Accueil > Du shit et des roses

Du shit et des roses

Publie le samedi 22 juillet 2006 par Open-Publishing
17 commentaires

1936 : « du pain et des roses », 2006 : « du shit et des roses »... Comme le temps passe ! La drogue est un tabou, mais aussi un totem. Toute puissante, on ne peut rien dire, rien faire, si ce n’est la subir comme la mort. La drogue, c’est l’impérialisme de la mort. Depuis cent ans elle détruit partout la lutte des classes, et des peuples. Elle est l’arme blanche du capital. La drogue, dans toutes ses versions, dures, douces, light, hard, plombe le lien social. Le journal l’Humanité a rendu compte, dans un témoignage poignant, des ravages de la drogue parmi les travailleurs birmans : surexploités, ils sont payés directement en héroïne. Prostitution, auto-extermination, sida, le cocktail est explosif.

En tant qu’enseignant, sociologue, chercheur, je peux témoigner du fléau sans précédent dans la jeunesse et au-delà, conséquence d’une toxicomanie gérée par le lien social. Plus d’un étudiant sur deux, surtout les garçons. La prise de produit est banalisée partout : dans les lycées, collèges, à l’université, dans les cités U, les hôpitaux, les lieux de travail, dans les virages du stade vélodrome, dans les familles, sur les plages ! Le shit, c’est l’opium du peuple. De nombreux couples explosent de la drogue, le garçon propose à la fille de l’accompagner. Elle refuse. Elle ne voyait pas l’amour comme ça. Elle essaie de le convaincre, de le soigner, de l’aimer. Il ne décroche pas. Elle résiste. Il insiste, ne lâche pas ses potes, qui ne le lâchent pas, les soirées sont de plus en plus glauques, le trafic s’insinue, il l’a dans la peau. La jeune fille amoureuse chute, renonce, se sépare. Amertume... La première rencontre avec un homme aura été une rencontre avec le produit. Les soeurs - à défaut des pères et des mères - supplient les frères d’arrêter, cherchent des centres de soins, cures, substitutions, rien n’y fait : de plus en plus, de plus en plus loin. Antigones des temps modernes, elles vont dans la cité sauver - voire enterrer - les frères drogués.

D’où vient ce mal qui ravage les familles, les corps, les valeurs, l’engagement, depuis trente ans ? Du manque à être, du manque d’idéalités et de désirabilités. Un programme de gauche, un programme révolutionnaire ne peut zapper la question de la drogue en son essence. Il ne peut nier, refouler son rôle destructeur dans la lutte des classes. Pas seulement dans l’économie des narcotrafiquants, mais dans l’économie psychique de chacun. Prendre le problème à bras-le-corps. Il a la même importance, la même gravité que le chômage et le racisme. J’en connais qui attendent fébrilement le jeudi pour se défoncer tout le week-end, atterrissent en cours le lundi, piquent du nez. D’autres qui ont pris des « bonbons » à New York, décompensent et finissent en hôpital psychiatrique à Marseille.

Il faut arrêter de délirer sur le délire. Bad trip... Comment construire le communisme avec une jeunesse à moitié défoncée (drogues, alcools, médocs) ? Où sont les valeurs, les projets, les fidélités, les priorités à être autrement qu’être ailleurs. Les valeurs existent encore ; transmises sur des générations, elles sont l’identité populaire, nous venons de le vivre dans les luttes du printemps. Elles sont fragiles, petit à petit la drogue les ronge.

La charte antilibérale doit lever le tabou de la drogue en proposant des mesures de prévention et de soins sans précédent. Prévention dans les écoles, dès le CM1, puis dans les collèges, lycées, en partenariat avec les associations, les psychologues, les parents d’élèves. Créer partout des centres d’écoute et d’accueil, écouter la souffrance, conseiller, orienter, rassurer, entamer un dialogue de fond. Pour la toxicomanie, la question n’est pas celle de la répression mais de l’élaboration. Celle de l’analyse des causes. L’écoute, et l’amour. Ça ne s’achète pas, ça s’invente.

