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OMC, AGCS... Mais où est passé l’avenir ?

Publie le dimanche 2 janvier 2005 par Open-Publishing
1 commentaire

Tout se réduit petit à petit à une logique économique mondiale, dont les conséquences seront désastreuses pour les peuples.

Les Américains ultra libéralistes ont des objectifs clairs ! et tout suit progressivement avec une logique diabolique.Les orientations de l’Europe, et de fait de la France... suivent le vent, les peuples sont pris dans les pièges tendus les uns après les autres.

Quel avenir voulons-nous ?

Gauche, Droite amusent les peuples...un coup c’est Pierre, un coup c’est Paul (tous de la même famille des bonnets blans et blanccs bonnets...).

Il faut dès à présent compter les traitres à l’intérêt général (hommes politiques, syndicalistes jaunes etc)...et se préparer à la résistance civile.

Tout est entrepris pour tout casser et le service public tend à voir progressivement les pans les plus rentables tomber pour le seul profit de sociétés privées.

L’histoire a démontré que les régimes totalitaires ne survivaient pas, mais devons-nous attendre que s’installe un pouvoir de ce type pour réagir ?

Tous les paramètres sont là et les orientations prises déjà sont bien de nature à nous interroger : La Poste, la Santé, EDF-GDF, France Telecom etc ont des exemples inquiétants...

De quel droit les politiques décident de privatiser des biens publics qui appartiennent à notre patrimoine commun à tous !

La question est posée.

Messages

  • "De quel droit les politiques décident de privatiser des biens publics qui appartiennent à notre patrimoine commun à tous !"

    Mais tout simplement parce qu’ils ont été élus.... Il peuvent se prévaloir d’une légitimité populaire et si on les critique, ils peuvent nous répondre qu’ils représentent eux, le peuple souverain et que leurs détracteurs ne représentent rien.

    Tant que nous considèrerons les élections, avec tout ce qu’elles ont de manipulé (promesses, marketing politique, verrouillage par les partis politiques) comme la quintessence de la citoyenneté nous nous fairons baiser.

    Rémi