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dans la jungle chanson pour la libération d’Ingrid betancourt
Publie le mardi 17 juillet 2007 par Open-Publishing19 commentaires
Bonjour
Pour moi i faut soutenir la FICIB pour la libération d’Ingrid Betancourt et de tous les otages pris par les farc en colombie.
Ci dessous le texte de la chanson en Français et autre
DANS LA JUNGLE
une chanson de Renaud
pour Ingrid Betancourt
et les autres
« Qu’est-ce qui vous a fait vous mobiliser pour la libération d’Ingrid Betancourt ? » demande Marc-Olivier Fogiel à Renaud.
« Je m’attendais à cette question parce que c’est systématiquement la question de quelques journalistes que je rencontre depuis quelques mois.
C’est une question déroutante. Il peut y avoir cinquante réponses différentes. Je vais prendre la plus simple.
Qu’est-ce qui a fait ? La même raison qui fait qu’Astrid combat aussi, voilà.
C’est parce que c’est sa soeur, parce que c’est aussi ma soeur, Ingrid Betancourt. C’est ma soeur en souffrance. Elle fait partie de cette entité mystérieuse et nombreuse qui s’appelle la race humaine. Quand un humain souffre, je souffre aussi, point final. Qu’on croie ou non à ma sincérité, j’en ai rien à foutre. C’est la vérité. »
DANS LA JUNGLE
(Pour Ingrid Bétancourt)
Trois années dans la jungleLigotée, baillonnéeEntourée de ces dinguesCes doux illuminésQui t’ont fait prisonnièreOtage précisémentDe leur triste guerrePerdue depuis longtempsEux qui voulaient jadisLa liberté, le droitCrachent sur la justiceEn s’en prenant à toiIls méprisent la vieEt la femme que tu esAu bout de leurs fusilsLa victoire est fanéeNous t’attendons IngridEt nous pensons à toiEt nous ne serons libresQue lorsque tu le serasTrois années dans la jungleLigotée, baillonnéeAvec ces porte-flinguesDevenus tes geolliersQui te citent StalineOu te lisent MaoA toi qui, j’imaginePréfèrerais RimbaudPeut-être, comme moiLes croyais-tu, naguèreFils de Che GuevaraEt porteurs de lumièreMais leur lutte finaleLeur matin du grand soirC’est la haine et le malEt surtout les DollarsNous t’attendons IngridEt nous pensons à toiEt nous ne serons libresQue lorsque tu le serasJe n’connais pas le nomDe tous ceux, comme toiQui croupissent en prisonOtages ici ou làAnonymes, oubliésVictimes de conflitsOù, de chaque côtéSévit la barbarieDes narco-trafiquantsD’un pouvoir corrompuD’un indigne présidentVous payez le tributAlors, chantant pour toiIngrid, je veux aussiRappeler que tu combatsContre un double ennemiNous t’attendons IngridEt nous pensons à toiEt nous ne serons libresQue lorsque tu le serasTrois années dans la jungleLigotée, baillonnéeAvec le vent qui cingleDans tes cheveux défaitsTu restes, malgré toutSereine et éléganteTa revanche sur ces fousEst de rester vivantePour tous ceux que tu aimesEt qui ne t’oublient pasQui veulent briser ces chaînesQui ne te briseront pasTon nom est synonymeIngrid BétancourtContre l’armée du crimeDe courage et d’amourNous t’attendons IngridEt nous pensons à toiEt nous ne serons libresQue lorsque tu le serasEt nous ne serons libresQue lorsque tu le seras--------------------------------------------------------------------------------En la junglatres años en la selvaatada y sin luzrodeada de locostres años en la cruzte secuestraronte hicieron rehénde una guerra suicidaperdieron el trenclamaban justiciapedían libertadmatando principios,la paz y tu verdaddesprecian la vidatu alma de mujery con sus fusileste quieren vencerte esperamos Ingridpensamos en tiy no seremos libreshasta que estés aquítres años en la junglaatada y sin luzcon esos pistolerostres años en la cruzcomo ellos combatescontra la miseriatú con las palabrasy ellos con la guerralos creíste tal vezcomo yo , equivocadadignos portadoresde la voz del Che Guevaramas los "pueblos que se alzanen la lucha final"son sólo la excusapara poder matarte esperamos.....no sé quiénes sonlos que como túse pudren en prisionesdesde el Norte hasta el Surpobres inocentessin nombre , olvidadosque sufren la barbariepor los dos costadosde narcotraficantesde un poder corruptode un presidente indignopagais el tributoIngrid , también quierocuando canto contigorecordar que combatescontra un doble enemigote esperamos...tres años en la selvaatada y sin luzperdida en la nochetres años en la cruzy sigues pese a todofuerte y dignate vengas de esos desalmadospermaneciendo en vidaIngrid Betancourtcoraje y valortu nombre es un gritoy un canto de amorpor todos los que amascontinúas serenapor los que no te olvidanromperás tus cadenaste esperamos...
