

    Je pense que ce n’est pas en adoptant une attitude de Caliméro que la gauche à une chance de battre le nain hargneux (ben non , je ne l’aime pas !), mais en attaquant le fond de son programme et malheureusement celui de Marie-Ségolène est tout aussi nul (lundi on rase gratis) . Votre article malheureusement reflète parfaitement l’état de la gauche en France : des mots qui forment des grandes phrases mais au bout du compte du vide , du vide , du vide...

    • nicolas remonte dans les sondages comme les merdes qui remontent sur la marée médiatique qui les porte...

    • Qui est la merde dans tout ça ? Toi ou les autres ! un peu de retenue ne te ferait pas de mal !

    • Raisonne, peut-être !

      Elle était soutenue par les médias pour des raisons médiatiques, au départ ca faisait vendre.

      Les medias sont maintenant gagné par la raison politique : pour eux à ce stade maintenant c’est Sarko l’homme de la situation pour de nombreuses raisons.C’est pas Hollande et le PS.

      D’abord qu’est-ce qu’il a dit de clairement mortel François Hollande "qu’ils allaient (les socialos) faire payer ceux qui gagnent plus de 4400 euros par mois."

      Or, combien gagnent les journalistes les plus assis dans la vie ? Plus de 4400 euros par mois. Ben tu vois le PS constate que toute la presse est contre sa candidate et pleine d’enthousiasme pour le dynamique libéral de l’UMP.

  • Naïf est celui qui croit dans la valeur des sondages. Le seuls qui se remplissent les poches sont les instituts de sondages.
    En novembre 2006, alors que Ségolène était au summum, j’ai fait un pari avec un collègue qu’au printemps 2007 elle allait s’effondrer. Il ne fallait pas être grand clerc pour en être certain.
    Si l’électrocardiogramme était plat, comment les sondeurs s’enrichiraient-ils ? CQFD

  • Ce n’est pas en cassant le thermomêtre que Ségolène Royal gagnera....

    Les français sont à 40 % maxi "à gauche" !