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Saint Nazaire video du blessé

Publie le vendredi 30 janvier 2009 par Open-Publishing
3 commentaires

Saint-Nazaire : Un manifestant blessé par un projectile de la gendarmerie

de Philippe Argouarch

Des affrontements ont éclaté à Saint-Nazaire lors d’une manifestation qui rassemblait au moins 15 000 personnes. La sous-préfecture ayant refusé de recevoir les représentants syndicaux, des jeunes manifestants selon certains, la pression de la foule selon d’autres, auraient alors forcé ouvert la grille de la sous-préfecture derrière laquelle se trouvaient 25 CRS (...)

PAS d’ABP sur BELLACIAO SVP
L’ABP ne le veut pas !

la suite donc :

http://www.agencebretagnepresse.com...



Messages

  • Si c’est une bombe assourdissante qui a fait ça,c’est ignoble,les cartouches lacrymo ne suffisent plus ?

    La prochaine fois ,ce sera quoi ?

    S’il l’avait prise dans la tête.....
    Nous vivons dans un pays où une parole est condamnée et où de tels actes peuvent se produire en toute impunité ?

  • Pauvre Préfet qui explique sa "bavure" en se plaignant de n’avoir eu que 25 CRS pour garder la sous-préfecture. On manque de crédits au ministère de l’Intérieur ? On n’a pas assez de cogneurs ? Allez !Hop ! Mutez ce Préfet à SAINT-LO !

    Le journal de France3 montre aussi un gendarme mobile parfaitement reconnaissable qui empêche un manifestant de secourir un homme à terre à ses pieds.

    Code pénal
    LIVRE II : Des crimes et délits contre les personnes
    TITRE II : Des atteintes à la personne humaine
    CHAPITRE III : De la mise en danger de la personne
    Section 3 : De l’entrave aux mesures d’assistance et de l’omission de porter secours :
    Article 223-6

    Quiconque pouvant empêcher par son action immédiate, sans risque pour lui ou pour les tiers, soit un crime, soit un délit contre l’intégrité corporelle de la personne s’abstient volontairement de le faire est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75000 euros d’amende.

    Sera puni des mêmes peines quiconque s’abstient volontairement de porter à une personne en péril l’assistance que, sans risque pour lui ou pour les tiers, il pouvait lui prêter soit par son action personnelle, soit en provoquant un secours.