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RATP : une fête à 447 000 € dans le château de la CGT
par Paris
Publie le mardi 6 décembre 2011 par Paris - Open-Publishing22 commentaires

Un magnifique parc boisé de 74 ha accueillant un château du XVIIe siècle, trois terrains de tennis, un mini-golf, un camping… A Fontenay-lès-Briis (Essonne), cette superbe « propriété de l’union des syndicats CGT de la RATP » — comme l’indique une pancarte à l’entrée du site — est gérée par le CE de la Régie publique.
Depuis 2007, ce dernier y organise sa « fête annuelle » à chaque printemps. Montant de la facture pour ce week-end à la campagne : 447000 €. Une somme à comparer aux 732000 € de la garden party élyséenne du temps où elle existait encore…
50 000 € en liquide
A ce prix-là, les agents de la RATP profitent d’une sortie hors norme. « Tout se déroule sur la pelouse derrière le château, on y installe des barnums et une scène de spectacle », décrit un témoin. Des groupes de qualité s’y produisent. « On a reçu Tri Yann cette année, Kassav’ l’année d’avant et Bernard Lavilliers il y a deux ans », raconte une des participantes. Et il y a foule. « Ça draine plusieurs milliers de personnes à chaque fois, générant de gros problèmes de circulation sur plusieurs kilomètres », remarque Léopold Le Compagnon, le maire de cette commune de 1800 habitants. Problème, un seul homme pilote l’énorme budget de ce week-end à Fontenay-lès-Briis. Il « choisit seul les fournisseurs dont certains pratiquent des facturations manifestement abusives, en demandant quasi-systématiquement que les chèques émis en règlement des founisseurs lui soient remis », s’alarme la Cour des comptes. Pire, entre 2007 et 2010, plus de 50000 € ont été récupérés en liquide lors de ces fêtes. Et « aucune procédure ne permet d’offrir une assurance raisonnable que toutes les recettes en espèces ont bien été reversées au comité d’entreprise »…
Messages
1. RATP : une fête à 447 000 € dans le château de la CGT, 6 décembre 2011, 16:26
si on ne peut pas savoir soi disant ,alors pourquoi la cour des comptes elle, elle sait ????
1. RATP : une fête à 447 000 € dans le château de la CGT, 6 décembre 2011, 19:29, par Brutus
Ce que ne sait pas la C.C. c’est la destination de ces 50 000 €.
2. RATP : une fête à 447 000 € dans le château de la CGT, 6 décembre 2011, 16:35
comparer le montant, si ça amuse Le Parisien... Mais comparer l’origine des revenus et leur destination allez le Parisien, encore un effort :-D
Garden party de l’Elysée ? 100 % financée par le contribuable et pour faire quoi ? pour donner u n peu de plaisirs à tous ces malheureux notables qui en manquent, c’est bien connu
Fêtes pour les agents de la RATP et leurs familles ? Aux frais du taulier (qui n’est plus que partiellement financé par de l’argent public...) et pour faire quoi ? pour permettre aux agents de la RATP de voir au moins une fois par an la couleur de leur argent.
Passons sur le titre sur "le château de la CGT". Et pourquoi la CGT ne serait pas propriétaire immobilier si ce sont les salariés et les syndiqués qui en profitent ?
Enfin bon.
Encore une belle occasion de crier haro sur le baudet...
On va bien voir la suite, puisque selon les médias (dont tout le monde sait qu’ils sont à 100% favorables à ces voyous de gauchistes LOL) et la cour de compte ( dont personne n’ignore qu’elle est une institution crypto-communiste :-D), suites il va y avoir.
Attendons voir....
3. RATP : une fête à 447 000 € dans le château de la CGT, 6 décembre 2011, 16:38, par arnold
Une nouvelle façon de s’attaquer aux conquêtes du CNR.
La presse aux ordres dégueule, dégueule, dégueule...
Résumons sa pensée : "ces "putains de prolos" ont trop d’avantages. Ils doivent rendre gorge. Ces CE, cette hérésie, sont des charges pour la saine marche de nos entreprises".
1. RATP : une fête à 447 000 € dans le château de la CGT, 6 décembre 2011, 16:41
Ouaip je pense que c’est à peu près l’idée.... :-D
2. RATP : une fête à 447 000 € dans le château de la CGT, 6 décembre 2011, 17:50, par Marie75
tu as raison...lis ce que j’ai écrit sur fontenay que je connais TB depuis toujours ! Cet article du parisien c’est du n’importe quoi !
Les retraités de la ratp pouvait louer une chambre et venir (pas trop loin de paris) y passer des vacances ou qq jours de repos : ces chambres sont inutilisées en ce :moment car le CE n’a pas les moyens de les remettre en état.
Un terrain est réservé au camping et le personnel peut poser une caravane et venir respirer l’air de la campagne ...
Ce n’est pas Byzance !!!!! c’est social !!!!
