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Malek Boutih veut "plus qu’un poste de délégué à la diversité"
il y a 1 heure 57 min
AP
L’ancien responsable de SOS Racisme Malek Boutih reconnaît qu’on lui a fait "des appels du pied" pour qu’il entre au gouvernement. Membre du bureau national du PS, il explique avoir refusé parce qu’il "veut plus qu’un poste de délégué à la diversité".
Messages
1. pauvre malek boutih, 21 décembre 2008, 05:47
La soupe est bonne. ;0(
Hyoo
1. pauvre malek boutih, 21 décembre 2008, 18:41, par GGrun
pour les bouffes merdes
de Mitterrand ou de Sarko
ça reste la même odeur
pouak, pouak
2. pauvre malek boutih, 21 décembre 2008, 07:59
Tous pourris !
RC31
3. pauvre malek boutih, 21 décembre 2008, 08:14, par kalos
délégué à la direction du club des traîtres ?
voilà un poste qui conviendrait à ce pauvre malek !
je le vois bien à la tête des kouchner, amara, yade, et autres
minables de goôoche se rendant à l’élysée rendre hommage au roi !
4. pauvre malek boutih, 21 décembre 2008, 08:22, par fcourvoisier
ce genre de "commentaire" est indigne...
Démolir ,par dépit(envie) deux et celles qui ont "réussi" est stérile ; seule est valable la lutte pour améliorer la vie de tou(te)s ...Malek Boutih est vraiment une des mauvaises cibles...
Il est quand même à déplorer que les "intellectuel(le)s" n’aient plus la cote à Gauche(imiter la Droite ?) .
Car ceux qui ont une "richesse" intellectuelle ne l’ont pas acquise aux dépens des autres ,même s’il est vrai que l’origine sociale intervient:c’est pourquoi il est absolument nécessaire de revenir (d’abord) à l’Ecole Publique Laïque qui,seule, peut gommer les différences liées au "milieu social".. mais il faudra aussi, songer à l’AMELIORER...
1. pauvre malek boutih, 21 décembre 2008, 09:18
Renseigne toi, SOS racisme dans les années 80 c’était la grosse machine à ramener les jeunes derrière le PS alors que les politiques suivies par Mitterand étaient de plus en plus à droite (d’ou la baffe de 86).
Boutih est un politicien expérimenté dans un parti bien établi, il mérite ces commentaires.
2. pauvre malek boutih, 21 décembre 2008, 21:41
voici l’histoire secrète de SOS Racisme
Histoire secrète de SOS-Racisme
5. malek boutih ou Malek Le Pen ?, 21 décembre 2008, 09:15, par Patrice Bardet
Qu’il soit approché par Sarkozy n’a rien d’étonnant, et ce n’est pas la première tentative, et il finira bien par fondre
L’important, c’est de comprendre pourquoi c’est parfaitement possible, après Fadela Amara, elle aussi "socialiste"
– Une autre bonne raison de voter NON : Malek Le Pen ou Jean-Marie Boutih ?
– Ni putes ni soumises...mais chipies ! et ... toujours du coté du beurre !
6. pauvre malek boutih, 21 décembre 2008, 10:07
Pour sûr, il aurait voulu prendre la place de Boutin comme Ministre du Logement et de la Ville.
Boutin-Boutih ! Un a-boutih-ssement logique !
Devenir en plus le ministre de tutelle de la ni-pute-ni-soumise : une véritable jouissance quêtée depuis tellement d’années ! Le 7ème ciel en perspective !!!
Boutih est comme Sarkozy, il attend l’heure de la revanche-vengeance.
VPB.
7. Malek BOUTIQUE, 21 décembre 2008, 10:32
Il a pas refusé pour des raisons idéologiques ou morales, naaannn...
Il veut plus, le mec, comme n’importe quel représentant en aspirateur ou mafieu intermédiaire.
Et pendant ce temps, Dray...
Il veut plus...Non, qui va encore voter pour un socialo, hein ?...
Soleil Sombre
8. pauvre malek boutih, 21 décembre 2008, 10:33
En même temps le nain de jardin a force d’ouverture va finir par avoir un gouvernement de gauche.
En fait il a compris que les hommes et femmes de gauche sont plus à droite que ceux de l’ump.
Hi hi, ho ho.
