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Un « roman » à la fois intime et général sur l’humain, les Grundisse de Marx
par Pierre Assante
Publie le mardi 22 novembre 2011 par Pierre Assante - Open-Publishing3 commentaires
Lorsqu’on lit « Le Capital », qu’on l’assimile, qu’on le garde en tête, on possède un outil essentiel dans la compréhension du processus de développement de l’humanité jusqu’à la forme supérieure de la société marchande, le capitalisme monopoliste d’Etat social et sa dégénérescence finale actuelle.
Nous possédons aussi en cet outil les prémices d’une action pour transformer la société marchande en société de coopération sur la base de toutes les formes de développements techniques, scientifiques, institutionnels, philosophiques, "matériels et moraux", passés et présents.
Nous possédons aussi dans les GRUNDISSE, textes préparatoires à la rédaction du « Capital » sur sa « longue durée » dans la vie de son auteur, l’approche d’un travail humain de la personne dans son implication la plus intime avec son espèce, avec la société, avec l’humanité considérée comme la forme consciente en mouvement, en développement, de la nature sur elle-même.
Je crois qu’il n’y a pas de « roman » à la fois plus intime et plus général sur l’humain que les Grundisse de Marx.
C’est un « Chant Général » que Neruda et bien d’autres, et tant de « modestes gens », à l’opposé des classes dominantes, ont reconnu.
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Pierre Assante, 22 novembre 2011
Messages
1. Un « roman » à la fois intime et général sur l’humain, les Grundisse de Marx, 22 novembre 2011, 17:20, par Joannès
Et on s’apercevrait que si MARX haissait le capitalisme c’est par l’analyse qu’il ne peut éviter pour se perdurer de recourir à la guerre, aux calamités ! Il ne nie pas que pendant une certaine période il peut apparaître comme porteur de progrès économique mais que hélas ! il est porteur par ses injustices de cataclysmes cycliquement reconductibles car seule voie selon lui pour se perdurer ! Car c’est bien évident ils ne peuvent pas les tenants de ce régime se fouetter eux-mêmes n’est-pas ? Criait TAPI : je ne peux pas me voler moi-même !
2. Un « roman » à la fois intime et général sur l’humain, les Grundisse de Marx, 22 novembre 2011, 18:23
a lire absolument
LA CRISE DU CAPITALISME ET MARX.
de DOMENICO MORO
éditions DELGA
1. Un « roman » à la fois intime et général sur l’humain, les Grundisse de Marx, 23 novembre 2011, 07:12, par Pierre Assante
Merci pour ces commentaires.
Pierre