Messages
1. dans la jungle chanson pour la libération d’Ingrid betancourt, 17 juillet 2007, 15:00
Chanson pour délivrer la Colombie des griffes de l’impérialisme :
http://www.cetim.ch/fr/interventions_details.php?iid=155
L’implication des sociétés transnationales dans l’élaboration et la mise en œuvre du "Plan Colombie"
Résumé
Présenté comme une lutte contre le trafic de stupéfiants pour le renforcement de l’Etat colombien et le retour à la paix et à la prospérité, le " plan Colombie " est en réalité une opération militaire. Ses objectifs réels sont d’asseoir l’hégémonie des Etats-Unis d’Amérique sur le continent et, d’autre part, de permettre aux transnationales américaines d’exploiter les richesses de la Colombie sans contrainte d’ordre social ou environnemental, tout en confortant les privilèges de l’oligarchie locale. Cette déclaration dénonce le mépris total manifesté par les autorités américaines et colombiennes à l’égard des droits civils, politiques, économiques, sociales et culturels du peuple colombien.
Commission des droits de l’homme 2001
Intervention au point 9 : question des violations des droits de l’homme et des libertés fondamentales, où qu’elle se produise dans le monde. Déclaration écrite conjointe CETIM et AAJ.
Cote ONU : E/CN.4/2001/NGO/184
1. Le plan Colombie
Présenté comme une lutte contre le trafic de stupéfiants et officiellement intitulé " plan pour la paix, la prospérité et le renforcement de l’Etat ", le plan Colombie est en réalité une opération militaire dont les objectifs réels vont à l’encontre des buts publiquement avancés
Il s’agit essentiellement d’une initiative de Washington, largement élaborée par le Département d’Etat américain et acceptée par le Président Andrés Pastrana de façon bilatérale, sans que la société civile ni le Congrès colombien n’aient été consultés. C’est d’ailleurs par la presse, El Espectador du 2 janvier 2000, que le pays en a pris connaissance.
Ce plan vise d’une part, à asseoir l’hégémonie des Etats-Unis, notamment militaire, dans la région et, d’autre part, à permettre aux sociétés transnationales américaines d’exploiter les richesses du pays sans contrainte d’ordre social ou environnemental, tout en confortant les privilèges de l’oligarchie locale. Terres, exploitation pétrolière, réserves de gaz, projets hydroélectriques, zones bananières, industrie touristique, biodiversité de l’Amazonie et méga projets de construction comme celui du canal interocéanique, tels sont les enjeux " cachés " du plan Colombie.
Ce plan est exécuté dans le mépris le plus total des droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels des populations colombiennes, qui en sont les premières victimes, comme l’attestent les déplacements massifs. En fait, ces déplacements révèlent un de ses aspects les plus cyniques. Des terres vidées de leurs habitants étant plus propices, par exemple, à l’agriculture intensive, l’exploitation pétrolière ou minière. Avant de constituer une des conséquences de cette guerre, les déplacements de populations en sont un des buts. D’ailleurs, il est révélateur que 80 % de " l’aide " internationale prévue soit dédiée à l’aspect militaire du plan et seulement 4,8 % aux conséquences des déplacements massifs qu’il engendre.
Le plan coûtera 7’328 millions de dollars. La part du gouvernement colombien sera de 3’300 millions de dollars, celle des Etats-Unis de 1’600 millions de dollars. Il était prévu que le reste serait financé par l’Union Européenne, mais cette dernière a refusé sa participation.
Le plan Colombie est avant tout de caractère militaire. Ses bras armés sont d’une part, les Etats-Unis à travers l’octroi de fonds publics, l’envoi de matériel et de conseillers, d’autre part, l’armée colombienne, alliée aux paramilitaires et soutenue par l’oligarchie locale et les grands propriétaires terriens. 70 % des exactions commises dans le pays sont attribuées aux " groupes paramilitaires qui, en certaines occasions, agissent de concert avec des membres de la force publiques ou avec leur accord ".
