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dans la jungle chanson pour la libération d’Ingrid betancourt

Publie le mardi 17 juillet 2007 par Open-Publishing
19 commentaires

Bonjour
Pour moi i faut soutenir la FICIB pour la libération d’Ingrid Betancourt et de tous les otages pris par les farc en colombie.
Ci dessous le texte de la chanson en Français et autre

DANS LA JUNGLE
une chanson de Renaud
pour Ingrid Betancourt
et les autres

« Qu’est-ce qui vous a fait vous mobiliser pour la libération d’Ingrid Betancourt ? » demande Marc-Olivier Fogiel à Renaud.

« Je m’attendais à cette question parce que c’est systématiquement la question de quelques journalistes que je rencontre depuis quelques mois.

C’est une question déroutante. Il peut y avoir cinquante réponses différentes. Je vais prendre la plus simple.

Qu’est-ce qui a fait ? La même raison qui fait qu’Astrid combat aussi, voilà.

C’est parce que c’est sa soeur, parce que c’est aussi ma soeur, Ingrid Betancourt. C’est ma soeur en souffrance. Elle fait partie de cette entité mystérieuse et nombreuse qui s’appelle la race humaine. Quand un humain souffre, je souffre aussi, point final. Qu’on croie ou non à ma sincérité, j’en ai rien à foutre. C’est la vérité. »

DANS LA JUNGLE
(Pour Ingrid Bétancourt)

Trois années dans la jungle
Ligotée, baillonnée
Entourée de ces dingues
Ces doux illuminés
 
Qui t’ont fait prisonnière
Otage précisément
De leur triste guerre
Perdue depuis longtemps
 
Eux qui voulaient jadis
La liberté, le droit
Crachent sur la justice
En s’en prenant à toi
 
Ils méprisent la vie
Et la femme que tu es
Au bout de leurs fusils
La victoire est fanée
 
Nous t’attendons Ingrid
Et nous pensons à toi
Et nous ne serons libres
Que lorsque tu le seras
 
Trois années dans la jungle
Ligotée, baillonnée
Avec ces porte-flingues
Devenus tes geolliers
 
Qui te citent Staline
Ou te lisent Mao
A toi qui, j’imagine
Préfèrerais Rimbaud
 
Peut-être, comme moi
Les croyais-tu, naguère
Fils de Che Guevara
Et porteurs de lumière
 
Mais leur lutte finale
Leur matin du grand soir
C’est la haine et le mal
Et surtout les Dollars
 
Nous t’attendons Ingrid
Et nous pensons à toi
Et nous ne serons libres
Que lorsque tu le seras
 
Je n’connais pas le nom
De tous ceux, comme toi
Qui croupissent en prison
Otages ici ou là
 
Anonymes, oubliés
Victimes de conflits
Où, de chaque côté
Sévit la barbarie
 
Des narco-trafiquants
D’un pouvoir corrompu
D’un indigne président
Vous payez le tribut
 
Alors, chantant pour toi
Ingrid, je veux aussi
Rappeler que tu combats
Contre un double ennemi
 
Nous t’attendons Ingrid
Et nous pensons à toi
Et nous ne serons libres
Que lorsque tu le seras
 
Trois années dans la jungle
Ligotée, baillonnée
Avec le vent qui cingle
Dans tes cheveux défaits
 
Tu restes, malgré tout
Sereine et élégante
Ta revanche sur ces fous
Est de rester vivante
 
Pour tous ceux que tu aimes
Et qui ne t’oublient pas
Qui veulent briser ces chaînes
Qui ne te briseront pas
 
Ton nom est synonyme
Ingrid Bétancourt
Contre l’armée du crime
De courage et d’amour
 
Nous t’attendons Ingrid
Et nous pensons à toi
Et nous ne serons libres
Que lorsque tu le seras
 