3. RATP : une fête à 447 000 € dans le château de la CGT, 6 décembre 2011, 17:52
T’inquiète pas Marie75. On a une idée de ce que veut faire la presse aux ordres sur ce coup là ;-)
4. RATP : une fête à 447 000 € dans le château de la CGT, 6 décembre 2011, 20:54, par arnold
Ceci dit La Louve j’ai été trésorier d’un gros CE de la Sécu (20 millions de F à l’époque de subvention + de 100 salariés) dans les années 80 (pour Richard Palao : rue de Flandre 75019). Une gestion CGT-CFDT, je peux te dire que quelques boîtes du PC nous suçaient le sang. Si tu as accès aux archives du Monde et de Libé voire du Point tu pourras lire mon interview. Guy Konopniki (http://fr.wikipedia.org/wiki/Guy_Konopnicki)(membre associé du C.C.), patron de TEC (Travail et Culture) à l’époque, pourrait le confirmer comme sur la gestion des municipalités. Je possède encore ses papiers sur Le Havre.
Ceci étant dit, je retire rien de mon thread précédent. C’était l’époque !
5. RATP : une fête à 447 000 € dans le château de la CGT, 7 décembre 2011, 09:00, par richard PALAO
ok ARNOLD , j étais également élu du CE d’ une CRAM ou la CGT était majoritaire et il était effectivement "naturel" de travailler avec des entreprises proche du PCF comme GIFCO et d autres et pour les vacances , TOURISME ET TRAVAIL était incontournable ...
à cette époque il nous aurait paru impensable de faire travailler des entreprises "ennemies " des travailleurs ...mais je vous parle d’un temps que les moins de vingt ans ...
6. RATP : une fête à 447 000 € dans le château de la CGT, 7 décembre 2011, 11:03, par A.C
OUI..
Konopnicki, si on téléphonne à"Marianne" ouon est journaleux appréciédès qu’on a pu cracher sur son ex Parti,... il pourra confirmer..
Yen a plein d’ailleurs qui ayant rompu (-et pastoujoursàcause du Stalinisme des bureaucrates CGT...)viennent nous narrer que des CE se faisaient"sucer" par Tourisme et Travail ou Travail et Culture..plutôt que de se faire payer des vacances pour eux etleurs familles, sur le NIl en passant des deals avec plein de tauliers du Tourisme qui arrose la bourgeoisie, de la culture ou l’on ne metpas en vitrine Marxet ou on lâche du pourboire aux rabatteurs de "clients" !!
Moi non plus je ne suis pas un poulet de l’année..
J’ai lu pas mal de bios de ces ex copains devenus "vertueux" dès qu’ils ne sont plus en place..
Et qui ayant"profité" d’un statut de décideur, viennent expliquer qu’ils ont tellement souffert d’avoir a rester silencieux..
:))
Bien entendu, en aucun cas je ne te vise , je te connais pas e tje ne pratique pas l’amalgame
je connais toutes ces histoires de "permanents" " PC qui seraient cachés dans les locaux dela CCAS,.selon les "journalistes dinvestigation". ;de LIbé ou du Figaro...U.n scandale de classed’"emplois fictifs"... par rapport aux milliers de permanents du K qu’on appelle DRH dans les entreprises, aux fonctions "fictives" de l’"Humain" selon la loi du profit.
Oui, parmi quelques décisions discutables dans le choix, (j’avoue avoir connement fait rentrer en biblio de la BNP . ;les bouquins d’Ellenstein alors que j’ignorais encore que le futur dissident intellectuel se gavait de droits d’auteur initialement dédiés à son parti....
Allant jusqu’à fairejouer en Justice des clauses du contrat conclu avec les.ES pour empocher le pactole.
J’avais m^me abonné -sur décision d’un CEmajoritairement CFDT..) le Comité à REVOLUTION, let au FIGARO LITTERAIRE, car le pluralisme , ça se gagne dans la boite !
Oui, c’est vrai j’avoue avoir préféré , après consultation etm ise en concurrence,-puisque telle était ma responsabilité aubureau du C.E. tel prestataire de service en RESTAURATION (la CFDT majoritaire refusant la gestion directe du C.E) qui m’assurait venir remplir un camion de bouffe pour les mineurs anglais en lutte ..plutôt que celui qui me proposait..de passer chez moi toutes les semaines remplir mon congélo.
Mais , vraiment, est ce le moment et le lieu ici de venir nourrir ce débat qui conduit la bourgeoisie à criminaliser nos pôtes dela RATP,ou ça puerait lacombine ?
Avons nous ici à relayer le débat malsain ?
Voilàpourquoi j’ai mis en ligne ce qu’en pense "la Canaille la réplique delaCGT."
http://bellaciao.org/fr/spip.php?article123162#forum464592
Car en écoutant PUJADAS hier au soir, avant qu’il ne se vautre face à Fillon, j’ai bien compris ou on veut en venir..
Y compris en redonnant le micro au p’tit batard qui règle ses comptes avec la CGT EDF et qui mériterait deux tartes dans sa tronche !
Quand on emboite le pas, même à distance, à la calomnie des Capitalistes, cuidado, cuidado..!!
Ils nontpas besoin de NOTRE aide objective.
selon moi
A.C
7. RATP : une fête à 447 000 € dans le château de la CGT, 8 décembre 2011, 00:14, par arnold
Konopnicki, si on téléphone à "Marianne" ou on est journaleux apprécié dès qu’on a pu cracher sur son ex Parti,... il pourra confirmer.
