Accueil > Une réaction unitaire s’impose !
Une réaction unitaire s’impose !
Publie le mardi 17 janvier 2006 par Open-Publishing19 commentaires

La Cgt appelle ses organisations, les salariés, à se saisir d’ores et déjà de la journée du 31 janvier pour défendre par l’action leurs revendications sur l’emploi, les salaires et les conditions de travail.
Le Premier Ministre vient de tenir une nouvelle conférence de presse pour annoncer un ensemble de mesures en matière d’emploi. Une fois de plus, le chef du gouvernement met les organisations syndicales devant le fait accompli. Cette attitude s’explique. Sous couvert de mesures spécifiques en direction de telle ou telle catégorie de salariés (jeunes, seniors, femmes à temps partiel, chômeurs de longue durée...), c’est une nouvelle étape de déréglementation profonde du droit du travail qui est à l’ordre du jour.
Par exemple :
– Sous l’appellation de Contrat 1ère embauche, c’est le Contrat Nouvelle Embauche qui est étendu à toutes les entreprises pour les moins de 26 ans. Le CNE est pourtant combattu par tous les syndicats.
– Un CDD de 18 mois renouvelable une fois, est instauré pour les salariés de plus de 57 ans au chômage. C’est, après la précarité pour les jeunes, l’instabilité pour les « vieux ».
– Les salariés, à temps partiel ou à temps complet, qui peinent à joindre les deux bouts, se voient généreusement encouragés à recourir aux missions d’intérim pour compléter leur ordinaire.
– Face aux retraites qui diminuent suite aux réformes de 1993 et de 2003, le gouvernement propose de travailler plus longtemps et d’étendre le cumul Emploi-Retraite.
Cette déréglementation ne s’arrêterait pas là puisque le Premier ministre veut discuter d’une « réforme globale du contrat de travail » et des protections juridiques en cas de licenciement qui seraient réduites pour favoriser une rupture « négociée », entre le salarié et son employeur.
Une nouvelle fois, le patronat gagne le gros lot par une série de cadeaux financiers :
– exonérations de cotisations sociales pendant 3 ans pour les jeunes embauchés après 6 mois de chômage ;
– franchise de cotisations sur les indemnités des stagiaires ;
– prise en charge de 2 mois d’allocations en cas de rupture du Contrat 1ère embauche ;
– perspective d’allègements de cotisations sur les heures supplémentaires...
En revanche, la prise en compte rapide de la valeur ajoutée des entreprises pour le financement de la Sécurité sociale est renvoyée à une vague concertation. Voilà de belles étrennes pour le patronat la veille de l’assemblée générale du Medef !
Il est remarquable dans les propos tenus aujourd’hui qu’il ne soit pas une seule fois été question de politique économique pour créer de l’emploi. La flexibilité pour les salariés devient le seul leitmotiv et le substitut à toute politique de développement.
Face à cette nouvelle étape d’éclatement des garanties collectives, les organisations syndicales se doivent de réagir et d’agir dans l’unité. Il faut une concertation rapide en ce sens.
La Cgt appelle ses organisations, les salariés, à se saisir d’ores et déjà de la journée du 31 janvier pour défendre par l’action leurs revendications sur l’emploi, les salaires et les conditions de travail.
Cette journée sera une première réplique à cette offensive contre les salariés.
Bernard Thibault, Secrétaire général de la Cgt
Déclaration du 16 Janvier 2006
Messages
1. > Une réaction unitaire s’impose !, 17 janvier 2006, 11:34
Je ne sais pas les autres salarié(e)s mais moi :
J’Y SERAI !
Esteban
1. > Une réaction unitaire s’impose !, 17 janvier 2006, 14:40
Salut Esteban !
J’y serai aussi, mais je sais d’avance qu’une manifestation (une simple manifestation) même si elle est unitaire ne changera rien à l’affaire. Ce gouvernement jusqu’au-boutiste ne recule jamais devant une manifestation.
Ce n’est pas la peuple qui gouverne, c’est l’UMP. Et on les a laissé faire pendant trop longtemps.
Mais il faut quand-même y aller en attendant mieux. Alors soyons tous présents et demandons - exigeons ! - plus aux syndicats (et à nous-mêmes).
Durdo REIL
2. > Une réaction unitaire s’impose !, 17 janvier 2006, 11:46
Pourquoi les chomeurs ne sont pas invités pour défendre l’emploi, ils sont concernés non ?