Et nous ne serons libres
Que lorsque tu le seras
 
--------------------------------------------------------------------------------
 
En la jungla
 
tres años en la selva
atada y sin luz
rodeada de locos
tres años en la cruz
 
te secuestraron
te hicieron rehén
de una guerra suicida
perdieron el tren
 
clamaban justicia
pedían libertad
matando principios,
la paz y tu verdad
 
desprecian la vida
tu alma de mujer
y con sus fusiles
te quieren vencer
 
te esperamos Ingrid
pensamos en ti
y no seremos libres
hasta que estés aquí
 
tres años en la jungla
atada y sin luz
con esos pistoleros
tres años en la cruz
 
como ellos combates
contra la miseria
tú con las palabras
y ellos con la guerra
 
los creíste tal vez
como yo , equivocada
dignos portadores
de la voz del Che Guevara
 
mas los "pueblos que se alzan
en la lucha final"
son sólo la excusa
para poder matar
 
te esperamos.....
 
no sé quiénes son
los que como tú
se pudren en prisiones
desde el Norte hasta el Sur
 
pobres inocentes
sin nombre , olvidados
que sufren la barbarie
por los dos costados
 
de narcotraficantes
de un poder corrupto
de un presidente indigno
pagais el tributo
 
Ingrid , también quiero
cuando canto contigo
recordar que combates
contra un doble enemigo
 
te esperamos...
 
tres años en la selva
atada y sin luz
perdida en la noche
tres años en la cruz
 
y sigues pese a todo
fuerte y digna
te vengas de esos desalmados
permaneciendo en vida
 
Ingrid Betancourt
coraje y valor
tu nombre es un grito
y un canto de amor
 
por todos los que amas
continúas serena
por los que no te olvidan
romperás tus cadenas
 
te esperamos...

Messages

  • Chanson pour délivrer la Colombie des griffes de l’impérialisme :

    http://www.cetim.ch/fr/interventions_details.php?iid=155

    L’implication des sociétés transnationales dans l’élaboration et la mise en œuvre du "Plan Colombie"

    Résumé
    Présenté comme une lutte contre le trafic de stupéfiants pour le renforcement de l’Etat colombien et le retour à la paix et à la prospérité, le " plan Colombie " est en réalité une opération militaire. Ses objectifs réels sont d’asseoir l’hégémonie des Etats-Unis d’Amérique sur le continent et, d’autre part, de permettre aux transnationales américaines d’exploiter les richesses de la Colombie sans contrainte d’ordre social ou environnemental, tout en confortant les privilèges de l’oligarchie locale. Cette déclaration dénonce le mépris total manifesté par les autorités américaines et colombiennes à l’égard des droits civils, politiques, économiques, sociales et culturels du peuple colombien.

    Commission des droits de l’homme 2001

    Intervention au point 9 : question des violations des droits de l’homme et des libertés fondamentales, où qu’elle se produise dans le monde. Déclaration écrite conjointe CETIM et AAJ.

    Cote ONU : E/CN.4/2001/NGO/184

    1. Le plan Colombie

    Présenté comme une lutte contre le trafic de stupéfiants et officiellement intitulé " plan pour la paix, la prospérité et le renforcement de l’Etat ", le plan Colombie est en réalité une opération militaire dont les objectifs réels vont à l’encontre des buts publiquement avancés

    Il s’agit essentiellement d’une initiative de Washington, largement élaborée par le Département d’Etat américain et acceptée par le Président Andrés Pastrana de façon bilatérale, sans que la société civile ni le Congrès colombien n’aient été consultés. C’est d’ailleurs par la presse, El Espectador du 2 janvier 2000, que le pays en a pris connaissance.

    Ce plan vise d’une part, à asseoir l’hégémonie des Etats-Unis, notamment militaire, dans la région et, d’autre part, à permettre aux sociétés transnationales américaines d’exploiter les richesses du pays sans contrainte d’ordre social ou environnemental, tout en confortant les privilèges de l’oligarchie locale. Terres, exploitation pétrolière, réserves de gaz, projets hydroélectriques, zones bananières, industrie touristique, biodiversité de l’Amazonie et méga projets de construction comme celui du canal interocéanique, tels sont les enjeux " cachés " du plan Colombie.