Les objectifs réels du plan Colombie
Malgré son titre prometteur, le plan Colombie ne favorise pas la paix ni la prospérité et encore moins le renforcement de l’Etat. En réalité, les objectifs poursuivis à travers son élaboration et sa mise en œuvre sont les suivants :
– renforcer, équiper et entraîner l’armée colombienne afin de combattre les guérillas, Forces Armées Révolutionnaires (FARC) en premier lieu et de reprendre le contrôle sur les zones qu’elles occupent ;
– procéder aux fumigations chimiques et biologiques des champs de coca ;
– réprimer les mouvements sociaux (paysans, indigènes, pêcheurs, syndicats, etc…) ;
– asseoir l’hégémonie militaire des Etats-Unis dans la région ;
– assurer le contrôle américain sur le pétrole colombien dans un contexte géopolitique marqué par la position du Venezuela et de l’Equateur en la matière ;
– permettre aux sociétés transnationales (STN) américaines d’exploiter les ressources naturelles du pays de façon massive et sans contrainte d’ordre social et/ou environnemental.
– accélérer le processus d’accaparement des terres tout en pérennisant les privilèges de l’oligarchie locale.
Les conséquences sociales et environnementales du plan Colombie
Les défenseurs de ce plan prétendent agir pour le bien de la Colombie et lui assurer un futur meilleur. Mais dans les faits il en va tout autrement et les conséquences qu’il engendre sont d’une portée extrêmement grave :
de par son caractère militaire, il exacerbe le contexte de violence que connaît le pays et favorise les exactions perpétrées à l’encontre des populations civiles et par conséquent accentue les déplacements de populations ;
il menace d’embraser toute la région ;
il offre une aide substantielle aux paramilitaires, dont la collusion avec l’armée nationale n’est plus à prouver, confortant ainsi l’impunité dont ils jouissent ;
il mine les négociations de paix parce qu’il soutient les paramilitaires qui constituent un véritable obstacle à la réussite de telles négociations ;
il " narcotise " le conflit alors que les cultures illégales n’en sont pas la cause, mais au contraire le résultat de la concentration des terres et de la détérioration des conditions économiques et sociales des paysans, la coca étant devenue la seule source de revenus.
les fumigations chimiques et biologiques déjà entamées sont d’une violence extrême pour la santé des populations (destruction des récoltes vivrières, empoisonnement de l’eau, apparition massive d’ulcères, irritation des yeux, etc…) ;
ces fumigations ont un impact déjà considérable et dont on ne connaît pas la portée sur l’environnement, mettant en péril une des plus riche biodiversité de la planète.
les paysans qui fuient les zones contaminées par les fumigations trouvent de nouvelles terres en défrichant l’Amazonie et participent malgré eux à sa destruction progressive.
La position de l’Union Européenne
Le plan Colombie ne prend pas en compte les causes économiques, sociales et politiques qui ont conduit le pays à cette situation. C’est, notamment ce que lui reproche l’Union Européenne qui s’inscrit contre cette " solution " militaire et propose :
– un soutien accru à la coopération économique et institutionnelle ;
– la reprise des négociations avec les FARC et le gouvernement ;
– l’ouverture de négociations multilatérales impliquant les acteurs de la société civile ;
– l’encouragement à une véritable réforme agraire ;
– de favoriser le rétablissement des conditions économiques, sociales et politiques permettant la pleine jouissance des droits humains pour tous ;
– à propos du trafic de stupéfiants, que soit pris en compte le partage des responsabilités entre pays consommateurs et pays producteurs et, que des stratégies visant à combattre le blanchiment d’argent soient initiées.
2. Le plan Colombie : une guerre à but privé dont bénéficient largement les sociétés transnationales (STN) américaines
Le plan Colombie une guerre pour la terre, les matières premières et les richesses du pays
La Colombie est effectivement d’un intérêt géostratégique notoire pour l’hégémonie militaire des Etats-Unis, mais elle représente aussi des intérêts économiques colossaux pour les sociétés transnationales américaines. En s’appuyant sur l’armée et l’oligarchie locale qu’il favorise, le plan Colombie a pour but inavoué, bien que connu, d’exploiter intensivement les richesses du pays comme le montre la teneur des amendements proposés par les sénateurs Dewine, Grassley et Coverdell : " Insister pour que le gouvernement colombien complète les réformes urgentes destinées à ouvrir complètement son économie à l’investissement et au commerce extérieur, particulièrement à l’industrie du pétrole. "
Hors contexte, ces paroles semblent banales. Mais elles sont lourdes de sens. A commencer par l’accent mis sur le caractère complet de l’ouverture économique attendue. Il est vrai que les sociétés transnationales sont déjà très présentes en Colombie. Faut-il conclure qu’elles ont l’intention de s’approprier le pays tout entier ?
