Ce qui se passe à Gaza n’est pas une opération militaire. Ce n’est pas de la légitime défense. Ce n’est pas une guerre.

C’est une campagne délibérée, organisée et sanglante de nettoyage ethnique en temps réel. Un Holocauste une extermination retransmise en direct.

Un crime contre un peuple tout entier, avec la complicité du monde entier et un soutien politique ouvert.

Ce n’est pas un conflit c’est un massacre systématique, une guerre à échelle industrielle.

Israël bombarde des maternités. Détruit des unités néonatales. Aplatit des maisons sur des enfants endormis. Brûle des familles entières. Écrase des blessés.

C’est un génocide soigneusement calculé, exécuté de manière obsessionnelle et protégé politiquement.

Ce n’est pas le chaos, c’est une politique.

Un plan pour l’effacement.

Une mission visant à anéantir une population entière, ses souvenirs, ses voix, ses rêves.

C’est l’Holocauste du XXIe siècle – non pas avec des chambres à gaz, mais avec des missiles sophistiqués, des bombes fabriquées aux États-Unis et le silence des médias.

Le Mossad, le Shin Bet et les escadrons de la mort d’élite ne sont pas des « forces de sécurité » ; ce sont des machines à tuer.

Ce sont des réseaux criminels internationaux qui opèrent sous le couvert d’un « État ».

Ils ne protègent pas, ils anéantissent.

Ils ne défendent pas, ils éliminent.

Et la soi-disant « communauté internationale » ?

Des complices absolus.

Par le silence, par les armes, par une fausse neutralité, par des déclarations hypocrites et par le soutien économique.

L’ONU observe. L’OTAN justifie. L’Occident finance.

Le sang sur les murs de Gaza est sur toutes les mains qui ont tremblé sous l’occupation.

On ne peut pas construire un « État » sur les restes d’enfants. Sur les intestins de femmes enceintes. Sur les décombres d’écoles, de mosquées, d’hôpitaux et de terrains de jeux.

Un régime fondé sur les massacres tombera, non pas si, mais quand ?

Gaza n’est pas une zone de guerre, c’est un cimetière creusé par les missiles sionistes.

Et ce cimetière témoignera, criera et accusera chaque main qui a appuyé sur la gâchette ou s’est détournée.

Nous n’oublierons PAS.

Nous ne pardonnerons PAS.

Nous ne normaliserons PAS.

Nous ne cesserons pas de documenter.

Nous ne cesserons pas de dénoncer.

Et nous ne cesserons jamais d’exiger justice, ni dans les décennies, ni dans les siècles.

Portfolio