Effectivement. Je me trouvais présent lors du congrès de sa dernière présidence de TEC. J’aurais aimé te voir face aux pressions physiques qu’il a subies par les « sbires » marchaisiens. A.C., tu ne peux mettre en cause les camarades en rupture de parti à l’époque où tu étais l’un des défenseurs de la ligne et aujourd’hui dire tout le mal des dérives de Fabien. Il y a quelque part une contradiction dans tes jugements. Tu as rompu et tu combats les dérives depuis ta « scission ». Je sais, c’est douloureux de rompre avec la mère dite « nourricière » idéologiquement parlant. Nous nous sommes expliqués. Rappelles toi : « frileux du porte-monnaie ». Cependant, Konop fut un « enseignant » plus qu’ami dans TEC ? Il nous apporta beaucoup dans la façon d’appréhender la LDC dans un C.E. Par des débats autour d’un film, d’une animation, d’une rencontre critique avec un auteur de livre… Je me rappellerai toujours de son argument sur le feuilleton Dallas. Je résume : « Camarades, c’est une première à la TV de voir la bourgeoisie s’entre-déchirer. Avant nous avions droit à l’eau de rose ». Pas seulement un enseignant. Plus tard nous nous sommes retrouvé à la rédaction de « Globe ».Tu me le diras avec insistance : Globe = bobos socios-traîtres qui ont mal tournés à l’instar de Georges-Marc Benamhou, ton taulier à l’époque. Oui mais, pour nous de la TMRI (Tendance marxiste révolutionnaire internationale), ce fut un job pour assurer le pain de nos mômes (tricards dans toute la presse parisienne). Nous étions, et sommes toujours, des « Yiddishlandais révolutionnaires ». Ceux qui ont été les éducateurs du parti et ce quelle que soit la période de son histoire.
Yen a plein d’ailleurs qui ayant rompu (-et pas toujours à cause du Stalinisme des bureaucrates CGT...) viennent nous narrer que des CE se faisaient "sucer" par Tourisme et Travail ou Travail et Culture plutôt que de se faire payer des vacances pour eux et leurs familles, sur le NIl en passant des deals avec plein de tauliers du Tourisme qui arrose la bourgeoisie, de la culture ou l’on ne met pas en vitrine Marx et ou on lâche du pourboire aux rabatteurs de "clients" !!
Alain, tu as été un élu de C.E., il ne s’agirait pas de se mentir. Tu sais et tu connaissais les pompes à fric du Parti tant dans les municipalités que les C.E. C’était une époque comme je le dis dans mon thread au-dessus. Seulement, lorsqu’en qualité d’élu tu te fais harponner par tes collègues sur des abus de tarifs à la cantine, tu ne leur réponds pas : « Interco nous vampirise autant qu’il saigne nos fournisseurs ». Tu la fermes et tu louvoies. Jusqu’au jour où tu ne supportes plus et tu rentres en dissidence. Tu invoques TT, Alain. Tu n’ignorais pas la pratique des investissements sans fin dans des gouffres. La dotation d’un C.E. est avant tout pour les salariés. TT a disparu avec l’effondrement du parti ? Quelle en est la raison ? TT en modifiant ses prestations aurait sûrement survécu. Ceci dit, je vais être clair. Les CE ne sont pas des îlots de socialisme, où l’on recase le camarade ajusteur comme bibliothécaire (et je t’en passe d’autres). Lorsque tu es trésorier d’un CE que ta masse salariale dépasse en budget les prestations offertes à tes collègues, tu te poses des questions. Oui, 53 % du budget du CE passait dans les salaires de « recyclés » du Parti. Question : élus du personnel de nos boîtes devons-nous entretenir une pléthore de salariés du CE ne rendant aucun service à la population qui nous a élue ? La question est crue. J’aimerais te lire. Nous avions lieu de nous interroger avec les camaros. Interpelle l’élu du conseil régional PC ici :(http://www.pcf-rhonealpes.fr/spip.php?article5) avec qui je me suis pris la gueule au bureau du C.E, il te soutiendra encore qu’il était normal de casquer des employés du CE sur des salaires 1,5 fois plus élevés que la grille des salaires de la boîte (conséquence d’accord d’élus des années 50 que nous devions assumés). J’ajouterais, Alain, le manque de respect de ceux-ci pour les élus que nous étions. Et, nous devions rendre des comptes de notre gestion tous les 2 ans lors des élections, eux non.
Moi non plus je ne suis pas un poulet de l’année. J’ai lu pas mal de bios de ces ex-copains devenus "vertueux" dès qu’ils ne sont plus en place. Et qui ayant "profité" d’un statut de décideur, viennent expliquer qu’ils ont tellement souffert d’avoir a rester silencieux.
Tu as raison de souligner les « trahisons ». Seulement comme tu sais le plus grand parti communiste français est celui des exclus ou des … (je reprends ton terme) vertueux.
Bien entendu, en aucun cas je ne te vise, je te connais pas et je ne pratique pas l’amalgame.
Il manquerait plus que cela.
Je connais toutes ces histoires de "permanents" PC qui seraient cachés dans les locaux de la CCAS selon les "journalistes d’investigation" de Libé ou du Figaro... Un scandale de classe d’"emplois fictifs"... par rapport aux milliers de permanents du K qu’on appelle DRH dans les entreprises, aux fonctions "fictives" de l’"Humain" selon la loi du profit.