    Ce plan est exécuté dans le mépris le plus total des droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels des populations colombiennes, qui en sont les premières victimes, comme l’attestent les déplacements massifs. En fait, ces déplacements révèlent un de ses aspects les plus cyniques. Des terres vidées de leurs habitants étant plus propices, par exemple, à l’agriculture intensive, l’exploitation pétrolière ou minière. Avant de constituer une des conséquences de cette guerre, les déplacements de populations en sont un des buts. D’ailleurs, il est révélateur que 80 % de " l’aide " internationale prévue soit dédiée à l’aspect militaire du plan et seulement 4,8 % aux conséquences des déplacements massifs qu’il engendre.

    Le plan coûtera 7’328 millions de dollars. La part du gouvernement colombien sera de 3’300 millions de dollars, celle des Etats-Unis de 1’600 millions de dollars. Il était prévu que le reste serait financé par l’Union Européenne, mais cette dernière a refusé sa participation.

    Le plan Colombie est avant tout de caractère militaire. Ses bras armés sont d’une part, les Etats-Unis à travers l’octroi de fonds publics, l’envoi de matériel et de conseillers, d’autre part, l’armée colombienne, alliée aux paramilitaires et soutenue par l’oligarchie locale et les grands propriétaires terriens. 70 % des exactions commises dans le pays sont attribuées aux " groupes paramilitaires qui, en certaines occasions, agissent de concert avec des membres de la force publiques ou avec leur accord ".

    Les objectifs réels du plan Colombie

    Malgré son titre prometteur, le plan Colombie ne favorise pas la paix ni la prospérité et encore moins le renforcement de l’Etat. En réalité, les objectifs poursuivis à travers son élaboration et sa mise en œuvre sont les suivants :

     renforcer, équiper et entraîner l’armée colombienne afin de combattre les guérillas, Forces Armées Révolutionnaires (FARC) en premier lieu et de reprendre le contrôle sur les zones qu’elles occupent ;

     procéder aux fumigations chimiques et biologiques des champs de coca ;

     réprimer les mouvements sociaux (paysans, indigènes, pêcheurs, syndicats, etc…) ;

     asseoir l’hégémonie militaire des Etats-Unis dans la région ;

     assurer le contrôle américain sur le pétrole colombien dans un contexte géopolitique marqué par la position du Venezuela et de l’Equateur en la matière ;

     permettre aux sociétés transnationales (STN) américaines d’exploiter les ressources naturelles du pays de façon massive et sans contrainte d’ordre social et/ou environnemental.

     accélérer le processus d’accaparement des terres tout en pérennisant les privilèges de l’oligarchie locale.

    Les conséquences sociales et environnementales du plan Colombie

    Les défenseurs de ce plan prétendent agir pour le bien de la Colombie et lui assurer un futur meilleur. Mais dans les faits il en va tout autrement et les conséquences qu’il engendre sont d’une portée extrêmement grave :

    de par son caractère militaire, il exacerbe le contexte de violence que connaît le pays et favorise les exactions perpétrées à l’encontre des populations civiles et par conséquent accentue les déplacements de populations ;

    il menace d’embraser toute la région ;

    il offre une aide substantielle aux paramilitaires, dont la collusion avec l’armée nationale n’est plus à prouver, confortant ainsi l’impunité dont ils jouissent ;

    il mine les négociations de paix parce qu’il soutient les paramilitaires qui constituent un véritable obstacle à la réussite de telles négociations ;

    il " narcotise " le conflit alors que les cultures illégales n’en sont pas la cause, mais au contraire le résultat de la concentration des terres et de la détérioration des conditions économiques et sociales des paysans, la coca étant devenue la seule source de revenus.

    les fumigations chimiques et biologiques déjà entamées sont d’une violence extrême pour la santé des populations (destruction des récoltes vivrières, empoisonnement de l’eau, apparition massive d’ulcères, irritation des yeux, etc…) ;

    ces fumigations ont un impact déjà considérable et dont on ne connaît pas la portée sur l’environnement, mettant en péril une des plus riche biodiversité de la planète.

    les paysans qui fuient les zones contaminées par les fumigations trouvent de nouvelles terres en défrichant l’Amazonie et participent malgré eux à sa destruction progressive.