Qui aura le courage politique d’aborder la question en son fond ? C’est peut-être ce que les jeunes espèrent inconsciemment : quelqu’un qui, du côté de la loi, pose la question de la séparation et du partage. La séparation d’avec le désir de mort. Le partage des biens communs. Cette loi n’est pas la loi répressive, elle est celle qui fonde l’idéal d’une justice inventive dans la cité. Cette loi ne peut exister que si les rapports sociaux la génèrent, et non la vénèrent. Alors le seul message vrai de Bob Marley sera : « Get up ! Stand up ! For your rights... »

Par Jacques Broda, professeur de sociologie

Messages

  • vous préférez du whisky et des roses ? des coktails et des roses ?
    bon je provoque scusez mais votre article interpelle mais
    ce ne sont pas les antiliberaux qui sont au pouvoir et je gage que les libéraux n’ont pas l’intention de s’attaquer à ce monstrueux problème tout simplement (à mon humble avis) parce que la guedro génère une belle économie //(vous noterez le signe mathématiques) mais pas si // pour tout le monde parce que avec quel fric vivraient les concessions des grosses berlines qui acceptent le liquide ,les centres commerciaux qui poussent dans nos banlieues achelemmisées (Hlm) à outrance,
    les pompes de marques hors de prix et les ballons de foot fabriqués pour rien à l’autre bout du monde, facile de savoir pourquoi on ne s’y attaque pas parce que ce serait s’attaquer au nerf de la guerre , vous me suivez, avec quoi croyez vous qu’on survit et qu’on peut imiter les riches dans les tours de 48 étages et supporter le chomage pas de stage les orientations dans des filères pro imposées etc..., je peux vous faire une litanie des pourquoi et je sais que personne ne le fera parce que le courage politique est détruit fragilisé ,le courage syndical n’en parlons pas
    parce que nulle part on n’encourage le plaisir d’apprendre de découvrir de connaitre d’explorer
    d’aimer de vivre,on encourage la demerd et la pugnacité à prendre la place du voisin,
    pas à vivre en bonne intelligence non jamais,
    mais j’arrête là j’ai trop à dire et puis si ,une chose ,cette drogue y en a tant ,elle est fabriquéeooù ? transportée par qui ,comment ,transformée ou ? tout le monde ou presque le sait mais on arrête que les p’tits dealers d’aprés ce que je vois !
    Ciao et merci de votre article

    • Les donneurs de leçons en culottes courtes peuvent aller se rabiller.

      Moi j’ai pris du shit et j’en prendrai encore. Dans certaines sociétés traditionnelles, les substances naturelles calmantes étaient considérées comme de bons produits.

      Dans notre société industrielle violente où l’on vend du chimique et des produits de consommation à tout crain et où les relations artificelles sont légion, on ne peut pas reprocher aux jeunes de prendre un peu de shit pour se relaxer. Après c’est comme tout. L’abus n’est jamais bon.

      Certains cadres et certains couples ont avoué publiquement qu’il prennaient régulièrement de l’herbe et on n’est pas venu les ennuyer. On ne compte pas le nombre de personnalités, d’artistes, d’hommes politiques, d’hommes d’affaires qui prennent ds substances dites illicites. Ils ne sont pas inquiétés. Et puis, c’est un commerce trop juteux.

      C’est facile de s’en prendre aux jeunes soi-disant désemparés et perdus.

      Quant au mythe du couple déchiré à cause du shit. Ce n’est pas la pein d’en parler. Les causes sont certainement plus profondes. Les filles restent quand ça va bien. Si cela tourne mal, c’est "Au revoir !"
      Sauf dans la cas d’engagements sincères et sérieux.

      Il faut arrêter de lire le romans à l’eau de roses chers "socialistes"

    • Les travailleurs birmans souffrent de leur condition et cherchent par moments à s’échapper de cette vie quotidienne difficile pour ne pas dire de M****. Un réflexe très humain en somme.
      Dsl pour les faute d’orthographe mais j’en ai marre de répondre à la connerie.