Écoute je vais être clair avec toi. Permanent syndical, j’en ai fait profiter mon orga. Cela me semble normal pour un militant révo. Nous utilisions les possibilités des lois (conquêtes ouvrières) pour combattre le Capital. Je ne peux pas être plus convainquant. Sache tout de même que ces « permanents » sans contrôle ne se foulaient pas de trop dans les CE. Sans « commissaire politique » à qui rendre des comptes, des camarades ont abusés. Particulièrement dans les grands CE. Exemple, le chef comptable de notre CE, Alain L., maire communiste de Fosses (95) « négligeait » son taf au profit de sa mairie. Ce gus nous était complètement inutile. De plus, il se savait couvert et nous moquait.
Oui, parmi quelques décisions discutables dans le choix, (j’avoue avoir connement fait rentrer en biblio de la BNP . ;les bouquins d’Ellenstein alors que j’ignorais encore que le futur dissident intellectuel se gavait de droits d’auteur initialement dédiés à son parti.... Allant jusqu’à faire jouer en Justice des clauses du contrat conclu avec les ES pour empocher le pactole. J’avais même abonné sur décision d’un CE majoritairement CFDT le Comité à REVOLUTION, let au FIGARO LITTERAIRE, car le pluralisme, ça se gagne dans la boite !
Tu n’es pas le seul. J’ai introduit à la cafétéria la pluralité des quotidiens avec quelques heurts. Je ne te conte pas la biblio de 14 000 volumes expertisée par la direction du livre du ministère de la Culture. Un désastre selon ces professionnels consultés. Seulement ils ont craché 250 000 balles pour la remettre en état.
Excuse « les ES » je cherche, je cherche, je ne vois pas. Sur la BNP, j’ai bien connu Alain Bonnet, nous militions ensemble à l’AMR.
Oui, c’est vrai j’avoue avoir préféré, après consultation et mise en concurrence, puisque telle était ma responsabilité au bureau du C.E. tel prestataire de service en RESTAURATION (la CFDT majoritaire refusant la gestion directe du C.E) qui m’assurait venir remplir un camion de bouffe pour les mineurs anglais en lutte plutôt que celui qui me proposait. de passer chez moi toutes les semaines remplir mon congélo.
Tu ne donneras pas de leçon dans le domaine de la solidarité. Exemple pour exemple. Mon CE, à l’époque de LIP, a acheté pour 300 000 Fr de montres du stock mis à gauche comme trésor de guerre Cette initiative fut plus que combattue par les élus « frileux » de la LDC.
Mais, vraiment, est-ce le moment et le lieu ici de venir nourrir ce débat qui conduit la bourgeoisie à criminaliser nos potes de la RATP, ou ça puerait la combine ?
Tu as lu mon thread précédent. Cependant même si nous sommes confrontés à une offensive du Capital, nous ne devons escamoter le débat sur nos erreurs. Les camarades de la RATP ont fait confiance à des « zozos » que j’ai qualifiés précédemment. Élus de CE, nous ne sommes pas assez pour tout gérer. Je suis partisan sur rapport suivant : un élu pour 100 salariés, révocable à tout moment par l’AG des salariés. J’ai lu les 244 pages du rapport de la cour des comptes. Il n’y a pas escroquerie mais mauvaise gestion, manque de contrôle, peu de confiance des élus envers le service comptable. Et le M. Z. s’est autorisé un certain nombre de manœuvres hors vision des élus.
Ce que me fait rigoler à la lecture des quotidiens c’est le Shrek, le jaune, qui s’interroge si sa conf. ne va pas se porter partie civile. Seulement je lis page 111 du rapport :
« Pour les comités d’établissement, dont la mission est l’information et la consultation des salariés sur les projets économiques et sociaux de la RATP, des dysfonctionnements n’ont été identifiés qu’au sein du comité « Direction et services communs », dirigé par un secrétaire élu CFDT et un trésorier UNSA. L’examen des opérations des deux autres comités contrôlés par la Cour, « Matériel roulant bus », dont le secrétaire et le trésorier sont des élus CGT, et « Métro », dont le secrétaire est un élu UNSA et le trésorier un élu CGT, n’appelle pas d’observations. »
Avons-nous ici à relayer le débat malsain ?
« Débat malsain », cette locution me gène. Car vois-tu, je pense que nous n’avons rien à cacher de nos gestions de « boîtes » et pourrions dans le cadre d’expropriations être à même de les gérer et démontrer nos capacités. Prenons l’exemple des scoop.
Car en écoutant PUJADAS hier au soir, avant qu’il ne se vautre face à Fillon, j’ai bien compris ou on veut en venir. Y compris en redonnant le micro au p’tit batard qui règle ses comptes avec la CGT EDF et qui mériterait deux tartes dans sa tronche ! Quand on emboite le pas, même à distance, à la calomnie des Capitalistes, cuidado, cuidado. !! Ils n’ont pas besoin de NOTRE aide objective. selon moi
Tu prêches pour des ouailles convaincues. Le p’tit bâtard de Pujadas, je l’ai croisé lorsque j’arrivais CFJ. Fier et prétentieux le nain.
