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Parc amazonien : les mots qui fâchent (news de guyane)
Publie le lundi 11 février 2008 par Open-Publishing1 commentaire
Parc amazonien : les mots qui fâchent
Première étape de la visite du staff gouvernemental en Guyane : Camopi, fief UMP, et commune du parc amazonien de Guyane (voir communiqué du Parc). Le staff sera reçu par une importante délégation dont Hermann Charlotte (maire de Saül et président du conseil d’administration du parc) et Frédéric Mortier (directeur du parc), mais il ne faut pas trop s’attendre à ce qu’une voix s’élève pour porter la revendication des Amérindiens du haut-Maroni (d’être intégrés dans les contours du parc pour tenter de se protéger des ravages de l’orpaillage). Une demande forte pourtant, mais faite par des gens sans voix et sans pouvoir économique, seulement portée par des associations (Collectif de soutien aux amérindiens du Haut Maroni, LDH, Solidarité Guyane, Kwata-Gepog-Sepanguy - que ceux que nous aurions oubliés nous excusent) et superbement ignorée de nos policitiens.
L’esprit du jeune Khumalé Pleike pourrait bien venir hanter cette visite.
(ce jeune "disparu" depuis peu... voir site
Tapez journal de guyane et vous trouvez un canard du coin....
Messages
1. Parc amazonien : les mots qui fâchent (news de guyane), 11 février 2008, 12:20
taper blada com ...
Jodla lundi 11 février 2008 - il est 08:16 en Guyane
Des dossiers dramatiques remis au président de la République
Réseau Education Sans Frontières et la CIMADE sur la situation des étrangers en Guyane
Lettre ouverte de SOLIDARITE GUYANE sur la détresse des amérindiens du Haut-Maroni
La LIGUE DES DROITS DE L’HOMME sur le contexte particulier de la Guyane
Le SNUipp-Guyane, sur la situation de l’éducation en Guyane
Jodla 10/02/08
Parc amazonien : les mots qui fâchent
Première étape de la visite du staff gouvernemental en Guyane : Camopi, fief UMP, et commune du parc amazonien de Guyane (voir communiqué du Parc). Le staff sera reçu par une importante délégation dont Hermann Charlotte (maire de Saül et président du conseil d’administration du parc) et Frédéric Mortier (directeur du parc), mais il ne faut pas trop s’attendre à ce qu’une voix s’élève pour porter la revendication des Amérindiens du haut-Maroni (d’être intégrés dans les contours du parc pour tenter de se protéger des ravages de l’orpaillage). Une demande forte pourtant, mais faite par des gens sans voix et sans pouvoir économique, seulement portée par des associations (Collectif de soutien aux amérindiens du Haut Maroni, LDH, Solidarité Guyane, Kwata-Gepog-Sepanguy - que ceux que nous aurions oubliés nous excusent) et superbement ignorée de nos policitiens.
L’esprit du jeune Khumalé Pleike pourrait bien venir hanter cette visite.