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C’est le vide total !

Publie le vendredi 21 mai 2010 par Open-Publishing

Dans un article écrit en 2008 ("L’économiste pragmatique" qui moquait les arcanes de la pensée de Daniel Cohen (il s’agit de l’un des moins con), éminent économiste international, j’écrivais (en étayant scrupuleusement ma démonstration) que le système économique néolibéral (ou libéral, ou encore ultra-libéral, etc.) était définitivement moribond ; qu’il ne servait à rien d’appareillé un cadavre pour le maintenir en vie artificiel au prétexte de perpétuer un système intégralement mort. Toutes ces inutiles gesticulations parce qu’on avait (a) rien d’autre à proposer à la place (1) (c’est le vide total !), et que l’autorité de l’Etat ainsi que le personnel politique allaient s’effondrer sur eux-même.

Pourquoi retarder l’inéluctable ?

Par la suite je réactualisais ces informations, précisant même que nous ne pourrions échapper à une insurrection (invisible ou pas), et dans le dernier en date ("C’est l’effondrement final" paru sur le site " Bellaciao ") j’invitais les lecteurs du site " Bellaciao " à patienter tranquillement dans l’attente de l’effondrement annoncé et de l’insurrection qui ne manquera pas de survenir.

Dés à présent, alors que les évènements se précipitent, il serait grand temps de s’organiser ; en ce qui concerne les Camarades, les Compagnes-ons, etc. il semblerait, selon toutes vraisemblances, qu’il ne leur faudra pas trop de temps pour s’adapter aux évènements et à la catastrophe annoncée.

Les camarades au sein de cellules, les compagnons au sein de communes (et autres formes d’organisations), mais la majorité de la population risque de se retrouver le bec dans l’eau…
Aussi faudra-t-il sérieusement envisager de lui venir en aide (en priorité aux familles les plus démunies, aux classes populaires, etc.) (2)

Rapidement il faudra occuper les moyens de communications, les réseaux de distribution (en particulier de denrées alimentaires).

Il faudra envisager de transformer l’autorité (du moins ce qu’il en reste-ra) de l’Etat et du personnel politique par des "Conseils populaires".
Etc., etc., etc. …

Nous avons du pain sur la planche !

Il est grand temps de prendre nos destinées en main, car le temps nous est compté !