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Y a-t-il un pilote dans l’avion ? (video)

Publie le vendredi 26 septembre 2008 par Open-Publishing
8 commentaires

Des experts face au 11-Septembre : entre doutes et accusations

Le capitaine Russ Wittenberg, ancien pilote de chasse de l’US Air Force, et pilote de ligne durant 35 ans pour Pan Am et United Airlines, est tout aussi catégorique.

Il est, selon lui, impossible qu’un Boeing ait pu effectuer une trajectoire aussi complexe et précise que celle réalisée par l’engin qui a frappé le Pentagone : "There was absolutely no possibility that Flight 77 could have "descended 7,000 feet in two minutes, all the while performing a steep 270 degree banked turn before crashing into the Pentagon’s first floor wall without touching the lawn."

Sans toucher la pelouse... Wittenberg ne croit pas qu’un pilote puisse prendre subitement les commandes d’un avion aussi difficile à contrôler pour le manier avec un telle aisance (comme un as du vol qu’Hani Hanjour, le pilote présumé, n’était d’ailleurs pas) : "There is not one chance in a thousand". Invoquant le fait qu’on n’a pas retrouvé les restes de l’énorme Boeing 757 au Pentagone, il conclut que la cause des dégâts est probablement un missile.


Témoignage du Commandant Russ Wittenberg sur le 11/09/01

http://www.reopen911.info/11-septem...

Messages

  • un pilote de ligne francais avait dit le jour des attentats du 11 septembre 2001 ; qu’il était impossible qu’un pilote puisse faire une telle manoeuvre sans avoir une énorme experience des avions de ligne

    l’info a été vite étouffé apparemment...

    benyamin nethanya

    • C’est même pas une question de pilote.

      Un Boeing ne peut effectuer une descente de 7000 pieds, (2333 m et des broutilles), en 2 minutes suivie d’un virage ressource à 270° tout simplement parce que l’électronique du bord ne le lui permettrait pas.

      Et en admettant que le pilote sache comment shunter le système, (Ce qui signifie qu’il a autre chose que des rudiments de pilotage dans ses bagages), sa structure ne résisterait tout simplement pas à l’inertie engendrée. En particulier la voilure qui encaisserait la totalité du moment de redressement.

      Un avion de ligne moderne ça n’est pas un avion de combat ou de voltige.

      G.L.

  • Est ce que la pression de l’air qu’exercerait un avion de prés de 40 mètres d’envergure et de prés de 50 mètres de long et se déplaçant a plusieurs centaines de kilomètres par heure permettrait au pilote de le mettre en rase motte sur plusieurs centaines de mètres voir qlqs kilomètres ? Et puis cela ne ferait il pas un effet tornade dont les conséquences seraient visibles après ?

    • Mettre un avion en "rase motte" sur plusieurs centaines de mètres ou un ou deux kilomètres, ça se fait chaque fois qu’il atterrit. Aérofoils, volets, et spoilers sortis.

      Mais c’est sur une piste d’atterrissage.

      Et c’est un des moments les plus délicats du pilotage d’un avion de ligne car tout se fait par guidage et aux instruments : Sur un Boeïng qui va toucher le piste le pilote ne voit le sol qu’à 2/300 m devant lui car il est trop haut placé.

      Ca n’est d’ailleurs pas important car il est équipé IFR et peut voler et atterrir sans aucune visibilité.

      Quand au résultat des turbulences sur ceux qui seraient en dessous je vous laisse imaginer la chose.

      Le mieux pour avoir des références c’est d’aller voir au Salon du Bourget.

      Même si vous n’êtes pas militaristes ça instruit sur les conneries que les médias aux ordres peuvent rapporter pour distordre l’info.

      G.L.

  • Il y a t-il un pilote dans l’avion ? Telle est (aussi) la question que l’on pourrait sérieusement se poser concernant les deux avions qui se sont "crashés" contre les tours du WTC.

    Est-ce que ces avions étaient "téléguidés", et vides de passagers et pilotes ?

    La firme Raytheon Corporation (http://en.wikipedia.org/wiki/Raytheon) a procédé à des essais dans ce sens durant l’été 2001, avec un Boeing de la FedEx ; soit quelques semaines avant les événements du 11 septembre.
     http://www.raytheon.com/newsroom/br... et
     http://www.prnewswire.com/cgi-bin/m...

    Au total, plusieurs décollages et atterrissages furent effectués sans assistance manuelle, utilisant le système JPALS (Joint Precision Approach and Landings System) et des balises LAAS (Local Area Augmentation System), selon ces communiqués de presse de Raytheon.

    Il y aurait un pilote ou un expert en avioniques pour expliquer aux profanes que nous sommes les potentialités et l’état d’avancement de cette technologie, notamment au moment des faits ?

    • http://iraqwar.mirror-world.ru/arti...

      Sans être un spécialiste, il me semble que les dispositions prises par certains pays parlent d’elle même.

      Le papier en question souligne que les autorités russes ont suspendu de vol des Boeings 737-500 par suite d’un "manque de formation de leurs équipages". Mais il se peut aussi que ça soit suite aux deux derniers crash qui ont impliqué ce dernier type d’appareil, en Russie et en Iran, et ou dans tous les deux se trouvaient de nombreux experts et scientifiques atomistes.

      Ces Boeing ont la particularité d’ête équipés pour des vols intercontinentaux sur les USA et comportent depuis le 9/11 un dispositif permettant de les contrôler sans l’aval des équipages en cas de détournement en territoire américain.

      Ce dispositif est obligatoire et équipe y compris les appareils des compagnies étrangères et tous les aéronefs qui veulent survoler le territoire étatsunien.

      Ce dispositif existait évidemment bien avant le 9/11 et avait fait l’objet d’expérience grandeur nature par l’armée américaine et la CIA.

      De là à penser qu’il serait possible de contrôler par satellite en n’importe quel point du globe...!!!

      Coïncidence ? Bizarre en tout cas.

      G.L.

    • Boeing 737-300 has crash-landed at the airport in Kaliningrad,

      http://en.rian.ru/russia/20081002/1...

      Et un de plus..

      C’est quand même bizarre que ce modèle, (Le Boeïng 737-300), ne se crashe en ce moment qu’à l’Est. LOL.

      Et de préférence avec des savants atomistes non étatsuniens à bord.

      On continue à suivre et à décompter.

      Mais pour ce type de voyageurs je ne saurait que leur conseiller d’utiliser de préférence des modèles locaux.

      G.L.