Hyoo
9. pauvre malek boutih, 21 décembre 2008, 10:56
Ces « musulmans » islamophobes
http://www.oulala.net/Portail/article.php3?id_article=1118
Extrait de l’article :
Les musulmans islamophobes ne se recrutent pas seulement dans les milieux d’extrême droite mais aussi dans les milieux de gauche comme le cas Malek Boutih ex président de SOS Racisme et membre du Conseil National du Parti Socialiste.
Ce dernier qui s’exprime en « fils d’ouvrier, né en banlieue, militant associatif qui croit en la politique et en la gauche » tient un langage sécuritaire très dur envers sa population d’origine « Les barbares des cités, il n’y a plus à tergiverser, il faut leur rentrer dedans, taper fort, les vaincre, reprendre le contrôle des territoires qui leur ont été abandonnés par des élus en mal de tranquillité. Et vite ! [...] se laisser indéfiniment intimider par cinq mille gangsters qui terrorisent les quartiers, violent les filles en tournantes, cament leurs petits frères jusqu’à l’os, s’équipent en armes de guerre et tiennent chambres de torture dans les caves, non ! ».
Méprisant les sans-papiers « Une cause dépassée que certains soutiennent en recourant au terrorisme intellectuel. »
Stigmatisant les musulmans en les soupçonnant systématiquement d’intégrisme « ces types sont encore plus dangereux que les caïds. Sous prétexte de faire du soutien scolaire, ils quadrillent pour imposer le voile et leurs normes. Faut pas me la faire, à moi : le Coran, pour eux, ça sert à justifier des positions fascistes. Il faut les combattre, pas les adouber. »
On voit ainsi se profiler un discours qui emprunte largement la rhétorique Lepéniste.
Boutih n’hésite pas à jeter le discrédit sur ceux qui défendent les droits des Palestiniens en les taxant d’antisémitisme et refuse de participer aux manifestations en faveur des Palestiniens. Il soutient l’intervention américaine en Afghanistan et préfère défiler pour dénoncer uniquement l’antisémitisme aux côtés de ses potes de l’Union des étudiants juifs de France, de la LICRA et du CRIF ; pour lui, l’arabophobie et l’islamophobie sont des problèmes « superflus » et « imaginaires » et ne sont que « chantages ».
A l’instar de Rachid Kaci, Malek Boutih a un mentor : le boxeur Julien Dray « Moi, à Tariq Ramadan, je lui mets mon poing dans la gueule ! » disait ce dernier. C’est ce pugiliste qui a formaté dans la machine SOS Racisme notre petit beur Malek Boutih pour en sortir un beur suave et servile.
1. pauvre malek boutih, 21 décembre 2008, 11:44
Le danger avec ses girouettes qui n’ont en réalité aucune "consistance",c’est qu’on peut en faire ce que l’on veut...maléables à souhait ces chewing-gum là !
2. pauvre malek boutih, 21 décembre 2008, 15:23, par fcourvoisier
j’apprends qu’on est"musulman" dès qu’on est Maghrébin et qu’être délaré(e) "islamophobe"(?!) est l’injure suprême...
CQFD !
Mais la Loi du 9 décembre 1905 est toujours valide qui reconnait la LIBERTE de CONSCIENCE (pas seulement celle de culte) et stipule que "la République ne reconnait et ne subventionne aucun culte" ;.
etc...
En france l’apostasie et le blasphème ne sont PAS reconnus... qu’"on" se le dise !
que j’aie ou pas une religion est d’ordre privé et ne vous regarde pas(ni personne) !
Peut-être suis-je, pour vous, une "chrétienne"(on me disait déjà"gauloise") ?
Moi," je suis un homme comme les autres"(près de 7 milliards sur cette Terre) !
Se référer à "Oulala" !!! ça fait peur ! Hou lala !!
3. pauvre malek boutih, 21 décembre 2008, 17:26
Et que dis tu de ça ?
Malek Boutih au coeur du sécuritaire
Par Act Up Paris, MIB
http://www.lmsi.net/spip.php?article132
Dans un portrait publié dans le Monde du 13 juin 2002, Malek Boutih a donné une vision très personnelle de la banlieue, du racisme et des jeunes qui nous a terriblement choqués. Nous tenons ici à répondre au président de Sos Racisme, association dont l’objet est de combattre le racisme et les préjugés, et non les entretenir. Pourtant, à lire ces propos, on croirait reconnaître les discours les plus sécuritaires, tenus entre autres par Sarkozy, Vaillant et Dray.