    La position de l’Union Européenne

    Le plan Colombie ne prend pas en compte les causes économiques, sociales et politiques qui ont conduit le pays à cette situation. C’est, notamment ce que lui reproche l’Union Européenne qui s’inscrit contre cette " solution " militaire et propose :

     un soutien accru à la coopération économique et institutionnelle ;

     la reprise des négociations avec les FARC et le gouvernement ;

     l’ouverture de négociations multilatérales impliquant les acteurs de la société civile ;

     l’encouragement à une véritable réforme agraire ;

     de favoriser le rétablissement des conditions économiques, sociales et politiques permettant la pleine jouissance des droits humains pour tous ;

     à propos du trafic de stupéfiants, que soit pris en compte le partage des responsabilités entre pays consommateurs et pays producteurs et, que des stratégies visant à combattre le blanchiment d’argent soient initiées.

    2. Le plan Colombie : une guerre à but privé dont bénéficient largement les sociétés transnationales (STN) américaines

    Le plan Colombie une guerre pour la terre, les matières premières et les richesses du pays

    La Colombie est effectivement d’un intérêt géostratégique notoire pour l’hégémonie militaire des Etats-Unis, mais elle représente aussi des intérêts économiques colossaux pour les sociétés transnationales américaines. En s’appuyant sur l’armée et l’oligarchie locale qu’il favorise, le plan Colombie a pour but inavoué, bien que connu, d’exploiter intensivement les richesses du pays comme le montre la teneur des amendements proposés par les sénateurs Dewine, Grassley et Coverdell : " Insister pour que le gouvernement colombien complète les réformes urgentes destinées à ouvrir complètement son économie à l’investissement et au commerce extérieur, particulièrement à l’industrie du pétrole. "

    Hors contexte, ces paroles semblent banales. Mais elles sont lourdes de sens. A commencer par l’accent mis sur le caractère complet de l’ouverture économique attendue. Il est vrai que les sociétés transnationales sont déjà très présentes en Colombie. Faut-il conclure qu’elles ont l’intention de s’approprier le pays tout entier ?

    Ce que réclament de la sorte MM. les sénateurs Dewine, Grassley est un euphémisme. En réalité, ce que le plan Colombie offre aux STN, en reprenant le contrôle sur les régions dominées par les FARC, équivaut à leur livrer tout entier un pays dans lequel elles sont déjà largement implantées grâce à la libéralisation des marchés et des capitaux et aux vagues de privatisations impulsées par le FMI - qui fait pression sur l’Etat afin qu’il réduise son déficit fiscal et puisse obtenir des devises destinées à l’amortissement d’une dette extérieure impayable. Elles possèdent par exemple, " 85 % de la propriété des entreprises publiques d’électricité, acquises à des prix dérisoires (51 % de l’Entreprise d’énergie de Bogota ont été vendus 2 800 millions de dollars, un tiers de la valeur réelle ; sur cette somme, 1 100 millions de dollars ont été décapitalisés en 1999) ".

    Ces privatisations contribuent à affaiblir l’économie nationale et se traduisent de plus par une hausse des coûts pour les usagers. " L’énergie a ainsi subi une hausse de plus de 300 % depuis 1994 ; pour la seule année 1998, le prix du téléphone local est passé de 5 pesos par minute à 15 pesos. "

    Dans le domaine agricole, les STN ont bénéficié des Accords de l’OMC et de l’ouverture des frontières qui ont laminé l’agriculture du pays. Nous assistons à une augmentation de la concentration des terres entre leurs mains et celles des grands propriétaires terriens et à une diminution des terres dédiées aux cultures vivrières au profit des cultures d’exportation. Devises et dette obligent. Autosuffisante en riz en 1990, la Colombie en importe aujourd’hui 450’000 tonnes par an.

