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Plaidoyer pour une société végane. Une société sans aucune forme d’exploitation
par LEUR VIE NE NOUS APPARTIENT PAS
Publie le mercredi 25 juin 2014 par LEUR VIE NE NOUS APPARTIENT PAS - Open-Publishing9 commentaires
Notre société semble préoccupée par le bien-être animal. Les médias se font l’écho des défenseurs des animaux ou des écrivains traitant de ce sujet. Des livres comme Bidoche de Fabrice Nicollino ou No Steack du chroniqueur Aymeric Caron ont largement été médiatisés.
Les personnalités politiques concernées (gouvernement, assemblées) se disent préoccupées par la question du bien-être animal.
Cette expression "bien-être animal" est aussi très largement utilisée par les différentes filières exploitant les animaux. (Voir le site du Centre d’Information des Viandes par exemple)
Notre approche de la question animale est radicalement différente. A l’instar de nos anciens, frères de combat pour la liberté, la liberté pour toutes et pour tous, qui ont obtenu l’abolition de l’esclavage d’humains (qui d’ailleurs n’étaient pas considérés comme appartenant à l’espèce humaine !), nous demandons la fin immédiate de l’esclavage animal.
Nous demandons la fin immédiate de tous sévices, la fin immédiate de tous mauvais traitements, la fin immédiate de toutes privations de liberté et bien sûr la fin immédiate de tous actes de torture sur animaux et y compris la torture considérée comme légale.
Enfin, nous demandons la fin de toute mise à mort de quel qu’animal que ce soit pour notre égoïste profit.
Nous pensons que nos revendications précises et fondamentales ne sont pas compatibles avec une exploitation même prétendue douce, même raisonnée de l’animal et nous revendiquons leur libération immédiate.
Nous ne voulons plus d’une société exploitrice d’animaux, nous souhaitons une société végane pour le bien de tous, animaux et humains !
Afin de prendre connaissance de notre argumentation, nous vous invitons à lire la brochure "Plaidoyer pour une société végane. Une société sans aucune forme d’exploitation animale"
http://media.wix.com/ugd/c1b2c0_1495917443f84a0c813323cf3d38b054.pdf
Cette brochure est constituée de 3 volets :
– Le premier expose les raisons de notre démarche notamment en mettant en avant la reconnaissance de la sentience comme la valeur absolue sur laquelle on ne peut faire l’impasse quant à nos comportements envers les animaux (êtres sentients).
La sentience reconnaît aux animaux des capacités cognitives comme la pensée, des moyens de communiquer, l’aptitude à avoir des projets, à s’adapter par la réflexion et une forme d’intelligence à des situations précises.
lls peuvent ressentir du plaisir, de la joie mais aussi endurer la douleur d’une séparation, la frayeur, bref toute souffrance psychologique d’un enfermement par exemple, ce que ne ressent pas le végétal.
Une fois la sentience animale reconnue, nous pourrons déconstruire les mécanismes du spécisme enfouis en chacun de nous par nos cultures, nos habitudes et le poids des religions. Le spécisme est une discrimination basée sur l’espèce. L’espèce dite dominante - la nôtre- s’étant arrogé tous les droits sur les autres espèces ; nos intérêts les plus futiles ont toujours plus d’importance à nos yeux que ceux des autres espèces, espèces dominées, et même leurs intérêts les plus fondamentaux.
L’argument du spécisme quant à la légitimité de l’exploitation animale est de considérer les animaux non-humains comme inférieurs, dépourvus de capacités notamment intellectuels, artistiques, créatrices. Les recherches en éthologie qui n’en sont qu’à leur balbutiement nous apprennent cependant qu’il n’existe aucun fondement à de telles affirmations comme nous l’avons brièvement démontré un peu plus haut.
Le spécisme peut aussi consister en privilégier certaines espèces animales "sympathiques" comme le chien par exemple par rapport à d’autres.