1. > Une réaction unitaire s’impose !, 17 janvier 2006, 13:36
"La Cgt appelle ses organisations, les salariés"
elle n’appelle pas que les salariés mais aussi ses organisations !!! et la CGT chômeurs existent !!!
RV le 31 janvier
sylvie
2. > Une réaction unitaire s’impose !, 17 janvier 2006, 14:08
Encore un petit tour de piste et puis s’en vont. C’est bien ça qui me désole avec les syndicats.A ce rythme-là on n’est pas près de voir le bout du tunnel. Vous me direz que c’est aux gens de bouger, que les syndicats ne représentent même pas 10% des salariés. Alors, comment voulez-vous que ça bouge ? Les syndiqués devraient peut-être montrer l’exemple et s’engager à fond dans les luttes. Les masses se rallieront, va savoir ! Parce que, on ne va pas attendre encore longtemps comme ça que le régime s’écroule sur nous.
William
3. > Une réaction unitaire s’impose !, 17 janvier 2006, 14:21
Alors William, tu viens ?
Nous formerons la masse qui donne l’exemple, et les AUTRES organisations syndicales nous aiderons peut-être, sinon faisons avec la seule CGT.
Amicalement,
Esteban
4. > Une réaction unitaire s’impose !, 17 janvier 2006, 19:05
Désolé, mais la CGT pourrait s’adresser EXPLICITEMENT aux chômeurs ! J’en fais un préalable pour me bouger le cul avec la CGT, sinon je continuerai à participer aux actions des intermittents et précaires, d’AC ! et de RTO (à ce propos, ne ratez pas les rendez vous du mardi à 13 H devant la CFDT, métro Belleville).
Kaoutchousky
5. > Une réaction unitaire s’impose !, 17 janvier 2006, 23:30
la CGT s’adresse aux chômeurs
http://www.cgt.fr/internet/html/rubrique/?id_parent=44&aff_docref=0&aff_ensavoirplus=0
Agir vite et fort le 13 décembre 2005. La convention d’assurance-chômage ne peut être signée en l’état
1 300 suppressions d’emplois dans les services administratifs annoncées par le groupe Carrefour, des milliers de licenciements chez Hewlet Packard, dans des industries du textile, de la métallurgie, de la chimie. Ce sont des exemples parmi tant d’autres de la précarité de l’emploi qui engendre insécurité et explosion sociales. Quotidiennement, les salariés des grandes et petites entreprises sont victimes des conséquences des stratégies financières pour accroître les taux de profit. Le secteur public n’est pas épargné par cette précarité du fait de l’augmentation croissante des emplois hors statut.
En fait, le patronat s’oppose à la création d’emplois stables, il mise essentiellement sur la précarité, la suppression des emplois et les licenciements.
Les offres d’emplois de l’Anpe ont chuté de 4 % (moins 45 885) entre septembre et octobre 2 005.
273 000 offres d’emplois de l’Anpe en octobre 2005 : 52 % sont des contrats de moins de six mois dont 25 % de moins d’un mois.
Malgré ces chiffres accablants, le patronat ambitionne de driver l’assurance-chômage en pénalisant les chômeurs, en réduisant les droits existants et en refusant des droits à celles et ceux qui sont exclus de l’assurance-chômage. Il persiste et signe. La situation actuelle est pourtant dramatique :
5 millions de salariés sont à la recherche d’un emploi ;
il y a 2 millions de chômeurs indemnisés, 6 chômeurs sur 10 ne sont pas pris en charge par les Assedic ;
plus de 46 % de chômeurs ont été sanctionnés et radiés des statistiques en octobre 2005 ;
seulement 26 % des sorties statistiques du chômage correspondent à une reprise d’emploi, sans pour autant que soient spécifiés la nature de l’emploi et du contrat de travail.
Lors de la séance de négociation du 7 décembre, les patrons ont dévoilé leurs exigences sur l’assurance-chômage pour les trois prochaines années : elles vont à l’inverse de ce qu’il faut et sont donc inacceptables :
réduction des montants de l’indemnisation par l’instauration d’une dégressivité des allocations de chômage alors que 86 % des chômeurs ont déjà une allocation inférieure au Smic,
diminution du nombre de mois d’indemnisation,
dispositifs et contenu des formations exclusivement tournés vers les "métiers en tension" (hôtellerie, construction, aide à la personne),
refus de définir ce qu’est une véritable offre valable d’emploi,
refus d’augmenter les recettes du régime de l’assurance-chômage,
refus de majorer les cotisations des employeurs utilisant les emplois précaires,
remise en cause des conditions particulières d’indemnisation des salariés saisonniers.
