le chéreque dans le texte toujours aussi édifiant

le chéreque dans le texte toujours aussi édifiant

Notre détestable Jaune national persiste encore plus dans la collaboration de classe

et il en remet une couche chez le figaro " économie "

où l’on peut lire que :

– les intermittents ne sont pas des salariés puisque les salariés payent pour les intermittents

– les conventions collectives peuvent se substituer à un régime d’assurance-chômage.

– les annexes 8 et 10 peuvent rester dans la solidarité interprofessionnelle à condition qu’il y ait une caisse complémentaire

– e protocole fait gagner plus d’indemnités à plus d’intermittents

Je complète seulement avec ce cri du coeur lancée par une cfdtiste pendant l’occupation de leurs locaux mardi "Vous avez qu’a chercher un vrai boulot".Dit comme ça au moins c’est clair. Le cri du coeur d’une permanente cfdt grassement payé a faire un " vrai travail " cassez le social pour aider le Medef a gagner encore plus d’actions et autres stock options

« Une alliance droite-gauche qui ne veut pas ouvrir le débat avec la culture »

[22 avril 2005]

Le figaro économie . ­ Vos locaux ont été envahis par des intermittents mardi. Comment voyez-vous la négociation sur l’assurance-chômage

François CHÉRÈQUE. " Le problème des intermittents est le même que celui du lundi de Pentecôte. Nous ne trouvons pas normal que ce soit l’Unedic ­ et donc seuls les salariés du privé et leurs employeurs ­ qui finance la politique culturelle. Il faut faire payer les utilisateurs : Etat, collectivités locales, employeurs de l’audiovisuel notamment. Depuis toujours, il y a une alliance droite-gauche qui ne veut pas ouvrir le débat avec le monde de la culture. Et une alliance entre les patrons et la CGT-spectacle pour faire payer l’Unedic. Mais je pense que l’on s’oriente vers une solution positive. Le ministre de la Culture a proposé un plan pour l’emploi que tout le monde demandait, y compris la CGT. Nous souhaitons que les professionnels le soutiennent : ils doivent s’engager à négocier des conventions collectives. Enfin il faut que l’Etat donne des assurances pour pérenniser le fonds de solidarité. A ces conditions-là, les intermittents pourront rester dans la solidarité interprofessionnelle de l’Unedic et conserver leurs annexes VIII et X, avec, au passage, un niveau d’indemnisation supérieur aux autres chômeurs. Des députés de toutes tendances critiquent la position de l’Unedic. On nous disait que notre accord exclurait 30 000 intermittents, cela n’a pas été le cas.[ ben voyons nda ]

Il y adavantage d’intermittents indemnisés et on a blanchi du travail au noir. [ ben voyons qu’il demande au dechavanne et autres delarue nda ] Nous allons rencontrer les partis politiques et leur demander s’ils ont des solutions à proposer. Parce que, pour l’instant, nous n’avons rien entendu. "

A part casser tout les acquis et droits sociaux avec gautier de sauvagnac et le Medef c’est sur qu’en tant que " syndicat " la Cfdt n’a rien a proposer

De toutes façons a la cfdt on ne connait ni les mots chomeur(ses) ou précaires puisqu’ils n’ont pas de " vrai travail " comme le disait si bien cette permanente aux accents trés " sociaux " de la cfdt

SEPARATION DU MEDEF ET DE L’ETAT

SEPARATION DE LA CFDT DU SYNDICALISME

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