Ce que réclament de la sorte MM. les sénateurs Dewine, Grassley est un euphémisme. En réalité, ce que le plan Colombie offre aux STN, en reprenant le contrôle sur les régions dominées par les FARC, équivaut à leur livrer tout entier un pays dans lequel elles sont déjà largement implantées grâce à la libéralisation des marchés et des capitaux et aux vagues de privatisations impulsées par le FMI - qui fait pression sur l’Etat afin qu’il réduise son déficit fiscal et puisse obtenir des devises destinées à l’amortissement d’une dette extérieure impayable. Elles possèdent par exemple, " 85 % de la propriété des entreprises publiques d’électricité, acquises à des prix dérisoires (51 % de l’Entreprise d’énergie de Bogota ont été vendus 2 800 millions de dollars, un tiers de la valeur réelle ; sur cette somme, 1 100 millions de dollars ont été décapitalisés en 1999) ".
Ces privatisations contribuent à affaiblir l’économie nationale et se traduisent de plus par une hausse des coûts pour les usagers. " L’énergie a ainsi subi une hausse de plus de 300 % depuis 1994 ; pour la seule année 1998, le prix du téléphone local est passé de 5 pesos par minute à 15 pesos. "
Dans le domaine agricole, les STN ont bénéficié des Accords de l’OMC et de l’ouverture des frontières qui ont laminé l’agriculture du pays. Nous assistons à une augmentation de la concentration des terres entre leurs mains et celles des grands propriétaires terriens et à une diminution des terres dédiées aux cultures vivrières au profit des cultures d’exportation. Devises et dette obligent. Autosuffisante en riz en 1990, la Colombie en importe aujourd’hui 450’000 tonnes par an.
Lorsque MM. Dewine, Grassley et Coverdell parlent ouvertement d’exploitation pétrolière en Colombie, leurs voix font écho à celle du Vice-président de la Oxydental Petroleum Company - aujourd’hui tristement célèbre pour les exactions commises contre le peuple U’wa - qui demande, que le plan Colombie ne se concentre pas seulement sur le Putumayo, l’entreprise étant prête à commencer ses opérations dans le Nord du pays. De là à dire que le plan Colombie est le bras armé du capital il n’y a qu’un pas.
Intérêts privés et responsabilités politiques
Même aux Etats-Unis, l’engagement public en faveur du plan Colombie a posé des problèmes en termes de responsabilité politique. Le gouvernement américain tient à se protéger des possibles conséquences politiques de son engagement. Malgré un consensus sur le fond du programme, le Congrès a rechigné à voter l’accord et il a fallu attendre juin 2000 pour que le Sénat donne son feu vert. Les sommes engagées et l’apport de matériel militaire ont été réduits. Le nombre de conseillers américains sur le terrain a été limité.
Mais il ne s’agit en rien de réduire l’engagement américain envers le plan Colombie. Grâce à la pratique de l’Outsourcing, le gouvernement des Etats-Unis sous-traite une partie des moyens militaires qu’il met à disposition. " D’anciens membres des Forces spéciales US, des " spécialistes " et des experts indépendants sont attendus en Colombie, sous contrat privé, pour assumer les tâches que les forces armées américaines ne peuvent ou ne veulent assurer. "
Conclusion
Le plan Colombie est une guerre officiellement financée par des fonds publics nationaux et internationaux. Mais cette guerre, dont les ennemis désignés sont le trafic de stupéfiants et les guérillas, est en fait, une guerre visant à faire main basse sur les richesses du pays. De l’élaboration du plan à sa mise en place, les intérêts des STN sont défendus et impliqués. De fait, le plan Colombie est une guerre dont les coûts humains et financiers sont publics et les bénéfices largement privés.
Aussi, nous demandons que les responsabilités des sociétés transnationales engagées dans le plan Colombie soient sérieusement prises en considération afin que les commanditaires, comme les auteurs de violations des droits humains, quotidiennement commises en Colombie, ne poursuivent pas leurs activités en toute impunité.