– Le second volet établit un constat édifiant sur l’exploitation animale dans de nombreux secteurs (l’alimentation, l’habillement, les loisirs) Les animaux n’étant que des machines à produire qui de la viande, qui du lait, qui des œufs, qui du cuir ou de la fourrure et quand bien même, certains se préoccupent de leur bien-être dans quelques rares élevages, il n’est pas justifiable d’un point de vue éthique d’emprisonner et d’exploiter quel qu’être sentient que ce soit.
La question de la chasse est également abordée parce que les relations entre animaux sauvages et le monde paysan sont souvent difficiles pour les animaux qui les paient de leur vie !
Et cette pulsion de tuer cachée derrière des pseudo-arguments comme la gestion de la faune sauvage devrait interpeller la société et la classe politique. Il faudra bien qu’un jour, le meurtre d’un animal soit reconnu comme aussi impensable moralement que celui d’un humain.
L’animal peut aussi être objet de curiosité dans les zoos ou dans les cirques. La curiosité pour l’animal n’a rien de mal en soi mais les conditions pour assouvir cette curiosité sont source d’une profonde souffrance psychologique pour ces êtres sentients et ce jusqu’à la fin de leur triste existence.
L’animal est enfin un jouet, un objet de divertissement lors de fêtes champêtres où on le marque au fer rouge ou pire encore, lorsque la torture puis l’agonie et la mort d’un taureau procurent la jouissance suprême (parfois au sens propre !) à des êtres pervers sur les gradins des arènes.
– Dans le dernier volet, nous avons tenté de répertorier les transformations majeures que le véganisme impliquera dans notre société.
La construction de cette nouvelle société générera de nombreux emplois et ne portera aucun préjudice tant aux acteurs de l’exploitation animale qu’aux consommateurs anciennement carnistes : reconversion pour les premiers et une aide à la consommation de produits vegans pour les plus réfractaires de la seconde catégorie.
De plus, leurs consciences libérées d’un terrible fardeau, celui de la complicité dans des milliards de meurtres d’êtres sentients, ils accéderont à une existence plus épanouissante, plus sereine, plus riche.
Nous avons également réfléchi au devenir de ces animaux libérés : comment une telle situation pourra-t-elle être gérée sans préjudice ni pour eux ni pour l’homme ?
Enfin, notre environnement devra être reconfiguré afin de mieux partager cet espace avec les autres terriens !
Notre projet de société est sans doute utopique, fondamentalement différent de ce que nous avons construit jusqu’à présent mais nous vous remercions d’y réfléchir très sérieusement.
Messages
1. Plaidoyer pour une société végane. Une société sans aucune forme d’exploitation, 26 juin 2014, 10:05, par Ouistiti
Vegan, comme Adolf !!!
http://www.lemonde.fr/europe/articl...
1. Plaidoyer pour une société végane. Une société sans aucune forme d’exploitation, 26 juin 2014, 11:40
Pour l’abolition du capitalisme.
2. Plaidoyer pour une société végane. Une société sans aucune forme d’exploitation, 26 juin 2014, 13:11, par LUd
L’émancipation des exploités ne devrait-elle pas être l’œuvre des exploités eux-même ? Ici les animaux.
Non, il suffit de convaincre les exploiteurs (les humains ici) d’arrêter leurs forfaits, de "prendre conscience" et de libérer les animaux. C’est très beau.
Ce sont souvent les mêmes (eh oui !) qui expliquent que c’est aux hommes de libérer les femmes (en faisant des efforts, en prenant conscience, etc.)
Aux "blancs" de libérer les "non-blancs" (n’importe quoi leurs concepts racialisant mais tout bêtement racistes) en cessant d’être racistes.
Que les patrons doivent être plus sympa avec leurs salariés (aaah les patrons de gauche !!)
Etc. etc.
Ce sont toujours les mêmes bobos de "gauche" antispécistes, pro-féministes qui prétendent tout remettre en cause (apparences apparences) pour conserver leur privilège de classe, leur mode de vie bourgeois-bohèmes etc.
Lutte des classes ! Classe contre classe !
1. Plaidoyer pour une société végane. Une société sans aucune forme d’exploitation, 26 juin 2014, 17:11, par LEUR VIE NE NOUS APPARTIENT PAS
Quand on veut défendre coûte que coûte le droit à bouffer du cadavre animal, les commentaires sont affligeants, de la plus parfaite mauvaise fois.