8. RATP : une fête à 447 000 € dans le château de la CGT, 8 décembre 2011, 10:39, par richard PALAO
ARNOLD , j’ ai également connu ce que tu racontes tant pour ce qui concerne le choix des prestataires , que sur la mise à disposition du PCF de certains de nos permanents syndicaux , mais je suis d ’accord avec AC , est-ce le moment de ressortir celà ? j’ai bien compris ton argumentation il est exact que l’on ne doit pas faire l’impasse sur cette période qui a parfois couter cher au syndicat , car j en ai eu la preuve dans mon CE , les permanents mis à dispo du parti n ’en branlaient pas une et se permettaient de donner des leçons sous contrôle du parti à ceux qui se tapaient le boulot se coltinaient en direct la direction les OS réformistes et étaient parfois contraint de ramer à contre courant du personnel ...la direction qui n ’était pas dupe , sanctionnait les élus présents cherchait parfois à les licencier alors que les permanents "détachés " avaient une paix royale ...
Mais encore une fois , alors que la manoeuvre est grosse comme un cable je pense qu’il est malvenu de vouloir jouer les historiens des CE et des relations CGT/PCF , la vérité est certes toujours révolutionnaire , mais un révolutionnaire devrait savoir quand cette vérité doit être révélée afin de ne pas servir l’adversaire de classe ...
9. RATP : une fête à 447 000 € dans le château de la CGT, 8 décembre 2011, 13:17, par A.C
je ne rentrerai pas dansle débat..tout en te remerciant d’avoir repris point par point mon commentaire..
Mais , décidemment, là aussi je suis à 200 pour cent avec Richard,
Autant la négation de ce que fut telle ou telle opacité "partisane" relève d’une connerie sans nom,..autant cela démontre le besoin de mise àplat pour que les nouvelles formes d’Organisation du mouvement ouvrier n’entraine pas ces dérives.
...............autant quand le FIGARO aboie et que le Capital mord la CGT, je ne suis pas là pourmettre sur la table -fut ce avec tes intentions louables- le SEL à jeter sur nos plaies.
D’ailleurs quand on parlera des CE..on admettra j’espère que ce fut une victoire objectivement..de pur réformisme" et -pardon desmots-A-REVOLUTIONNAIRE...
:)
Car "distribuer" du" plus " en terme de reconstruction de la Force de Travail..sans que le travailleur aie conscience que cela , quelque part, n’est pas mobilisateur pour "arracher "de la richesse volée .....
De plus, je n’ai jamais pu convaincre que les baisses de dotation -conséquence de la casse de l’emploi- auraient du conduire-certes en organisant le rapport de force pour cela- le vote de BUDGETS en déséquilibre, en refus de choix entre restreindre-voire supprimer des activités ou supprimer des participations..
Oui, Arnold, je connais -plus que certains...- pour des raisons de proximité avec tout ce qui a été mon job d’aide au PARTI..en raisons de mon "metier" ce que le mouvement révolutionnaire a connu des périodes un peu spéciales....
Juste un point donc :
Ton allusion à ce qu’aurait été mon propre rôle dans de l’exclusion , du sectarisme, de l’élimination de "bons copains" par suivisme marchaisien (carc’est ça, n’est ce pas ?) je REJETTE.
Je n’ai pas été des plus "tendres" mais je mets audéfi quelqu’un de venir expliquer ou, quand, comment, ce fut autrement que sur un fond politique !
Et surtout je ne supporterai j amais -ce type de jugement cela est colporté par les "pauvres victimes " du"stalinisme " de mecs comme moi.., victimes qui parfois me font rigoler !
(Bien entendu je ne parle pas de toi et de tes arguments)
J’ai été, pour qu’on se comprenne , celui qui a remplacé comme candidat PC en Médoc... mon ami journaliste moustachu qui est passé de l’Huma ou on gagne mal sa vie, à d’autres médias , ...y compris à..TFI ou nous le chambrions en lui disant qu’ayant la Météo à annoncer il faisait, grâce à Juquin, "la pluie et le beau temps chez Bouygues."
Quans à E.S..je parlais des Editions Sociales..
Je suis aussi du département de NAUDY..
Donc, sur cet article, je fais comme pour la ceinture dans ma bagnole : pour pas mériter un P.V dela modération, je "la boucle"...désormais.
J’ai dit tout ce que je pensais.
cordialement
A.C
4. RATP : une fête à 447 000 € dans le château de la CGT, 6 décembre 2011, 17:24, par richard PALAO
ce qui est scandaleux , ce n ’est pas que la CGT ou d ’autres organisations ou associations soient propriétaires d’un chateau pour en faire profiter le plus grand nombre et en premier lieu les défavorisés , mais que des particuliers soient propriétaires de chateau pour eux seuls et leurs amis pour y organiser des fêtes somptueuses ou le peuple reste spectateur ...
IL Y A DES JOURS OU JE PENSE QUE LA GUILLOTINE N’ A PAS SUFFISAMMENT FONCTIONNE EN 1789 ...
(et pourtant je suis un farouche opposant à la peine de mort)
1. RATP : une fête à 447 000 € dans le château de la CGT, 6 décembre 2011, 17:44, par Marie75
ce chateau - acheté en 37 par la TCRP - est une grosse batisse non luxueuse du XIXème et non du XVIIème siècle !