Ces positions particulièrement nocives peuvent et doivent être battues en brèche dans l’intérêt des chômeurs et de l’ensemble des salariés.
Des atouts existent pour y parvenir
De rapports sérieux concluent à "l’inefficacité et l’injustice" de notre régime d’assurance-chômage. Le constat dressé par le Conseil Emploi et Revenu Cohésion sociale (Cerc) en témoigne.
La Cgt vous appelle à peser sur le contenu de cette négociation.
Elle continuera, pour ce qui la concerne, à défendre des revendications de nature à responsabiliser les entreprises, à augmenter les recettes de l’assurance-chômage par la majoration des cotisations employeurs sur les emplois précaires, à préserver les droits des chômeurs par la définition de l’offre valable d’emploi et par l’opposition à toute remise en cause des montants et de la durée de l’assurance-chômage.
Ses principales revendications portent sur :
la majoration des cotisations employeur pour les emplois précaires : augmentation des recettes de 4 milliards d’euros par an et responsabilisation des entreprises qui abusent de ce type d’emploi qui coûte cher socialement,
l’augmentation du montant de l’indemnité chômage avec au minimum 80 % de la rémunération antérieure,
la définition de l’offre valable d’emploi afin qu’aucun chômeur ne soit obligé d’accepter n’importe quel emploi sous peine d’être sanctionné, voire radié et privé ainsi ses allocations chômage,
des formations respectant les choix des chômeurs et la mise en chantier de l’utilisation des procédures de validation des acquis professionnels pour reconnaître la qualification et ouvrir vers des formations qualifiantes si nécessaires,
le refus de diminuer la durée de l’indemnisation chômage,
des mesures d’accompagnement des chômeurs qui respectent sa dignité, sa qualification initiale et acquise. Le refus d’intervention de cabinets privés dans cette procédure ; l’Anpe doit garantir l’égalité des droits et disposer des moyens humains et financiers suffisants.
Avec la Cgt, agissons toutes et tous !
Le 13 décembre 2005, rassemblement …
j’espère que tu y étais !
sylvie
6. > Une réaction unitaire s’impose !, 18 janvier 2006, 01:39
"Le 13 décembre 2005, rassemblement ...
j’espère que tu y étais !
sylvie"
T’inquiète, j’y étais. Comme j’étais dans les actions les plus dures contre le MEDEF et la CFDT concernant les négos UNEDIC (pour ta gouverne, j’étais aussi sur le toit du Medef pendant 5 jours l’année dernière).
Mais là n’est pas le sujet, c’est bien le moins que la CGT défende les droits à l’assurance chômage. Ici, il est question du 31, me semble-t-il et je remarque que la CGT, dans ses appels rituels à la convergence des luttes, oublie quasi-systématiquement les chômeurs. De plus, je ne vois jamais les syndicats dans les actions de lutte des chômeurs et des précaires.
C’est pour moi une grave erreur stratégique et tactique. Parce que c’est en défendant les précaires que l’on défend le mieux les salariés en poste. Logique : plus il y a de précaires, plus les patrons peuvent faire bosser les salariés à LEURS conditions, plus ils peuvent tirer les salaires par le bas ainsi que les conditions de travail.
Je suis désolé, mais ça, les syndicats ne l’ont pas encore compris.
Kaoutchousky
3. > Une réaction unitaire s’impose !, 17 janvier 2006, 17:52
Je n’arrive pas à trouver cette information toute bête : est-ce que la confédé CGT appelle à la grève le 31 ?
1. > Une réaction unitaire s’impose !, 17 janvier 2006, 21:03
C’est sympa à toi, Esteban, de m’inviter à venir à cette journée unitaire, mais je ne pourrai honorer cette invitation pour plusieurs raisons :
Je suis un artiste au chômage
Je ne suis pas syndiqué à la CGT
Et surtout, je n’habite pas la région parisienne ni un grand pôle urbain.
Et puis, je vais te faire une confidence, quoique mon précédent commentaire est explicite à ce sujet, je ne crois plus aux manifestations traditionnelles comme moyen d’action.