Présenté dans ce portrait comme un "dynamiteur de tabous", un "éradicateur d’idées reçues", Malek Boutih ne fait pourtant que reprendre un discours sécuritaire répandu et appliqué : Boutih parle de barbares là où Chevènement parlait de sauvageons. Boutih en appelle à plus de répression pour régler les problèmes de violence, quand Nicolas Sarkozy, depuis deux mois, réalise ce rêve : des contrôles d’identité systématiques, des flash balls, des brigades de la BAC dans les cités, deux morts à Dammarie les Lys. Loin d’être est un éradicateur d’idées reçues, Malek Boutih est dans une ligne politique très classique. Aujourd’hui que la droite est au pouvoir, le discours sécuritaire de SOS Racisme se renforce. Manifestement, le vent tourne, et Malek Boutih l’a bien compris.
Selon lui, le combat des sans papiers est "dépassé" et soutenu par "certains" qui ont recours "au terrorisme intellectuel". Il sait pourtant que 60 000 sans-papiers n’ont pas été régularisés sous le Gouvernement Jospin, que les coordinations de sans papiers organisent constamment des manifestations, des grèves de la faim, des actions d’information sur leur situation. Il sait que chaque jour, et d’autant plus depuis le 5 mai, des arrêtés d’expulsion pleuvent. Quelle est sa légitimité aujourd’hui pour dire à ces hommes et ces femmes dont on a fait des clandestins que ce combat pour leur vie est dépassé ?
Toujours selon Malek Boutih, les jeunes de banlieue sont des "barbares des cités" avec lesquels "il n’y a plus à tergiverser, il faut leur rentrer dedans, taper fort, les vaincre, reprendre le contrôle des territoires qui leur ont été abandonnés par des élus en mal de tranquillité." Il résume la vie dans les cités à un reportage de TF1 où "cinq mille gangsters [qui] terrorisent les quartiers, violent les filles en tournantes, cament leurs petits frères jusqu’à l’os, s’équipent en armes de guerre et tiennent chambres de torture dans les caves". Pour lui, "aujourd’hui, soit on reprend le contrôle des cités, soit on bascule dans la grande délinquance". Sur ce point, son discours ne se distingue pas de celui d’un Jean-Marie Le Pen, d’un Nicolas Sarkozy ou d’un Patrick Devedjian. Que fait-il, sinon stigmatiser la vie en cité, en la réduisant à une violence inouïe ?
Enfin, selon Malek Boutih, "il faut remettre au boulot" la police : "Le plus grand nombre de bavures n’est plus son fait, c’est la racaille qui tue le plus dans les cités". À quoi sert-il de mettre dos à dos violences institutionnelles, notamment les bavures, et violences entre habitants des cités ? À relativiser et nier les premières ? À justifier la police, toujours la police, comme seule réponse aux besoins des personnes ?
Nous sommes tristes pour Malek Boutih, nous sommes tristes pour ceux qui appartiennent à Sos-Racisme et qui se reconnaissent dans ses propos. Nous sommes tristes de le voir attiser des haines, stigmatiser les musulmans en les soupçonnant systématiquement d’intégrisme ; jeter le discrédit sur ceux qui défendent les droits des Palestiniens en les taxant d’antisémitisme. Nous n’avons pas besoin d’un supplément de haine.
Malek Boutih manque singulièrement de dignité et d’amour. L’amour et la dignité que nous avons partagés avec les associations H2B et Bouge qui Bouge lors de la fête de quartier organisé le 15 juin dernier à Dammarie-lès-Lys contre les violences policières. Là-bas, les proches de Xavier Dem, - tué le 21 mai d’une balle dans la tête par un policier - et de Mohammed Berrichi - mort le 23 mai suite à une course-poursuite avec la BAC -, ont montré qu’un autre discours que celui du sécuritaire existait dans la vie en cité. Malgré des violences policières meurtrières, des familles appellent à intervenir autrement en banlieue, à s’organiser pour que la vie y soit meilleure et que les pouvoirs publics offrent d’autres réponses que l’envoi des forces de l’ordre. Des familles et des individus pour lesquels d’ailleurs, le discours de Malek Boutih est d’une autre planète.
10. pauvre malek boutih, 21 décembre 2008, 11:40, par momo11
Et un poste a la banque ump,cela l’interresse ?momo11