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Attali : "est-ce que l’euro existera toujours à Noël ?"

Publie le samedi 26 novembre 2011 par Open-Publishing
6 commentaires

Il y a urgence.

Voilà, peu ou prou le message que veut faire passer l’économiste Jacques Attali dans une interview au quotidien 20 Minutes vendredi.
Selon lui, "on va au désastre".

Messages

  • Existe-t-il une seule prévision d’Attali qui se soit révélée exacte ?

  • Attali participe à l’élaboration de cette pièce de théâtre d’horreur (car c’est de théâtre qu’il s’agit) réalisé par les fous à lier que sont les oligarques de la planète.

    Le pouvoir, en particulier celui usurpé, obtenu par l’accumulation d’argent volé au peuple, rend fou !

    Fabriquer de la terreur, supprimer les repères aux peuples asservis par des techniques de lavage de cerveau et par la destruction de l’organisation sociale . Les méthodes de Guantanamo appliquées à grande échelle en France et dans le monde.

    Le système régulateur de ces gens (monstres ?) est gravement endommagé.

  • Comment peux-t-on accorder le moindre crédit à ce que pense un opportuniste de ce style ?On s’en fout de ce qu’il radote !Les gens n’ont que l’importance que les autres leur accordent !

  • attila fait encore des conneries,pas besoin de tes conseils,nous savons très bien que vous êtes tous des pourris,alors fermez vos grandes gueules dirigeants et complices à la solde des capitaux de merde,dégage

  • Bonjour,

    Malheureusement, le plagiaire notoire Jacques Attali existera toujours, bien au-delà de Noël, tout comme les Elie Cohen, Alain Minc, Marc Touati, Gaël Sliman and co, qui nous assènent régulièrement leurs "analyses" fumeuses sur la "crise", afin de déboussoler le vulgum pecus auquel il convient de dissimuler les vrais responsables de l’intolérable situation que subissent 90% de nos concitoyen(-ne)s. Ce sont des individus de cette engeance qui mènent notre société au "désastre" ! L’ex-sherpa de François Mitterrand avait failli couler la Banque européenne pour la reconstruction et le développement, qu’il avait créée en 1990. Chargé, le 24 juillet 2007, par Nicolas Sarkozy de présider une commission de quarante-deux membres, missionnée pour étudier « les freins à la croissance », il avait remis, six-mois plus tard, trois cents recommandations dans la pire veine ultra-libérale et productiviste. Même de nombreux patrons, en particulier de PME, peu suspects de gauchisme, en avaient eu des sueurs froides. Le fondateur de Planet Finance est un "expert" très sollicité, omniprésent dans les médias. Je suis certain que si demain une émission avait pour thème "l’élevage des poneys-nains dans les steppes de Mongolie intérieure", il serait convié, en compagnie d’Alain Finkielkraut, à dispenser son "savoir".
    Tchao,

    René HAMM