Une très grande salle au RDC beigeasse qui servit longtemeps pour le noel et la ditibution des prix des enfants de la commune. Le maire oublie de remercier le CE de la ratp !
Il y a un mini golf pour les enfants .... qui vient d’être remis en état.
Pas du luxe !!!! Chacun peut y entrer CGT ou non !!!!
Les gens de la commune ont ce grand parc (non entretenu : pelouse fauchée !) et les 3 tennis (location) à leur disposition.
la fête est une énorme fête pour tout la région. Une petite fête de l’huma avec des chanteurs (kassav, moustaki...) pour un prix réduit.
Le jour de la fête, la mairie louait des parkings payants (argent ramassé pour la caisse des écoles)...le maire oublie de le dire !!!!
La RATP organise un cross connu à l’international...Le maire (de droite) oublie aussi de le dire !
Fontenay a longtemps vécu des vacanciers (pas seulment de la CGT) de ce lieu...
Il faut arrêter de vouloir démolir les CE gérés par les salariés ezt les syndicats ... c’est un acquis social....
J’ai passé toute mon enfance à fontenay et y vais régulièrement .... je connais !
Ne suis ni RATP, ni CGT ....
5. RATP : une fête à 447 000 € dans le château de la CGT, 6 décembre 2011, 18:29
Bof !il est un peu minus ce château.
Ils vont s’étouffer au"parisien",quand la CGT cheminots se paiera Versailles.
LR
1. revolution !!!!, 6 décembre 2011, 19:57
les bourgeois de la 3° repuplique qui se gonflaient avec ces constructions se croyaient sans doute eternels....
en tout cas, moi après la guerre j’ai passée quelques belles colonies de vacances (un peu frustes) dans ce genre de "chateau" .....plutôt délabré....
certes ce n’était pas avec un CE vu le cadre fonction publique, mais les syndicats pilotaient l’affaire et c’était dans un même mouvement général public et privé ensemble.
ces batisses ont du être transformées le plus souvent en Relais et Chateaux et/ou en annexe de repos pour quelques hauts cadres.......
et on nous a expliqué que les colos c’était dépassées, qu’il fallait des vacances "à thèmes" et des normes de sécurité (sic) .toutes prestations assurées bien sur par le secteur commercial !
ce qui m’étonne un peu c’est que ce vieil argument des "chateaux" revienne.
un peu usé le truc !!!
6. RATP : une fête à 447 000 € dans le château de la CGT, 6 décembre 2011, 21:17, par patrice bardet
c’est quand même curieux, ces coïncidences
– un article digne de l’extrême droite suite à un rapport de parlementaires de droite extrême dans le figaro contre les syndicats ouvriers
– ce rapport de la cour des comptes, comme chacun sait, ramassis de gauchistes indépendants de l’UMP, contre le plus combattif d’entre eux
– une affaire de l’UIMM totalement enterrée
– des détournements de fonds par le patronat sur le dos de la médecine du travail c’est passé aux oubliettes
– la Bettancourt, voleuse de sommes donnant le tournis , absoute de toute poursuite
– un marigot de politiciens affairistes dont les procès s’éternisent au point d’être prescrits
Les confédérations syndicales sont pourtant fort sages en ce moment : l’intersyndicale s’est arrangée sous la houlette de la CFDT , FO dans un autre registre, pour ne susciter aucun mouvement d’ampleur concerté malgré la casse effrénée de nos droits sociaux
Même la CES veut "sauver" le capitalisme...
Mieux , même, la centrale de Chérèque dépose des préavis de grève pourris à la SNCF, dressant les usagers contre les cheminots au moment où on privatise le rail
Pour couronner le tout, un Hollande et ses troupes "gôchistes" d’un rosé tellement piquette qu’il ressent le besoin d’un vinaigre d’orange pour arra,ger le goût, sur une ligne très Sarkoziste, à quelques détails près (la bise à Merkel, les courtoisies au SPD) , des verts ripolinant le capitalisme....
L’UMP, centristes, certains socialos et les fascistes qui font des ronds de jambes
Une fausse alternance politique qui s’annonce bien : pile ou face, la bourgeoisie gagne !
C’est y pas un monde merveilleux ?
On dirait que la bourgeoisie perd confiance dans ce jeu truqué par elle et prend peur.....
Sait-on jamais : les prolétaires pourraient se servir de leur outil syndical, la CGT les accompagner dans leur révolte et mettre l’outil syndical au service d’une révolution qui s’annonce, comme les nuages annoncent la pluie
Alors, contrefeu préventif ?
1. RATP : une fête à 447 000 € dans le château de la CGT, 7 décembre 2011, 09:01
J’ai même entendu à la radio, que le parc immobilier du CE était réservé aux salaires les plus hauts de la RATP. Pourvu que mon père ne se retourne pas dans sa tombe.
Mon père était ouvrier à la RATP (entretien des bus), et la petite famille vivant dans un HLM aux portes de paris.
Alors merci au CE de la RATP de nous avoir offert à ma soeur et à moi des vacances tous les ans en colo (pour 3 sous), la joie d’aller "au restaurant" du château de Fontenay(pour quasiment rien) tous les dimanches, profiter des spectacles parisiens pour enfants à moitié prix et d’avoir connu les joies des sports d’hiver à moindre coût.
sans le CE, rien n’aurait été possible pour nous.
