Silence du Ministère de la défense

de Esteban

Les militaires Français ont un des meilleurs systèmes d’écoute interstellaire de tous les pays du monde. Même les Américains s’étaient fait damer le pion en ignorant que les militaires français captaient et enregistraient toutes les informations passant par les circuits satellitaires (communications téléphoniques, fax, réseaux codés…)

Depuis 2003 le ministère de la défense a doté la France du système d’écoute électronique spatial "ESSAIM" lui permettant de contrôler toute l’activité radio et radar de la planète.

Le système "ESSAIM" est constitué de quatre microsatellites couvrant chacun un quart de la surface de la terre balayant une zone de 200 à 2500 km de part et d’autre de la trace de sa trajectoire au sol. Les quatre satellites gravitent sur des orbites perpendiculaires au sens de rotation de la Terre, celle-ci est sous surveillance intégrale.

Ce que le ministère de la défense s’est bien gardé de cacher, c’est que le samedi 11 février 2007 l’un des quatre satellites est sorti de son orbite et est devenu incontrôlable à partir de la terre. Le satellite s’est donc détourné de son balayage terrestre pour continuer à enregistrer des sons de notre galaxie. Les contacts radio sont toujours opérationnels.

Ce satellite qui était commandé à partir de la station de contrôle du Cnes à Toulouse ne l’est plus mais la réception et le traitement des signaux le sont toujours au Celar (Centre d’Electronique et de l’Armement) situé à Bruz près de Rennes.

La fuite vient d’un militaire de la défense Claude V... qui a alarmé le ministère de la défense lorsque le 8 mars 2007 il a intercepté et enregistré une explosion dans notre système solaire : " cela est fréquent a-t-il dit ". Avertissant suivant le protocole le Centre de Recherche Astronomique de Lyon (CNRS/UCBL/ENSL) et l’observatoire astronomique du Pic du Midi de Bigorre dans les Hautes-Pyrénées qui avaient eux aussi capté l’image de l’explosion d’une étoile et l’avait renseigné que dix particules de quelques 500 tonnes se dirigeaient "apparemment" vers la terre, en vérité deux de ces projectiles se dirigent d’après les calculs des astronomes français et américains vers notre planète, le risque de s’écraser aux environs de la côte dans la Mer du Nord et l’autre en direction du Département français de la Haute Garonne est :"probable à 90%".

Le porte parole du ministère de la défense n’ayant : »pas voulu effrayer les populations » a bridé et interdit toute information journalistique et médiatique. La situation devenant alarmante et dangereuse, le ministère aurait interdit aux scientifiques de garder la discrétion sur l’évolution et les retombées catastrophiques de ces deux « projectiles ».

Le militaire Claude V… ainsi que les services du ministère de la défense sont actuellement injoignables, et les journalistes à l’affût d’une information devant le Cnes à Toulouse se sont vus refoulés par un cordon de CRS.

Jusqu’à quand le ministère de la défense va garder cette information bridée sachant que la fuite vient de l’intérieur du centre scientifique et est donc fiable ?

Source : Centre Départemental de l’Observatoire 1stronomique de Marseille-Provence.