Au regard de ce qui précède, le CETIM et l’AAJ condamnent l’application du plan Colombie, appellent la communauté internationale à s’y opposer par tous les moyens appropriés afin de faire respecter les droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturel du peuple colombien et, recommandent que la Commission des droits de l’homme adopte une résolution allant dans ce sens.
1. dans la jungle chanson pour la libération d’Ingrid betancourt, 17 juillet 2007, 18:03
83**11** EXCELLENTE RÉPONSE ....
... A la chanson cul cul la praline de Renaud qui est manifestement à côté de ses pompes humanitaires "à la Ménard". La petite et courageuse Mélanie est certainement plus intelligente et fiable dans ses prises de positions concernants les FARC et le "démocrate" URIBE.
TZ.
2. dans la jungle chanson pour la libération d’Ingrid betancourt, 17 juillet 2007, 20:14
michel de toulon:BETANCOURT savait en allant dans une zone tenu par les FARC elle risquait d’etre pris en otage, les FARC eux meme l’avait avertis.Depuis le le président URIBE a toujours fait échoués les négociations.Ce valet de l’impérialisme ne fait que suivre les ordres des ETATS UNIS.Pour ce qui est des narco-traficant,lorque le capitalisme paiera les paysants fabricant du café a leur juste prix ,le traffic de la cocaine diminura.Quand au pauvre RENAUD , c’est devenu la nouvelle mode chez les BOBO de défendre bétancourt,de quel droit juge-t-il les combattants des FARC,lui qui ne prendrai meme pas le risque de traverser une route lorsque le feu est vert.A travers son parcour on peut mesurer comment l’argent peut changer un homme,encore un homme de gauche a la kouchner.
1. dans la jungle chanson pour la libération d’Ingrid betancourt, 18 juillet 2007, 21:34
Que la chanson de renaud soit cul cul la praline, mal écrite, consensuel au possible on est d’accord, en plus il se croit encore subversif, mais quand tu dis "de quel droit juge t-il les combattants des FARC, lui qui ne prendrai pas le risque de traverser la route si le feu est vert" c’est un peu bête comme argument parce que ça veut dire qu’à partir qu’un groupe de personne est téméraire il est inattaquable, ça veut dire qu’un pépère paisible incapable de regarder dans les yeux un flic ne peut pas jugé par exemple un groupe de mercenaire facho engagé dans un conflit dans un pays du tiers monde...
3. dans la jungle chanson pour la libération d’Ingrid betancourt, 17 juillet 2007, 21:25
Finalement, tout le monde ici est pour que Ingrid Bettancourt reste en captivité. Qu’avait-elle à faire dans une zone contrôlée par les FARC, n’est-ce pas ? Sympa. Vous me faites froid dans le dos.
1. dans la jungle chanson pour la libération d’Ingrid betancourt, 17 juillet 2007, 21:46
michel de toulon : Non, mais quand on se jette dans l’eau on en sort rarement sec !
2. dans la jungle chanson pour la libération d’Ingrid betancourt, 17 juillet 2007, 21:53
A 81**216** ANONYME...
...Tes frissons dans le dos proviennent-ils de la froidure ambiente, de tes mauvaises lectures, d’être un peu borné, ignorant volontaire de la situation politique en Colombie depuis 50 ans, ou d’autre chose ??
Tzigane
3. dans la jungle chanson pour la libération d’Ingrid betancourt, 17 juillet 2007, 23:25
Il suffit de lire les rapports d’Amnisty et parfois le monde(eh oui) pour s’ informer sur la situation du pays .L’article a paru je crois jeudi ou vendredi.Amitiés .danes67
4. dans la jungle chanson pour la libération d’Ingrid betancourt, 17 juillet 2007, 23:47
Je suis peut-être ignorant et borné mais je suis encore capable de distinguer ce qui est politique et ce qui est humanitaire. Et puis, c’est facile. T’es bien au chaud dans ton appart’, t’as bien bouffé, t’as fumé ta clope et t’as lu ton journal, et comme ça tu décrètes peinard qu’Ingrid Bettancourt peut crever. Ah, ça c’est du courage !
5. dans la jungle chanson pour la libération d’Ingrid betancourt, 18 juillet 2007, 21:04
Le probléme c’est que celui qui veut la faire "crever" s’appele Urribé,qu’il est président de la colombie et a été élu grace aux para militaires,ce qu’a parfaitement compris Mélanie sa fille et apparement pas toi.
