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municipales : après les taxis, les buralistes !

Publie le jeudi 7 février 2008 par Open-Publishing
3 commentaires

Les buralistes reçus par Nicolas Sarkozy, le matin (suisse)

07/02/2008

Cette rencontre à laquelle participent le président de la Confédération des buralistes, René Le Pape, et "une dizaine de buralistes de terrain", dont Joël Lailler, buraliste au Dresny-Plessé (Loire-Atlantique), en grève de la faim depuis le 14 janvier - à 16H45 à l’Elysée.

La réunion figure à l’agenda du chef de l’Etat.

L’interdiction de fumer dans les bars-tabacs, hôtels-restaurants, casinos et discothèques est officiellement en vigueur depuis le 2 janvier.
Sarkozy avait promis le 18 décembre dernier à Sens (Yonne) de recevoir les débitants de tabac des zones rurales et de faire le bilan des mesures d’accompagnement pour l’ensemble de la profession, touchée par l’interdiction de fumer dans leurs établissements.

La Confédération des Buralistes ne remet pas fondamentalement en cause le décret d’interdiction de fumer mais demande "des aménagements de bon sens pour les bars-tabacs : possibilité d’implanter des pièces réservées aux fumeurs, avec appareils d’extraction ou d’épuration d’air homologués et des dérogations pour les petits établissements".

Messages

  • ouais, soyons libéraux jusqu’au bout alors, et sans hypocrisie, demandons aux hopitaux d’envoyer directement aux buralistes récalcitrants la note de soins (chimio, médocs, radios, spé...). Comme ça tout le monde sera content, sauf peut-être les vraies victimes (les enfants, les malades et ceux qui ne fument pas).

    • demandons aux hopitaux d’envoyer directement aux buralistes récalcitrants la note de soins (chimio, médocs, radios, spé...)

      V’oui v’oui v’oui...

      Mais aussi aux constructeurs automobiles, chirurgie réparatrices, rééducation fonctionnelle.... J’ai cru lire quelque part, que la voiture , heu les accidents dû à ce mode transport coûtaient très très chers à la Sécu..

      A force de vouloir nous empêcher de mourir, ils nous empêchent de vivre

      Lu sur un p’tit resto du 15ème à Paris

      Marco gentilly

  • nous pouvons lire n’importe quoi vraiment ! qui récolte l’argent du tabac et ou ira-t-on chercher les sommes astronomiques qu’il rapporte à l’état arrêtons d’être hypocrite !!!! pourquoi ne pas cesser de le produire tout simplement ! c’est à la base qu’il faut agir. ce n’est pas en faisant se mourrir les petits bistrots que tout va s’améliorer. Les subventions que vous allez payer iront aux gros débitants de tabac pas aux petits troquets. Partout fleurissent les agences immobilières, les banques à la place de nos petits commerces... et après... quel monde imbécile ! il faudra créer des maisons de convalescence pour les dépressifs, ceux qui n’auront plus de lieu de convivialité pour se ressourcer un peu. Les non fumeurs qui devaient venir ENFIN dans nos troquets on les attend toujours !!!!!