      On ne peut pas se concentrer sur tout à la fois. ça se saurait.

    • Vous parlez sans connaissance de cause et c’est bien un schitteux qui donne des leçons. Vous savez que ce produit est à la base de la plupart des problèmes de la jeunesse en France et même des adultes majeurs et vaccinés. Dépendance, problème psychologique, santé détériorée, problème intestinaux, dentaire, de peau, violence, irritation il y a des mort un peu partout à cause de ça et j’en passe vous soutenez que c’est bien de fumer du shit franchement vous êtes vraiment à côté de la plaque allez vous faire soigner il est temps.l’auteur de l’article vit dans la réalité pas vous AH !!! c’est peut être le shit que vous fumez qui agit sur vous de façon à ce que vous ne sachiez pas ce qui bien pour votre santé à réfléchir cher internaute ou alors essayez de ne plus fumer votre drogue et après on en discutera. soyez franc avec vous même.

  • L’alcool, drogue dure (celle là est légale et fait la fortune de pas mal de lobbies) occasionne pas mal de degats, cyrrhose, ulcere, violence et j’en passe.

    Fumer regulierement un petard engendre bien sur les meme inconvenients que le tabac (autre drogue dure legale qui fait egalement la fortune d’autres lobbies) mais n’a jamais rendu violent, n’amene pas des situations du genre de celles de l’Assommoir de Zola.

    Seulement voilà, C’EST PROHIBE parce que ça ne rapporte rien à l’etat.

    Curieusement, à l’époque du "protctorat" français au Maroc, il existait une régie des kifs et tabac et comme des taxes étaient perçues, tout le monde était content.

    Mais surtout, fumer un petard, ça fait cogiter, ça fait reflechir et ça c’est tres derangeant, on prefere des gens abrutis par l’alcool, ceux là ne reflechissent pas, ils consomment - aux deux sens du terme

    Je ne ferais qu’evoquer la consommation massive de medicaments (là aussi des lobbies s’enrichissent) en France et ceci bien souvent sans avoir recours à un medecin puisqu’en vente libre

    • je crois que le propos de cet article est plutot ce que nos sociétés occidentales produisent de problèmes sociaux et de violence etc.. ;qui mènent à la destruction des liens sociaux et des individus et par la même à la prise de drogue dure et que cela est incité pour détruire moralement et intellectuellement la jeunesse afin qu’elle ne se révolte pas
      ainsi en amérique du sud les narco trafiquants se sont associés à l’armée américaine pour détruire les paysans et leur luttes c’est connu et le même scénario
      et ici on détruit de même notre jeunesse ,les malaises générés par cette société de consommation mènent à des grandsmaux psychologiques
      ensuite c’est donnez nous notre gentille drogue quotidienne pour que nos neurones restant nous laissent tranquille
      car vous le savez bien vous militants que nous avons besoin de toute notre intelligenge et nos neurones en bon état pour lutter et nous défendre
      et ce n’est pas un p’tit pèt quiva empêcher ça ok je ne donne pas dans cette morale là
      mais il y a une vrai urgence drogue et là encore ce ne sont pas les socialos qui vont s’y attaquer, eux non plus ne veulent pas qu’on réfléchissent à leurs trahisons ....le trafic de drogue s’est lui aussi mondialisé et rapporte très très gros et cela n’aide pas à la construction d’une humanité consciente et intelligente qui fasse reculer partout l’exploitaition et l’esclavage ....au contraire tout cela maintient les guettos sociaux ,et vous le savez bien aussi que pendant la révolte des banlieues les quartiers à forte économie // ne se sont pas révoltés car ils sont tenus par des gens qui ne veulent pas voir les flics arriver , protégeant ainsi leur s traffic ceal aussi il faut oser le dire et ici on n’a pas à faire l’apologie de la drogue (j’y met aussi l’alcool ) car toutes ces substances rapportent beaucoup beaucoup et ce "commerce " si on peut l’appeler ainsi ne favorise pas mais pas du tout l’ égalité entreles êtres humains ni l’humanisme et vosu le savez bien, et acheter ce type de substance enrichit des "mafias" et des réseaux pas vraiment humanistes et vous le savez bien.
      Ciao

  • c’est surtout avec l’alcool et la connerie que l’on a un problème. Mais c’est légale !