7. CE RATP : communiqué CGT RATP, 7 décembre 2011, 11:32
Gestion du Comité d’Entreprise de la RATP :
« Des mensonges, mille fois répétés n’en font pas des vérités ! »
La CGT/RATP, avec les Organisations Syndicales UNSA, CFDT, FO et CFE-CGC de la RATP est en charge de la gestion du Comité d’Entreprise de la RATP sur la période sur laquelle porte le rapport de la Cour des Comptes, rendu public ce jour et qui, relayé/déformé médiatiquement, fait l’actualité.
Sans développer sur les 233 pages que contient ce rapport, notre Organisation Syndicale tient à réaffirmer les principes de gestion qui prévalent au CRE et qui amènent ce dernier à une situation financière tout à fait saine, plus saine que l’état des finances publiques …
Dans son communiqué de presse, la Cour des Comptes conjugue les approximations avec des affirmations gratuites.
Des approximations à l’exemple de l’oubli qu’elle a de préciser que la subvention sert à l’ensemble des prestations, non seulement en direction des 45.000 agents actifs de la RATP, mais aussi de leur famille et les retraités, soit : plus de 120.000 ayant droits. Des affirmations gratuites lorsqu’elle affirme que le Comité d’Entreprise fait l’objet d’une gestion marquée par de « graves irrégularités ». Sans, à aucun moment, en démontrer la nature.
Dans son communiqué, la Cour des Comptes pointe que « le Secrétaire et le Trésorier interfèrent dans la gestion quotidienne des activités sociales et culturelles … ». C’est exact et c’est d’ailleurs bien pour cela qu’ils ont été élus pour gérer, avec l’ensemble des autres élus, le Comité d’Entreprise et ne pas laisser à des « techniciens » des choix portant sur la gestion et les orientations du Comité. Cela n’est pas chose nouvelle, cela existe depuis 1945 et la loi sur les Comité d’Entreprise, c’est d’ailleurs aussi une notion développée dans l’ensemble des matériels de campagne électorale de notre Organisation Syndicale.
La Cour des Comptes affirme péremptoirement qu’il n’y a pas d’appel à la concurrence avec les fournisseurs. C’est faux ! Et cela appelle à deux précisions :
Le Comité d’Entreprise, considéré de droit privé, n’a pas l’obligation légale de mettre en oeuvre des appels d’offres. A l’image de tout un chacun, le Comité d’Entreprise choisit ses fournisseurs et prestataires sur la base de critères qu’il définit ;
Pour autant, et sans attendre un cadre législatif et réglementaire, le Comité a, depuis de nombreuses années, mis en place une « Commission des Marchés » regroupant élus et professionnels. Cette Commission des Marchés a en charge de définir le mieux-disant, ce qui implique de ne pas recourir systématiquement au moins-disant social (des devis sous-évalués souvent pour des travaux effectués par des entreprises peu regardantes quant au niveau des salaires et des conditions sociales de leurs salariés).
Sans doute la Cour des Comptes regrette-t-elle que nous ne portions pas le dogme d’une concurrence « libre et non faussée », nos choix de gestion au sein du Comité d’Entreprise portent d’autres principes, d’autres valeurs !
Concernant une soi-disant « dégradation du climat social », force est de constater que la Cour des Comptes, dans son communiqué, associe cela au fait que 450 salariés du CRE soient en CDI. Oui, nous sommes, à la CGT, pour privilégier l’emploi en CDI ! C’est pour nous une orientation politique forte qui vise à lutter contre la précarité qui se multiplie partout y compris au sein même de la RATP.
600 salariés sont en « équivalent temps plein », c’est une chose normale au regard des activités du Comité, particulièrement les centres de vacances qui, tant d’un point de vue des directeurs, adjoints, animateurs, équipes de montage, etc. appellent à la mise en place d’équipes de travailleurs saisonniers.
La Cour des Comptes tente d’argumenter la dégradation du climat social en mentionnant une alerte donnée par le médecin du travail. Deux remarques :
Comme dans toute organisation humaine, les risques psycho-sociaux sont une réalité qu’il faut anticiper et combattre afin de permettre à ce que l’activité professionnelle soit facteur d’épanouissement. C’est aussi en ce sens que notre Organisation Syndicale, au travers le travail des élus au sein du Comité, a participé à la construction du « projet d’entreprise pour le CRE » qui fait aujourd’hui même, l’objet de discussions/négociations avec les Organisations Syndicales des salariés du CRE quant à sa mise en oeuvre.
Le hasard de la sectorisation décidée par la RATP fait que le médecin du travail cité par la Cour des Comptes est aussi un des dirigeants de la CGT/RATP, il travaille également au sein de la CGT au niveau national sur ces questions…
Pour ce qui de la certification des comptes du CRE, là aussi, la Cour des Comptes tente de faire porter la suspicion sur des comptes qui ne seraient pas sincères. D’une part, là encore, aucune obligation légale n’est faite au Comité d’Entreprise à certifier ses comptes.
