Politicum cupides, un parasite de Vulgum pecus

A l’approche des élections présidentielles de 2007, n’attendez pas pour commander cet ouvrage bienveillant
Politicum cupides, un parasite de Vulgum pecus
ce livre de Guy de Quercy vient de paraître aux Editions bénévent

Ouvrage iconoclaste qui fait une contre propagande contre les politiciens en place. A lire et à faire lire aux indécis avant l’échéance électorale des présidentielles !
Le livre qu’il faut lire avant de se rendre aux urnes en 2007 : Une satyre politico-scientifique, par Guy de Quercy, Maître de conférences dans une imaginaire "Société Française de Politologie" ; Editions Bénévents

Cet ouvrage disponible chez l’éditeur et bientôt en ligne (Amazone et alapage) 6 est un pamphlet politico-scientifique qui propose une réflexion sur la dérive du système démocratique, dont les rênes sont aujourd’hui tenues par un monstre tricéphale constitué des castes politique, médiatique et financière, qui garde la porte d’un enfer de cupidité, de notoriété et de pouvoir. Ces castes règnent sur celle des travailleurs, représentée par le Vulgum pecus.

Dans un système fermé, où les plus hautes responsabilités politiques ne peuvent plus être briguées que par des individus sélectionnés et cooptés par leurs semblables, le citoyen n’a plus droit de cité. Plusieurs espèces se sont ainsi distinguées, en particulier le politicien cupide, Politicum cupides, et le citoyen exsangue, Vulgum pecus.

Ce premier volume d’une trilogie à paraître, est consacré à l’étude de Politicum cupides.

Basé sur l’exemple français, l’ouvrage dénonce le politicien devenu parasite du citoyen ; il montre, sous la forme d’une étude scientifique du parasite, les interactions entre ces deux espèces. Il brocarde les castes du pouvoir et décortique leurs rouages : corruption, vices, impéritie, qui conduisent à la destruction et la spoliation des biens et personnes de la nation.

Avec un humour décapant, il interpelle le politicien et le philosophe autant que le citoyen électeur, sur leurs devoirs et les conséquences de leurs actes ou de leur passivité. Il rappelle que l’homme est responsable des devenirs de la démocratie, de l’humanité et de sa planète. Il exhorte le pays de France, spolié, ruiné, découragé, de rétablir une démocratie responsable, exercée par des citoyens, plutôt que de glisser vers un régime tyrannique en suivant Megalomaniac propagandis, une espèce dangereuse prête à tout pour parvenir à ses fins…

4ème de couverture

Placés sous la froide lumière d’une fibre optique, grossis une cinquantaine de fois par la loupe binoculaire, des spécimens de Politicum cupides (politiciens cupides) épinglés sur des supports en polystyrène, tentent de se disculper…

Impossible ! Impossible d’échapper à l’examen, à sa rigueur scientifique, à la mise en équation de leurs méfaits ! Les politiciens, devenus le premier parasite du Vulgum pecus, subissent ici une mise à jour incandescente !

Cette satire qui décoiffe les mèches les plus amidonnées, passe au crible méfaits, exactions, cupidité, vices, impéritie, toutes formes d’irresponsabilités partagées dans la concupiscence par les castes du pouvoir, politique, médiatique et financier, qui ont conduit le pays de France à la faillite !

Le Vulgum pecus a-t-il conscience de la menace ultime qui pèse sur lui ? Sait-il que la tyrannie s’approche à petits pas nerveux…

L’auteur Le professeur Guy de Quercy, maître de conférences à la chaire de parasitologie d’une imaginaire Société Française de Politologie, est un pseudonyme utilisé par un authentique scientifique, un Vulgum pecus de la variété iconoclastus, dont les travaux sur les cloisonnements sociaux de l’être humain sont à l’origine de la nouvelle classification des Hominidés en 4 sections :

Laboris (laborieux travailleurs) : représentée principalement par le Vulgum pecus, espèce débonnaire qui subit le parasitisme de 3 autres sections ;
Politicus, caractérisée par la cupidité, l’arrogance et la mégalomanie de ses sujets ;
Ploutocratis, qui regroupent les espèces détenant le pouvoir par l’argent ;
Mediatis, dont les représentants cimentent les liens des espèces parasitaires dans une connivente et mercantile complaisance.
En suivant les conseils du professeur Guy de Quercy, saisissez les spécimens de Politicum cupides avec des pincettes, observez les rigoureusement, et vous verrez apparaître le hideux visage de la démocratie qui vire à la tyrannie.

Identifier le mal, c’est un peu le guérir !

Editions Bénévent - BP4049 - 06301 Nice cedex 4

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