On ressort ce brave Hitler du placard qui n’est même plus végétarien mais carrément vegan ! Ah oui, tout évolue ma bonne dame !!
Tiens, un connard de droite nommé Ferry pas si éloigné de vous en sommes avait le même argument d’une simplicité déconcertante : hitler est vg, donc les vg sont des nazis ! Simple non ? ( de plus il n’était pas vg mais on n’est pas à une contradiction prêt !)
Enfin, tout ceci veut bien que quelque part, cela vous gêne, que vous vous sentez mal de faire parti de la classe des bourreaux, des tortionnaires, des oppresseurs, vous qui dénoncez justement l’oppression.
Je comprends que le monde va si mal avec des e....s comme vous.
Allez partisans de l’esclavage, de la domination, du spécisme donnez des leçons de vie aux autres, vous êtes ridicules !
2. Plaidoyer pour une société végane. Une société sans aucune forme d’exploitation, 26 juin 2014, 18:17, par flipper le dauphin
si vous faîtes des AG, mon poisson rouge aura-t-il le droit de voter ?
3. Plaidoyer pour une société végane. Une société sans aucune forme d’exploitation, 26 juin 2014, 19:51, par LEUR VIE NE NOUS APPARTIENT PAS
si vous faîtes des AG, mon poisson rouge aura-t-il le droit de voter ?
Ah ah !!
4. Plaidoyer pour une société végane. Une société sans aucune forme d’exploitation, 26 juin 2014, 20:19, par A.C
moi j’ai mon perroquet qui a été victime de Zoophilie.
Il viendra àl ’AG pour témoigner !
Un gauchiste l’enc..ait...en lui faisant crier"Coco Content COCOen redemande COCO te dénoncera pas, COCO veut pas que les poulets te volentdans les plumes"
J’ai donc adhéré aux ASSOS qui m’ont convaincu que si on se bagarrepas, t’as des dauphins qui, avec le réchauffement de la planête(ça aussi putain, les "gauchisses" s’en branlent : !) , viendront se battre avec les derniers gamins des favellas, sur la plages de RIO, pour leur disputer les restes d’ordures, de carcasses de rats ou de vieux ballons de foot !
Mais ici, tu te dresses contre les néo nazis aficinados , et on te rentre dans le" lard" !
Révolutionnaires , mon cul, oui !
Ecoutez les"il faut défendreson BEEFSTEAK contre les patrons"
moi je dis :
"exigeons que la CFDT négocie un bon accord de maintien du pouvoir nutritionnel de la courgette et du rutabaga"
Va faire comprendreça à ces salauds qui se tapent un oeuf sans penser à ce qu’ été la douleur dela poule..!
Mais "qui gobe un oeuf dévore ensuite un boeuf" c’est bien connu !
Je vous laisse !
y’a ma mangouste male et ma langouste femelle qui veulent caliner...
J’attrape les préservatifs..
Bonne soirée.
A.C
Président " V.G t’as rien".. de l’ADDPPEPLG
Association De Défense Des Pauvres Perroquets E...és Par Les Gauchistes
5. Plaidoyer pour une société végane. Une société sans aucune forme d’exploitation, 28 juin 2014, 10:30
""Quand on veut défendre coûte que coûte le droit à bouffer du cadavre animal, les commentaires sont affligeants, de la plus parfaite mauvaise fois.""
Exact, c ’est pitoyable et idiot tous ces commentaires ,je ne suis ni végétarien ni végan,mais j’éssaie au moins de diminuer ma nourriture carnée,et je sais que des animaux souffrent .
Alors j’aime aussi manger une bonne entrecote,mais les arguments des végétariens sont justes.
les critiquer aussi bétement n’amoindrira pas mon sentiment un peu coupable .
6. Plaidoyer pour une société végane. Une société sans aucune forme d’exploitation, 28 juin 2014, 21:55, par LEUR VIE NE NOUS APPARTIENT PAS
Merci ...ça change beaucoup de la bêtise crasse que j’ai pu lire jusqu’à présent !