Urribé qui fait assassiner,militants syndicalistes,communistes,progressistes,par l’intermédiaire de ces mêmes para militaires,pour le compte des US,pour les raisons expliquées plus haut.
Oui il faut libérer Ingrid Béttancourt,mais qui libérera la Colombie de Urribé,de l’emprise des US,des para militaires,et des politiciens corrompus ?
Désolé,mais le probléme d’Ingrid Bettancourt n’est pas seulement humanitaire, mais essentielement politique.
Jean Claude des Landes
4. dans la jungle chanson pour la libération d’Ingrid betancourt, 18 juillet 2007, 12:27
Personne ne lit l’espagnol ?
Dommage parce qu’un petit tour sur les sites d’infos colombiens vous apprendrait ce qui fait hurler de rire tout le monde la-bas : betancourt est une veritable nymphomane qui apres s’etre tape toute l’ambassade a craque pour les bandidos, pour finalement (comme sa codetenue) accoucher des oeuvres du chef rebelle, et n’a consequemment aucunement l’intention de quitter ses virils compagnons et accueille avec bonheur vos mandats postaux !
1. dans la jungle chanson pour la libération d’Ingrid betancourt, 18 juillet 2007, 13:51
curieux de voir le lien !
en tout cas, faut savoir que un mois plus tôt, un autre politique s’est fait kidnappé dans la même zone que Betancourt, il a été relaché deux semaines plus tard, et sa cote de popularité a grimpé de bon nombre de points !
Betancourt s’est pointé dans la même zone à peine protégée...
J’ai du mal a retrouver le fameux article, il est sur http://www.latinreporters.com
En tous cas une chose est sure, on lui avait déconseillé d’aller là bas !
http://www.latinreporters.com/colombiepol250202.html
Inconscience ou calcul politico-tocard ?? Je me pose la question...
L’article sur le plan colombie est très intéressant, et souligne un fait que ne traverse jamais l’atlantique : les AUC sont les pires groupes armés, alors qu’on stigmatise les guérillas...
Continuez à boire la merde dont vous abreuve la TV française, et ces pseudos chanteurs ex-anars et futurs réacs !
Sur ce bonne journée !
2. dans la jungle chanson pour la libération d’Ingrid betancourt, 18 juillet 2007, 21:09
Les 2/3 des journaux appartiennent à l’extréme droite et a des politiciens corrompus,qui a intérêt à rependre ce genre de conneries.
C’est vraiment le genre de "nouvelles" à prendre avec des pincettes et un masque sur le nez.
Jean Claude des Landes
3. dans la jungle chanson pour la libération d’Ingrid betancourt, 18 juillet 2007, 21:10
Je répondais à 86***40
JCL
4. Avis aux e-reporters, 24 juillet 2007, 10:59
Bonjour.
Il y a quelque chose que je ne comprends pas sur les e -commentaires de presse :
Chacun veut affirmer ses idées , peu importe qu’il ait une réélle connaissance du sujet ou non ! En gros celui qui s’interesse au sujet depuis 10 ans n’a sur internet pas plus de poids que Mr X qui a en a appris un peu avec les guignols de l’info la veille, et qui se dit : "je vais m’y interesser a fond" ! Après une heure sur le web, il pense avoir tout compris... Ca c’est bien, car chacun cherche à mieux comprendre le monde qui l’entoure.
Mais ce qui m’échappe, c’est pourquoi ce meme Mr X s’impose avec toujours bcp de style et de réthorique, comme si il détenait la solution. Ca aboutit à de la pure forme sans vraiment avoir de réflexion, et à une certaine violence verbale.
Je lis 11 post sur Betancourt, et qu’est ce que j’en retire ? Pas grand chose, sincèrement.
Entre les donneurs de lecon, toujours au rendez vous, les "ecrivains" qui privilégient le style et non l’info, les "bloqués" qui pensent que les autres points de vue sont pourris, on est perdus.
Un journaliste de l’AFP m’a un jour dit qu’avec les forums, plein d’e-journalistes fleurissaient à droite a gauche. Je trouve ca génial !
mais comme il le disait aussi tous ceux la vont se casser la gueule, car donner l’information, ca s’apprend, comme tout métier.
J’éspère que les forums changeront
bIEN A VOUS
Alban
5. dans la jungle chanson pour la libération d’Ingrid betancourt, 1er août 2007, 20:10
Donnez-nous vos sources, nous irons les consulter, vous n’êtes pas le seul à comprendre l’espagnol.