    Lorsque MM. Dewine, Grassley et Coverdell parlent ouvertement d’exploitation pétrolière en Colombie, leurs voix font écho à celle du Vice-président de la Oxydental Petroleum Company - aujourd’hui tristement célèbre pour les exactions commises contre le peuple U’wa - qui demande, que le plan Colombie ne se concentre pas seulement sur le Putumayo, l’entreprise étant prête à commencer ses opérations dans le Nord du pays. De là à dire que le plan Colombie est le bras armé du capital il n’y a qu’un pas.

    Intérêts privés et responsabilités politiques

    Même aux Etats-Unis, l’engagement public en faveur du plan Colombie a posé des problèmes en termes de responsabilité politique. Le gouvernement américain tient à se protéger des possibles conséquences politiques de son engagement. Malgré un consensus sur le fond du programme, le Congrès a rechigné à voter l’accord et il a fallu attendre juin 2000 pour que le Sénat donne son feu vert. Les sommes engagées et l’apport de matériel militaire ont été réduits. Le nombre de conseillers américains sur le terrain a été limité.

    Mais il ne s’agit en rien de réduire l’engagement américain envers le plan Colombie. Grâce à la pratique de l’Outsourcing, le gouvernement des Etats-Unis sous-traite une partie des moyens militaires qu’il met à disposition. " D’anciens membres des Forces spéciales US, des " spécialistes " et des experts indépendants sont attendus en Colombie, sous contrat privé, pour assumer les tâches que les forces armées américaines ne peuvent ou ne veulent assurer. "

    Conclusion

    Le plan Colombie est une guerre officiellement financée par des fonds publics nationaux et internationaux. Mais cette guerre, dont les ennemis désignés sont le trafic de stupéfiants et les guérillas, est en fait, une guerre visant à faire main basse sur les richesses du pays. De l’élaboration du plan à sa mise en place, les intérêts des STN sont défendus et impliqués. De fait, le plan Colombie est une guerre dont les coûts humains et financiers sont publics et les bénéfices largement privés.

    Aussi, nous demandons que les responsabilités des sociétés transnationales engagées dans le plan Colombie soient sérieusement prises en considération afin que les commanditaires, comme les auteurs de violations des droits humains, quotidiennement commises en Colombie, ne poursuivent pas leurs activités en toute impunité.

    Au regard de ce qui précède, le CETIM et l’AAJ condamnent l’application du plan Colombie, appellent la communauté internationale à s’y opposer par tous les moyens appropriés afin de faire respecter les droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturel du peuple colombien et, recommandent que la Commission des droits de l’homme adopte une résolution allant dans ce sens.

  • michel de toulon:BETANCOURT savait en allant dans une zone tenu par les FARC elle risquait d’etre pris en otage, les FARC eux meme l’avait avertis.Depuis le le président URIBE a toujours fait échoués les négociations.Ce valet de l’impérialisme ne fait que suivre les ordres des ETATS UNIS.Pour ce qui est des narco-traficant,lorque le capitalisme paiera les paysants fabricant du café a leur juste prix ,le traffic de la cocaine diminura.Quand au pauvre RENAUD , c’est devenu la nouvelle mode chez les BOBO de défendre bétancourt,de quel droit juge-t-il les combattants des FARC,lui qui ne prendrai meme pas le risque de traverser une route lorsque le feu est vert.A travers son parcour on peut mesurer comment l’argent peut changer un homme,encore un homme de gauche a la kouchner.

