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Qui est ce Gérard Longuet, sénateur UMP, qui s’exprime sur les retraites ?

Publie le lundi 11 octobre 2010 par Open-Publishing
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Extraits de Wikipedia

"Études et premiers engagements à l’extrême-droite

Après une scolarité passée au lycée Henri-IV de Paris, Gérard Longuet entame des études de droit et de lettres. Diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris en 1966, il obtient un diplôme d’études supérieures (DES) de sciences politiques en 1968.

En 1964, il prend part, en compagnie d’Alain Madelin, à la création du mouvement Occident, organisation de militants d’extrême droite souvent impliqués dans des affrontements violents contre l’extrême gauche.

En 1967, soupçonné en sa qualité de dirigeant du mouvement d’avoir été co-instigateur d’une expédition violente menée par Occident contre des étudiants d’extrême gauche à l’université de Rouen (l’un de ces derniers étant laissé dans le coma après l’attaque[1]), il est inculpé et incarcéré. Gérard Longuet est condamné le 12 juillet 1967 à 1 000 francs d’amende pour complicité de « violence et voies de fait avec armes et préméditation[2] », en même temps que douze autres militants d’extrême droite, dont Alain Madelin et Patrick Devedjian. De cet engagement, il dit : « J’assume avoir été d’extrême droite. On s’est simplement trompés sur le modèle colonial, qui ne pouvait perdurer[3]. »

Il entre à l’École nationale d’administration (ENA) en 1971 et en sort en 1973 (promotion François Rabelais). Entre temps, en 1972, il rédige le premier programme économique du Front national, créé la même année[4].


"(...)Inquiété pour le financement du Parti républicain et la construction de sa villa, il doit démissionner du gouvernement Édouard Balladur en octobre 1994, et entame un retrait médiatique tout en restant à la tête de la région Lorraine[6]. Il est mis en examen en 1995 dans l’enquête sur le financement occulte du Parti républicain[7]. Il bénéficie d’un non-lieu le 8 mars 2010 en partie grâce à la loi d’amnistie de 1990 sur les financements politiques, certains faits reprochés représentants un financement illégal de parti politique mais la loi d’amnistie ne permettant des poursuites que pour des faits d’enrichissement personnel[8],[9].

Renvoyé devant le tribunal correctionnel pour « recel d’abus de crédit » dans une affaire concernant la construction de sa villa de Saint-Tropez (Var), il est relaxé en première instance, puis par la cour d’appel de Paris, en novembre 1998[6].

Mis en garde à vue en mai 2001 pour recel de corruption dans l’affaire des marchés publics d’Île-de-France[6], il est également relaxé, en octobre 2005[10].

Durant ces années, il est administrateur de sociétés d’ingénierie informatique et de conseil, il préside la société Herbemont-César et Associés à partir de juillet 1999, et fonde en avril 2004 et préside, une holding spécialisée dans le conseil, Sokrates[11]."


Tenons compte de la "présomption d’innocence", pour certaines affaires... soit. Mais c’est quand même sénateur, chef du groupe UMP,et ça parle sur NOS retraites !!!!!!

NON MAIS ON RÊVE LA ?!

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