Amicalement,
William
2. > Une réaction unitaire s’impose !, 17 janvier 2006, 21:54
rappellons nous notre histoire, toute grande révolution a commencé par des personnes qui n’ont pas voulu baisser les bras.
Alors, suis d’accord que la CGT devrait étendre son appel à tous les citoyens car ce qui se passe dépasse la seule sphére du salariat.
mais si la CGT doit être seule, hé bien soit.
Moi j’irai et j’irai encore et encore.
Pierre
Cadre salarié d’une association
3. > Une réaction unitaire s’impose !, 17 janvier 2006, 23:35
allez sur le site de la CGT toutes les infos y sont !
Une réaction unitaire s’impose !
La Cgt appelle ses organisations, les salariés, à se saisir d’ores et déjà de la journée du 31 janvier pour défendre par l’action leurs revendications sur l’emploi, les salaires et les conditions de travail.
Le Premier Ministre vient de tenir une nouvelle conférence de presse pour annoncer un ensemble de mesures en matière d’emploi. Une fois de plus, le chef du gouvernement met les organisations syndicales devant le fait accompli. Cette attitude s’explique. Sous couvert de mesures spécifiques en direction de telle ou telle catégorie de salariés (jeunes, seniors, femmes à temps partiel, chômeurs de longue durée…), c’est une nouvelle étape de déréglementation profonde du droit du travail qui est à l’ordre du jour.
Par exemple :
Sous l’appellation de Contrat 1ère embauche, c’est le Contrat Nouvelle Embauche qui est étendu à toutes les entreprises pour les moins de 26 ans. Le CNE est pourtant combattu par tous les syndicats.
Un CDD de 18 mois renouvelable une fois, est instauré pour les salariés de plus de 57 ans au chômage. C’est, après la précarité pour les jeunes, l’instabilité pour les « vieux ».
Les salariés, à temps partiel ou à temps complet, qui peinent à joindre les deux bouts, se voient généreusement encouragés à recourir aux missions d’intérim pour compléter leur ordinaire.
Face aux retraites qui diminuent suite aux réformes de 1993 et de 2003, le gouvernement propose de travailler plus longtemps et d’étendre le cumul Emploi-Retraite.
Cette déréglementation ne s’arrêterait pas là puisque le Premier ministre veut discuter d’une « réforme globale du contrat de travail » et des protections juridiques en cas de licenciement qui seraient réduites pour favoriser une rupture « négociée », entre le salarié et son employeur.
Une nouvelle fois, le patronat gagne le gros lot par une série de cadeaux financiers : exonérations de cotisations sociales pendant 3 ans pour les jeunes embauchés après 6 mois de chômage ; franchise de cotisations sur les indemnités des stagiaires ; prise en charge de 2 mois d’allocations en cas de rupture du Contrat 1ère embauche ; perspective d’allègements de cotisations sur les heures supplémentaires…
En revanche, la prise en compte rapide de la valeur ajoutée des entreprises pour le financement de la Sécurité sociale est renvoyée à une vague concertation. Voilà de belles étrennes pour le patronat la veille de l’assemblée générale du Medef !
Il est remarquable dans les propos tenus aujourd’hui qu’il ne soit pas une seule fois été question de politique économique pour créer de l’emploi. La flexibilité pour les salariés devient le seul leitmotiv et le substitut à toute politique de développement. Face à cette nouvelle étape d’éclatement des garanties collectives, les organisations syndicales se doivent de réagir et d’agir dans l’unité. Il faut une concertation rapide en ce sens.
La Cgt appelle ses organisations, les salariés, à se saisir d’ores et déjà de la journée du 31 janvier pour défendre par l’action leurs revendications sur l’emploi, les salaires et les conditions de travail. Cette journée sera une première réplique à cette offensive contre les salariés.
4. > Une réaction unitaire s’impose !, 18 janvier 2006, 17:30
bonjour l’artiste précaire au chomage n’habitant pas grosse agglomération non cgtiste
tu fais parti du peuple, n’est ce pas l’essentiel, et une excellente motivation
pour réagir à une situation que des milliers de personnes n’acceptent plus !
je suis d’accord avec toi lorsque tu dis ne plus croire aux grands défilés mais en attendant que faire de mieux et que proposes tu
4. > Une réaction unitaire s’impose !, 17 janvier 2006, 21:50
Quand j’ai posté cet article, je me doutais un peu de la réaction de certains camarades à juste titre parfois désabusés. Mais je pense que nous pouvons trouver d’autres réponses, pour le peu que nous sachions nous unir ?
