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une villa dans la jungle

Publie le mardi 10 mai 2011 par Open-Publishing

CE MERCREDI 11 MAI 2011

A 18H30

C’EST « L’HEURE DE L’METTRE »

Sur RADIO CAMPUS 106,6

En direct et en archives sur www.campuslille.com

« [Israël est] un État qui a peu de choses à voir avec le judaïsme mais qui utilise et manipule la mémoire juive en fonction de ses intérêts socio-politiques » Eyal Sivan, réalisateur israélien.

C’est après la diffusion du film Izkor – les esclaves de la mémoire le 14 Avril 2011 à la Condition Publique de Roubaix, - un film donc d’Eyal Sivan – qu’eût lieu la conférence-débat animée notamment par Michel Warschawski.

Ce sont de larges extraits de celle-ci que nous diffuserons ; Michel – et d’autres, évoquent la société israélienne, considérée par les sionistes comme une "villa au coeur de la jungle" (Ehud Barak, 2002), une victime qui a tous les droits, y compris celui de réécrire l’Histoire.

Extrait du synopsis du film :

"Izkor" signifie ""souviens-toi"" en hébreu, et c’est sur cet impératif dicté aux enfants d’Israël que s’interroge le film. Au mois d’avril, en Israël, les fêtes et les commémorations se succèdent. Les enfants des écoles, du plus petit au plus grand, se préparent à rendre hommage au passé de leur pays. La mémoire collective devient alors un outil terriblement efficace pour la formation des jeunes esprits. "Izkor", c’est la société israëlienne comme on ne l’a jamais montrée, c’est 30 jours de la vie d’un Etat vivant au rythme des pulsations de sa mémoire. »

C’est donc à partir de cela qu’intervient Michel Warschawski, qui connaît bien le sujet, dans notre « ¼ d’heure en Palestine ».