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Quelque 70 000 entreprises menacées de disparition en France, selon le Medef.
Publie le mercredi 2 septembre 2009 par Open-Publishing3 commentaires
La présidente du Medef Laurence Parisot prévient que la vague des plans sociaux n’est pas terminée et que 70.000 petites et moyennes entreprises sont menacées de disparition cette année.
A l’occasion de l’ouverture de l’université d’été de l’organisation patronale, elle a estimé que le soutien aux PME et la réforme des retraites étaient prioritaires, et a délivré un satisfecit à la politique fiscale du gouvernement.
Priée de dire si la vague des plans sociaux était terminée, elle répond dans un entretien publié par Le Monde que "le plus grand plan social, ce sont les dépôts de bilan des PME".
"Si l’on reste sur le rythme du début d’année, près de 70.000 entreprises vont disparaître en 2009 et, avec elles, des centaines de milliers d’emplois", ajoute-t-elle.
Messages
1. Quelque 70 000 entreprises menacées de disparition en France, selon le Medef., 3 septembre 2009, 10:31, par momo11
Oui ;on peut faire confiance a parisot,délocalisation et regression,voila tout ce qu’elle sait ;mais elle le sait !!!momo11
1. Quelque 70 000 entreprises menacées de disparition en France, selon le Medef., 3 septembre 2009, 19:02
Reprendre cette info est ridicule car c’est du chantage de parisot : vous baissez les charges sinon .....
2. Quelque 70 000 entreprises menacées de disparition en France, selon le Medef., 4 septembre 2009, 09:21, par Poupoupidou
Si ces travailleurs avaient plus de conscience d’eux-mêmes, au lieu de pleurer car ils se retrouvent au chômage ou ils exultent du fait d’avoir trouvé un emploi, ils DIVISERAIENT le travail qu’ils ont avec ceux qui n’en ont pas pour travailler moins.
Les gens ne travaillent pas pour travailler mais pour avoir de l’argent... qui leur permettrait de "vivre"... une vie de travailleur ! Ce n’est pas le problème du travail qu’il faut résoudre, mais la misère que ce travail produit, ici en privant de ressources certains, là en réduisant l’humain à la débilité de ce travail, et là en lui faisant perdre la plus grande part de son humanité : la solidarité.
Le chômage est une régulation du capital pour que le capital, lui, survive. C’est sa manière de se conserver en vie. Ce n’est pas un désastre humain, c’est une régulation du capital ; et cela le demeurera jusqu’à ce que l’humain se prenne en main et non pas se laisse voguer au gré des régulations du capital.