Une journée sans lendemain ? des tas de gens se battent actuellement, bien trop isolés : nous devrions tous être derrière - ou plutôt - avec eux. Il ne tient qu’à nous, dans la mesure de nos moyens de les accompagner dans leur lutte. Et puis, il nous appartient à faire vivre ce mouvement, dans l’unité. C’est parfois compliqué, les camarades peuvent être tièdes, hésitants parfois, mais l’important je pense est d’avoir la volonté de se battre ensemble, sans jamais renoncer.
Une vague de grèves, de manifestations ne se décrète pas du jour au lendemain, mais le mouvement génère le mouvement, c’est une évidence amplement vérifiée par l’histoire. Alors, qui sait, demain, après demain, un jour prochain : il faut batir ensemble, dans l’unité la plus large possible. Le gouvernement, le patronat, certains "syndicats" croupions n’attendent pas : la tendance est forte qui balayra tous nos droits si nous les laissons faire.
Les chômeurs ne sont pas spécifiquement appelés ? Thibault n’a pas non plus parlé des employés de la Sécu (par exemple) , ni de ceux qui se battent à Noyelles-les-Selle pour conserver leur usine, et l’occupent : ceux là méritent -et tant d’autres- pourtant une mention, non ?
Tu n’es pas syndiqué CGT ? et alors ? C’est marqué sur ton front ? Comme une tâche d’infâmie ? Ce n’est pas nous qui te l’avons collée, bien au contraire ! L’appel s’adresse aux salariés -les privés d’emploi étant cqfd des salariés privés d’emploi, les retraités d’anciens salariés ayant mérité leur repos-, les intermittents (salariés atypiques certes, mais salariés), on a besoin d’eux pour la culture de l’esprit -voie de l’émancipation- qu’ils nous apportent au jour le jour, donc à toi aussi, camarade ! Tu es non seulement bienvenu, mais souhaité ! Et qu’est-ce qui t’empêche de nous rejoindre ? On serait tellement plus fort avec toi !
RESISTANCES !
Patrice Bardet
1. > Une réaction unitaire s’impose !, 17 janvier 2006, 22:05
Et oui c’est vrai, Allons y tous car c’est les prémices de grands mouvements de révolte ? Car s’en est assez, ne pensez vous pas qu’il est temps de réagir et de ne plus laisser faire ?
En tous les cas moi aussi j’y serai du coté de Marseille.
2. > Une réaction unitaire s’impose !, 18 janvier 2006, 09:45
Allons y tous ,tous femmes, hommes, enfants ,grand mére et toutes personnes qui tournent autours de nous ,l’important n’est pas qui appel mais la raison de l’appel,raison qui elle nous concerne tous ,nos passés nos présents nos futures sont en jeu.
3. > Une réaction unitaire s’impose !, 18 janvier 2006, 14:24
D’autres réponses ? Mais tu sais bien qu’en fin de manif on va expliquer au gens, qui sont venus parfois de très loin, que c’est fini, qu’il faut rentrer à la maison. Dans le calme. Sans même proposer une action, fut-elle symbolique, ni même proposer des perspectives d’action.
J’en ai fait des manifs dans ma vie. Et celles des orgas syndicales se terminent toujours comme ça. Et quand il y a des velléités d’aller plus loin, les gros bras des syndicats "responsables" veillent.
Désolé, je ne ferais plus Bastille-Nation dans ces conditions.
Kaoutchousky
4. > Une réaction unitaire s’impose !, 18 janvier 2006, 15:25
Je pense aussi que notre syndicat devrait ouvrir dès à présent des perspectives pour l’après manif.
Car le communiqué qui a suivi la manif du mois d’octobre nous expliquant qu’on s’arrêtait là parceque la CFDT ne suivait pas, ça énerve et ça décourage aussi.
Francesca
5. Le MRAP demande la démission du Secrétaire d’état Thierry Mariani, 21 février 2011, 16:22
:Pourquoi le commentaire prècèdent est passé ;
C’est comme ça trou du cul et c’est tout
6. Le MRAP demande la démission du Secrétaire d’état Thierry Mariani, 21 février 2011, 16:24
109.***.168.**
+1