Pour autant, la mise en place d’une certification a été anticipée et est d’ores et déjà prévue pour 2012. La comptabilité est tenue par un service spécialisé constitué de salariés du CRE qui, contrairement aux affirmations de la Cour des Comptes, appliquent le plan comptable général, contrôlé par deux cabinets d’expertises indépendants dont la compétence et l’impartialité sont de notoriété publique (IMA et ADEXI), c’est dire combien cette question est suivie avec le sérieux et la rigueur qui s’imposent par les élus du Comité comme par notre Organisation Syndicale !
Le rapport de la Cour des Comptes a été construit exclusivement « à charge », il est partiellement repris par une partie des médias comme par une organisation syndicale de la RATP qui, une nouvelle fois, vise à porter le discrédit sur l’ensemble du syndicalisme et tente de fragiliser la gestion saine et honnête qu’a notre Organisation Syndicale au travers les élus CGT.
Si des dysfonctionnements nouveaux d’ordre organisationnel et/ou structurel apparaissaient, il va sans dire que les élus CGT mettraient tout en oeuvre pour y remédier comme c’est déjà actuellement le cas pour la recherche d’une meilleure efficacité sociale dans l’intérêt premier des agents, des familles et des retraités.
Si des malversations, de l’enrichissement personnel, des surfacturations, etc. étaient démontrés, notre Organisation Syndicale mettrait tout en oeuvre devant les autorités judiciaires compétentes, pour que le Comité d’Entreprise recouvre les sommes prétendument extorquées. Dans ce cadre, nous porterions plainte ou nous nous porterions partie civile sur une plainte déposée par le CRE.
Le traitement médiatique de cette « affaire » vise à porter, une nouvelle fois, la suspicion sur la gestion d’un Comité d’Entreprise qui serait utilisée par des organisations syndicales et singulièrement par la CGT, pour des financements occultes. Nous dénonçons cette pratique et ferons, si besoin en était, la démonstration qu’aucune forme de malversation, au bénéfice de notre Organisation Syndicale, n’a eu lieu, nous prendrons aussi toutes les mesures qui s’imposent à l’encontre de ceux qui porteront des propos diffamatoires.
http://bellaciao.org/fr/IMG/pdf/COMMUNIQUE_DE_PRESSE_DE_LA_CGT_RATP_SUR_LE_RAPPORT_DE_LA_COUR_DES_COMPTES_06_12_2011.pdf
8. RATP : une fête à 447 000 € dans le château de la CGT, 10 décembre 2011, 10:33, par Robespierre
En faites d’information nouvelle pour le Château, c’est du réchauffé.
Construit par la famille de Signac, le château de Fontenay-les-briis remplace peut-être un manoir médiéval antérieur. En 1738, un pont-levis entièrement métallique, le premier de ce type, est installé au-dessus des fossés qui entourent le bâtiment. En 1854, le château alors délabré est entièrement restauré par M. Thayer. Acheté par la famille Chardin en 1870, il reste sa propriété jusqu’en 1937, date à laquelle il est racheté par le syndicat CGT du personnel de la Société des transports en commun de la région parisienne. Il est désormais un centre de loisirs pour les agents de la RATP. Le bâtiment de style classique, bâti au milieu d’un vaste parc, est constitué d’un corps central rectangulaire flanqué en façade de deux pavillons légèrement saillants. La toiture, à quatre pans, est percée de lucarnes mansardées. Donc en 1937 des syndicalistes CGT décident d’acheter un château pour leur œuvres sociales"centre aéré, colonie de vacances", on ne nous dit pas dans quel état il se trouvait, et en 2011 on nous présent cela comme une nouvelle. Les salariés de la RATP savent pourtant bien l’origine de ce château et ils confient tout de même la gestion de leur CE à la CGT. C’est donc qu’ils approuvent la gestion CGT de leur budget CE, point barre ! Les salariés votent pour la CGT et votent aussi pour l’affectation des budget des CE ainsi que les comptes de leurs syndicats. Pour la fête le maire de la ville reconnait lui même que cela concerne plusieurs milliers de personnes chaque année, donc tout les ans, une fête à laquelle participent les salariés de la RATP avec leur famille quoi de plus normal pour une activité de comité d’entreprise. Pour la somme dépensée cela doit être ramenée au nombre de participants et sur les deux jours cela ferait peut-être pas si élevé que cela par personne. En concentrant une somme importante sur deux jours, on peut proposer aux salariés et à leur famille quelque chose de beau. Et bien oui, les salariés ont le droit d’assister une fois par an à un spectacle de qualité ! Pour d’autres parmi ceux qui crient au loup, ce sera toutes les semaines !
9. RATP : une fête à 447 000 € dans le château de la CGT, 10 décembre 2011, 11:26, par Robespierre
Comte de noêl à la RATP
Je ne travail pas à la RATP, Je vais vous raconter une petite histoire pour Noël, toutes ressemblances avec des faits ou des personnes ne seraient que fortuites.
J’avais deux chiens un syndiqué CGT qui réclamait toujours pour les deux.
Au début cela m’amusais parce que le syndiqué c’était le petit et qu’il arrivait a obtenir pour les deux.
Mais au bout d’un moment cela me revenait trop chère alors j’ai fait croire au non syndiqué que le syndiqué bouffait dans sa gamelle, comme le non syndiqué était le plus gros et le plus fort mais pas forcement le plus informé, il a fait en sorte de faire fermer sa gueule au syndiqué.
Mes deux chiens sont maintenu à la ration mini