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Urgent cette aprés midi risque d’expulsion mairie de sait ouen
Publie le mardi 17 octobre 2006 par Open-Publishing2 commentaires
NOUS AVONS BESOIN DE SOUTIENS URGENT ET IMMEDIATS CETTE APRES MIDI
Expulsion plus que probable du campement des expulsé-es de saint ouen cette aprés midi grosse concentration de cars de crs dans la ville
le campement est devant la mairie de saint ouen
métro mairie de saint ouen
merci de relayer le message a tout-es les militant-es associations et personnes solidaires
a vos téléphones fixes et mobiles a vox fax
les soutiens du camp des expulsé-es de saint ouent
Messages
1. > Urgent cette aprés midi risque d’expulsion mairie de sait ouen, 17 octobre 2006, 15:45
des nouvelles ?
si c’est pas une intox....
1. > Urgent cette aprés midi risque d’expulsion mairie de sait ouen, 17 octobre 2006, 17:08
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Urgence solidarité : Des papiers, un toit, une école pour les familles expulsées de St Ouen (93)
Communiqué du 16.10.06
Urgence solidarité : Des papiers, un toit, une école pour les familles expulsées de Saint-Ouen
Quatre familles campent depuis le jeudi 5 octobre au soir devant la Mairie de Saint Ouen. Ces quatre familles sont sans papiers, bien qu’elles résident en France depuis des années, avec leurs enfants nés en France et scolarisés à Saint Ouen.
Elles font partie des familles expulsées en juillet de l’immeuble qu’elles occupaient avec d’autres au 4 rue Jules Verne depuis 1999, suite au rachat de cet immeuble par la société Logicil. Avant même l’évacuation, plusieurs familles avaient pu obtenir un relogement par la mairie, la préfecture ou le propriétaire de l’immeuble. D’autres ont obtenu depuis un hébergement provisoire. Mais ces trois décideurs ont refusé de régler le problème de l’ensemble des familles, avec ou sans papiers.
Concernant ces quatre familles, la préfecture a refusé tout engagement précis. Les solutions avancées pour un hébergement l’ont été en l’absence de toute concertation et dans des conditions qui n’offraient pas aux familles des garanties pour leur sécurité et la scolarisation des enfants.
Non seulement ces quatre familles sont aujourd’hui à la rue, mais elles sont aussi menacées de reconduite à la frontière, alors qu’elles sont présentes depuis de longues années sur notre territoire et qu’elles répondaient à tous les critères pour être régularisées dans le cadre de la circulaire du 13 juin. De plus la petite Fatoumata qui devait rejoindre les autres enfants scolarisés à la Maternelle V. Hugo à la rentrée s’est vue refuser son inscription, au prétexte d’une absence de domiciliation !
On ne peut laisser des hommes, des femmes et des enfants en bas âge à la rue sans réagir. On ne peut accepter des expulsions qui laissent les personnes expulsées à la rue, quel que soit leur situation administrative ou leur origine. On ne peut tolérer un refus de scolarisation sous quelque prétexte que ce soit. On ne peut admettre la perspective de reconduites à la frontière qui briseraient la vie des enfants comme des familles.
Le Réseau Education Sans Frontières, en cohérence avec le combat qu’il mène depuis sa création pour le respect des droits fondamentaux et notamment ceux de l’enfant, soutient logiquement la lutte pour la survie entamée par ces familles. Il réclame en particulier leur régularisation rapide avec un titre « vie privée et familiale ».
Nous appelons les parties concernées à engager un dialogue sans a priori pour parvenir à une solution humaine qui s’impose de façon urgente :
Fatoumata doit être scolarisée de façon immédiate.
La préfecture doit reprendre ces dossiers et s’engager clairement à régulariser ces familles.
La préfecture, la mairie et la société Logicil doivent trouver des possibilités d’hébergement d’urgence d’abord, de relogement ensuite, pour ces familles, dans des conditions transparentes, acceptables pour tous et compatibles avec la scolarisatin des enfants.
lundi 16 octobre 2006.
Communiqué
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