  • merci pour toutes ces réponses.

    De la sorte, J.Broda Professeur de sociologie pourra s’en inspirer pour sa prochaîne thèse.
    Bell**** source d’inspiration pour personnes en panne d’écriture.

    Je sens Cocteau remuer dans sa boîte.

    Actuellement, ce sont plûtot des relents de Libanos que de Moroco....

    Marcel Troisfeuille
    (ancien rouleur à la Sneu Feu)

    • « Moi je n’ai pas de problème avec ça et ceux qui en ont sont une minorité, d’ailleurs je conteste les chiffres et je pense que la plupart du temps c’est de leur faute, aussi, je ne vais pas m’arreter pour eux » , voilà qu’elle a toujours été la réthorique de l’égoisme !

      Chacun pourra l’utiliser à son grès pour y justifier son vice, que celui ci soit pour l’argent ou une bien une passion pour la fumette. L’herbe, j’ai un demi frère qui pourrait vous en parler pour vous dire ooh combien c’est de la merde ! Après quelques années de fumette régulière, il a un jour pété les plombs. Diagnostiqué schyzophrène, il s’est retrouvé en HP et continue encore aujourd’hui d’être soigné en hopital de jour et pourtant, ce n’était pas quelqu’un qui allait mal auparavant.

      Et puis faut arreter avec le vieil argument : c’est naturel donc c’est pas mauvais. Je vous signale que les pires poisons sur cette planète sont tous d’origine naturelle. Est ce qu’il me viendrai à l’idée de prendre de la stricnine ? On a même trouvé du LSD qu’on croyait être une invention hummaine dans des algues de l’atlantique nord.

      Alors, y’a des tas de gens qui boivent un verre de vin de temps en temps, pas spécialement pour se défoncer la gueule et personne ne s’ai jamais retrouvé en HP pour avoir bu 2 ou 3 verres de vin par jour pendant quelques années ! Arreter de nous mentir à nous et de vous mentir à vous même.

      Certains ici me font penser à ces pseudos humanistes qui disent aimer l’humain mais qui en réalité méprise leur voisin et font bien peu de cas de sa souffrance !

    • à titre indicatif, ce n’est pas parcequ’un truc ne viendrait PAS à ton esprit que c’est une verité universelle.
      Ton frere etait sûrement border-line avant de fumer, et ne pas fumer ne lui aurait sûrement pas evité ce qui lui arrive.
      Juste retardé. Un divorce, un licenciment, une agression peuvent tout aussi bien servir de ’trigger’.
      J’en connais aussi qui ne petent pas les plomb grace au shit.D’autres ont gueri leur asthme.
      Le produit en lui meme n’a rien de mauvais, c’est l’usage qui peut etre nefaste. J’ai dis ’Peut’...
      Parcequ’il peut aussi etre salvateur. Tout dépend des cas.
      Focaliser sur le shit ne permets pas de comprendre les mecanisme de la toxicomanie. Chercher du coté des produits
      c’est se tromper de direction. Chacun a des mecanismes differents, et les addictions aussi. Mais c’est dans certaines failles personnelles que les racines de la toxicomanie s’agrippent. Qui n’ont rien à voir avec les drogues... Mais plutot avec une certaine tendance à la dépendance (financiere, affective, amoureuse...), qui est encouragée PUBLIQUEMENT, comme une strategie commerciale ici, clientelisme
      ici, strategie politique ailleurs, politique energetique... L’etat de dépendance n’a rien à voir avec la drogue.
      Le sevrage de l’heroine dure trois jours. La dependance au subutex, le medicament de substitution donné par les medecins, elle,
      dure... Petit rappel : le principe actif du subutex, c’est la morphine-base. Ors, l’heroine a été inventé parcequ’on observait dans les hopitaux militaires, que le sevrage des blessés anesthesiés à la morphine trop longtemps pouvait etre FATAL...à qui rapporte la dépendance ? Aux medecins, laboratoires, psychatres, qui en VIVENT. Iront-ils la combattre ? Croyez vous au pere noel et aux lutins ?

