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soyons optimistes

Publie le mardi 27 novembre 2007 par Open-Publishing
1 commentaire

en ce qui concerne l’égalité salariale entre les hommes et les femmes ; selon le Parisien, nous pouvons être optimistes car dans deux ans les inégalités de salaires vont s’estomper : c’est l’objectif fixé lors de la conférence sociale tripartite entre syndicaux, patrons ,et Etat.

Pourtant les disparités sont réelles selon l’humanité
L’écart entre les hommes et les femmes en terme de salaire est de 18,9 %selon INSEE
Même si ces écarts s’expliquent par des carrières incomplètes, des temps partiels subis, les femmes occupent moins de postes à responsabilité mais elles sont en revanche plus au chômage avec une période d’inactivité plus longue.
A travail égal les salaires sont inférieurs de 11%

La tendance se retrouve sur les retraites plus faibles et inférieures de 38% de celles des hommes car seulement 44 % des femmes ont pu valider une carrière complète.

Les solutions existent,
Elles passent par la sensibilisation et la formation des délégués syndicaux notamment et aussi la mobilisation.

Martine Lozano Paris

Messages

  • Chère Martine Lozano, cela fait plus de dix ans qu’il est question de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, carrières et rémunérations. Soyons optimistes, dans dix ans, peut-être que les quotas style 80% du salaire des hommes pour un femme augmenteront...

    Chère Martine Lozano, je ne sais pas si, d’ici un siècle, les femmes militantes de gauche, se seront défaites des images d’Epinal de la bourgeoise de Neuilly, qui mariée à un cadre riche, peut, dans une belle maison élever quatre à cinq enfants et plus, comme une sorte de superloisir !

    Chère Martine Lozano, le travail, c’est le travail, et tout travail exige rémunération. Mais quid du travail quand la femme attend un enfant et projette de l’élever ne serait-ce qu quelques mois ? Les patrons ne sont pas des philantropes, c’est connu...

    C’est un travail, y compris aussi pour des femmes de banlieue, qui pourraient, elles, être rémunérées...

    Monique Renouard, je n’ai JAMAIS voté Le P.