    • Que la chanson de renaud soit cul cul la praline, mal écrite, consensuel au possible on est d’accord, en plus il se croit encore subversif, mais quand tu dis "de quel droit juge t-il les combattants des FARC, lui qui ne prendrai pas le risque de traverser la route si le feu est vert" c’est un peu bête comme argument parce que ça veut dire qu’à partir qu’un groupe de personne est téméraire il est inattaquable, ça veut dire qu’un pépère paisible incapable de regarder dans les yeux un flic ne peut pas jugé par exemple un groupe de mercenaire facho engagé dans un conflit dans un pays du tiers monde...

  • Finalement, tout le monde ici est pour que Ingrid Bettancourt reste en captivité. Qu’avait-elle à faire dans une zone contrôlée par les FARC, n’est-ce pas ? Sympa. Vous me faites froid dans le dos.

  • Personne ne lit l’espagnol ?
    Dommage parce qu’un petit tour sur les sites d’infos colombiens vous apprendrait ce qui fait hurler de rire tout le monde la-bas : betancourt est une veritable nymphomane qui apres s’etre tape toute l’ambassade a craque pour les bandidos, pour finalement (comme sa codetenue) accoucher des oeuvres du chef rebelle, et n’a consequemment aucunement l’intention de quitter ses virils compagnons et accueille avec bonheur vos mandats postaux !

    • curieux de voir le lien !

      en tout cas, faut savoir que un mois plus tôt, un autre politique s’est fait kidnappé dans la même zone que Betancourt, il a été relaché deux semaines plus tard, et sa cote de popularité a grimpé de bon nombre de points !

      Betancourt s’est pointé dans la même zone à peine protégée...
      J’ai du mal a retrouver le fameux article, il est sur http://www.latinreporters.com

      En tous cas une chose est sure, on lui avait déconseillé d’aller là bas !
      http://www.latinreporters.com/colombiepol250202.html

      Inconscience ou calcul politico-tocard ?? Je me pose la question...

      L’article sur le plan colombie est très intéressant, et souligne un fait que ne traverse jamais l’atlantique : les AUC sont les pires groupes armés, alors qu’on stigmatise les guérillas...

      Continuez à boire la merde dont vous abreuve la TV française, et ces pseudos chanteurs ex-anars et futurs réacs !

      Sur ce bonne journée !

    • Les 2/3 des journaux appartiennent à l’extréme droite et a des politiciens corrompus,qui a intérêt à rependre ce genre de conneries.

      C’est vraiment le genre de "nouvelles" à prendre avec des pincettes et un masque sur le nez.

      Jean Claude des Landes

    • Bonjour.

      Il y a quelque chose que je ne comprends pas sur les e -commentaires de presse :

      Chacun veut affirmer ses idées , peu importe qu’il ait une réélle connaissance du sujet ou non ! En gros celui qui s’interesse au sujet depuis 10 ans n’a sur internet pas plus de poids que Mr X qui a en a appris un peu avec les guignols de l’info la veille, et qui se dit : "je vais m’y interesser a fond" ! Après une heure sur le web, il pense avoir tout compris... Ca c’est bien, car chacun cherche à mieux comprendre le monde qui l’entoure.

      Mais ce qui m’échappe, c’est pourquoi ce meme Mr X s’impose avec toujours bcp de style et de réthorique, comme si il détenait la solution. Ca aboutit à de la pure forme sans vraiment avoir de réflexion, et à une certaine violence verbale.

      Je lis 11 post sur Betancourt, et qu’est ce que j’en retire ? Pas grand chose, sincèrement.

      Entre les donneurs de lecon, toujours au rendez vous, les "ecrivains" qui privilégient le style et non l’info, les "bloqués" qui pensent que les autres points de vue sont pourris, on est perdus.

      Un journaliste de l’AFP m’a un jour dit qu’avec les forums, plein d’e-journalistes fleurissaient à droite a gauche. Je trouve ca génial !

      mais comme il le disait aussi tous ceux la vont se casser la gueule, car donner l’information, ca s’apprend, comme tout métier.

      J’éspère que les forums changeront

      bIEN A VOUS

      Alban

    • Donnez-nous vos sources, nous irons les consulter, vous n’êtes pas le seul à comprendre l’espagnol.