      Juste, le toxicomane à plus ou moins deliberement choisi, ou préféré, ou accépté, une autre dépéndance, plus intelligible, ou plus plaisante.
      On pourrait aussi parler de l’ennui, de l’impuissance, du desespoir qui poussent d’autant les gens à l’autodestruction...
      Croire que le shit detruit l’existence revient à croire que seuls les alcooliques ont des accidents de voiture.

      C’est facile de donner des lecons, mais c’est mieux de savoir de quoi on parle.

    • moi ce qui me casse les c.......,c’est les gens qui lisent en diagonal,en sautant la moitié du texte et donnent des réponses complétement absurdes.
      jean Claude des Landes

  • L’article de Jacques Broda est fort intéressant et soulève un problème plus vrai que jamais :
     les jeunes sont-ils libres de choisir leur voie ou sont-ils esclaves du choix des autres ?

    Nous pourrions nous demander aussi :
     pourquoi les jeunes (la majorité) sont allés vers la drogue ? Ou pourquoi la drogue est allée vers les jeunes ? (dit dans ce sens, serait plus juste).

    N’y voyez aucune moralité. C’est simplement la constatation de la perte de l’autodétermination, du self-contrôle, ou tout simplement de la liberté. En ne disant pas non (à ces drogues), nous nous livrons attachés comme des esclaves à divers groupes d’influences, faisant leur bonheur et leur fortune. Des riches d’un côté et des pauvres de l’autre. Toujours la même histoire.

    Si on veut planer à pas cher, une solution : dansez et riez comme des fous (sans l’aide d’artifices), vous verrez on peut planer de la même façon, être bien dans ses pompes et ça emmerdera bien tous ces "groupes d’influence" qui n’auront plus qu’à aller pointer au chômage. Je ne pleurerai pas pour eux, qui se font du fric sur l’innocence.

  • pour la drogue comme pour toute chose, gaffe a l’amalgamme.... il ne faut pas tout melanger... Le petard n’est certe pas inoffensif, mais franchement, il est moins pernitieux que l’alcool qui lui est en vente libre... (allez interdire le pinard en france !!! ahhaah je me marre...) Pourtant combien de mort par an par labus d’alcool ??? combien de mort par abus de petards ??? Bon bien sur je ne suis pas objectif, je fume...que la honte et l’opprobe soient sur moi, OK...
    Mais bon, je suis consultant en informatique, marié (ma femme ne fume pas), bien dans ma tete, loin du cliché de l’asocial... et vous savez quoi ? personnelement je ne me considere pas comme un drogué... Pourquoi le ferais je ? parce que je me fume un petit pet’ le soir apres bouufer pour decompresser de ma journée de taf ?? je ne bois pas d’alcool sauf exceptionnellement, je ne prends ni anti depresseur ni aucun autre cachton et en plus je ne cautionne meme pas les pseudo mafia de narco trafiquants car je m’auto produit.... 6 pieds suffisent a ma conso annuelle... Et vous savez quoi ? ben ca va bien, merci..... :-)

    Solo.

  • Je vous suggére de sortir de votre bulle d’universitaire et d’etre au fait des réalités de la vie.

  • Bravo pour votre article, je suis d’accord avec vous pour le fléau que la drogue en tout genre peut provoquer dans les foyer français et l’échelle international et c’est vraie que l’état français mais aussi tous les états doivent prendre conscience que c’est un problème planétaire. Aujourd’hui tout le monde parle de l’environnement, du réchauffement de la planète à l’échelle planétaire parce que une personne connue a osé en parler et voilà que toute la planète terre se soucie de ce problème. Personnellement, je pense que le problème des drogues est un fléau aussi important si non plus important encore car à quoi ça sert de vivre sur une terre saine si les humains qui l’habite sont des lochs. merci pour toute réponse que vous pouvez me faire parvenir.