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proposition d’action retraites : un euro pour M. Woerth

Publie le mercredi 30 juin 2010 par Open-Publishing
4 commentaires

Il faut mordre là où ça fait mal. Le départ de Woerth, ce serait un petit pas dans notre lutte. On peut l’obtenir.
Pourquoi ne pas lancer une grande collecte "un euro pour monsieur Woerth" afin que celui-ci ménage nos retraites qu’il veut mettre à mal ?
Chaque salarié malmené par la saignée des récentes mesures donne un euro pour que Woerth l’épargne, comme il l’a fait pour ses riches amis.
Qu’en pensez-vous ? On peut le faire même en vacances !

Frangine

Messages

  • Excellente idée... 1 euro pour Woerth...!!! Bling Bling !
    Les valets de chambre apprécient toujours les pourboires en échange de "menus services" !!!! Les politiciens bourgeois obéissent juste aux ordres de leurs maitres, patrons et banquiers !!

  • Je préfère le voir fouetté en publique.

    Les hommes "politiques" indignes devrait subir un châtiment exemplaire afin de motiver le sens de l’intérêt général pour ses collègues élus (de même pour tout candidat à un poste d’élection).

  • Je partage le point de vue de l’auteur sur le fait de considérer la démission ou le congédiement de Woerth comme une petite victoire.

    Certes, ce départ ne changera pas la conduite des affaires du pays ; néanmoins, elle aura valeur de symbole affirmé notamment au regard des causes qui auront conduit le ministre à partir.

    Le commentaire de Gnafron de ce jour, qui exhume avec pertinence une vieille affaire ayant valu au guignol les honneurs de la Cour des Comptes (augmentations de salaires et versements de primes injustifiés, syphonnage de fonds public, etc) nous rapelle qu’il ne s’agit pas d’un perdreau de l’année et qu’en matière de fric il a commencé tôt.

    Il faut qu’il soit dans une situation désespérée pour que tous les ministres et le premier (lequel soit dit en passant n’a jamais travaillé de sa vie et vécu, depuis l’obtention de sa licence en droit, d’indemnités d’élu) montent au créneau pour tenter de défendre le "sauveur des retraites" sans jamais évoquer le fond des affaires crapuleuses révélées par la presse.