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ETAT de santé de la GENERATION VACCINEE CONTRE L HEPATITE B

Publie le vendredi 8 février 2008 par Open-Publishing
17 commentaires

chers Français, ce que l’on ne vous dit pas, et depuis maintenant plus de 10 ans, le ministère de la santé a donné des instructions très précises à ceux qui representent le pouvoir médical ; ce que l’on ne vous dit pas ce sont les DEGATS QUE CAUSENT 3 ou 4 doses du vaccin contre l’hepatite B chez un nombre considérable de jeunes gens vaccinés.
Ce vaccin ne fait pas que déclencher des SEP, il est beaucoup plus dangereux que cela pour une part importante des vaccinés.

La fatigue, une fatigue neurologique, le malaise constant, l’anxiété, les désordres affectifs, l’exposion de troubles affectifs, bipolaires, et syndromes schizophrénie, dans le groupe de vaccinés contre l’hépatite B, globalement les moins de 30-32 ans en 2008.

Ce vaccin (3 ou 4 does) provoque une encéphalite chronique qui passe inapercçue mais qui signe des petites lésions DISSEMINEES dans le cerveau, qui sont bigrement graves. Ce vaccin abime des circuits assez précis de neuromédiaeurs, de façon la plus définitive.
Ce vaccin entraîne une détérioration limitée, parfois progressive du cerveau.

Ce vaccin est dramatique dans ses effets sur un nombre considérable de jeunres.

comme ils sont jeunes, la puberté, la famille l’époque tout y passe, COMME CELA LE TOUR EST JOUE.

Français, il va falloir se réveiller et descendre dans la rue. dEPLUIS MAINTENANT PLUS DE 10 ANS, toute évocation de problèmes de santé, surtout de santé mentale, en lien avec le vaccin contre l’hépatite, et de santé physique est ETOUFFEE par les soi-disants détenteurs de la science médicale.

Pourtant leur raisonnement n’a rien de scientifique, et il est indigne de grands médecins.

Francais, il va falloir se réveiller.............

Messages

  • Quand mon médecin a voulu faire le rappel, je lui ai dit mes inquiétudes quant à ce vaccin. Eh bien il m’a rétorqué que les bienfaits étaient largement supérieurs aux dégâts supposés. Ca date de quelques années. Alors qui croire ????

  • ma fille qui a été vaccinéée contre le HB en 1994 developpe une sclérose en plaque. Elle est maintenant dans un fauteuil roulant à 30 ans ; La corrélation avec le vaccin a été etablie par un neurologue réputé et par differents experts. Elle est en procés contre le laboratoire Pasteur merieux qui font tout, vous pouvez pas vous imaginer ce qu’ils font, pour se disculper Un scandale

  • Je suis atteinte d’une myofasciite à macrophages (myopathie inflammatoire directement liée à l’hydroxyde d’aluminium contenu dans 95 % des vaccins), je ne demande que ça "faire bouger les choses" "faire payer mes assassains" exusez-moi le terme mais c’est ce que je ressens puisqu’avant le fameux vaccin anti HB obligatoire pour ma part, j’étais en PLEINE FORME ! Mais Comment Lutter contre cette grande PUISSANCE, cette mafia médicale ?
    Nous personnes malades, invalides...
    MARIE ODILE

  • bonjour
    je suis atteinte de myopathie inflammatoire connue sous le nom de myofasciite a macrophage suite a mes vaccinations obligatoires dans le cadre professionnel
    je suis invalide je ne peux plus marcher plus de 10mn je souffre jour et nuit j’ai 24 lesions cérebrales demyelienisantes et tout ca grace a la vaccination mais plus precisement aux adjuvants contenus dans les vaccins j’ai declanché une maladie auto imune qui me ronge les articulations et en plus je fais des poussées de douleurs
    j’ai mis 4ans pour obtenir mon diagnostique je suis passeée de depressive a fainéante a fibromialgique a syndrome de fatiguechronique et apres une grande lutte contre le monde médical j’ai mon diagnostique je suis reposée mais qui poura me rendre ma vie mon travail mes ballades ma vie d’épouse de maman qui pourra me rendre ma mémoire qui s’occupera de moi lorsque je serais a bout de forces personne a mon age j’ai 54 ans
    j’ai beaucoup de haine je ne crois plus 1mot venant de la médecine et mon metier etait dans le milieu médical j’ai honte de venir de ce milieu de faux c.. et tout ca pour une histoire de pognon nous avons eté les ptits rats de labos
    Chantal

  • Bonsoir Bernard,

    Merci pour cet article.

    Les chiffres que l’on peut lire dans la presse, ou entendre à la télé, à la radio (1300 personnes), sont très loin de refléter la réalité.

    Désinformation organisée ! Quant on sait que, seuls, 5 % des accidents post-vaccinaux sont déclarés à la pharmacovigilance, il y a de quoi avoir peur.

    Qui plus est, combien de personnes ne font pas le rapport avec la vaccination ???

    Aux USA, une partie du prix des vaccins est réservée à l’indemnisation des accidents post-vaccinaux (de 1990 à 2000, 1048 milliards de dollars ont ainsi été versés aux victimes, après un dur combat).

    En France ? Rien de tel ! Les vaccins sont innocents de tous maux et, qui plus est, quiconque les critique, fait obligatoirement partie d’une secte !

    Si des visiteurs de Bellaciao sont victimes de ce vaccin ogm, ou ont connaissance de personnes qui le sont, ils peuvent rejoindre Action Santé Environnement.

    Cette Association s’est portée partie civile dans l’affaire de la criminelle vaccination contre l’hépatite B.

    Sylvie Simon a écrit un excellent article sur les dessous de cette vaccination : Vaccin contre l’hépatite B : des mises en examen pour tromperie aggravée !

    Quant au Gardasil (vaccin contre le cancer du col de l’utérus), nous craignons un remake de la vaccination anti hépatite B (+ de 30 millions de français ont été vaccinés).

    D’autres informations sur les vaccins sont disponibles sur notre blog :
    http://www.verites.org/categorie-1218881.html

    ou sur : http://groups.msn.com/Victimesdelavaccination

    ou sur http://www.e-monsite.com/aluminiumetvaccins.

    Beaucoup d’autres sites de victimes existent, et qui expliquent très bien leur calvaire.

    Nous tenons à préciser que nous sommes à jour de nos vaccinations OBLIGATOIRES, et que nous ne sommes pas membres d’une secte.

    Amicalement

  • Bernard,

    je ne vais pas essayer de vous convaincre, simplement je vous propose d’aller voir notre site internet http://www.myofasciite.fr/

    Comme d’habitude tout est fait pour cacher l’existence de cette maladie qui touche aussi bien des bebes que des adultes.

    Nous avons déposé plus de 70 plaintes au Pénal, ce qui est du jamais vu dans le dossier des Vaccins.

    Je tiens à préciser aux personnes atteintes de myofasciite de nous contacter, afin simplement de pouvoir chiffrer les cas de myofasciite en
    France, c’est important pour le combat que nous menons.

    Pour le moment il y a plus d’un millier de personnes diagnostiquées en france, et cela commence à apparaite dans 14 pays étrangers.

    Je vous donne rendez vous à l’automne, ou la myofasciite fera beaucoup de bruit ............

    Bien à vous

    Patricia BASLE
    Présidente ASSO E3M

    • LE MYTHE DE LA VACCINATION SALVATRICE

      Jacqueline LARDY

      Je deviens la énième victime anonyme de la politique sanitaire de masse, encouragée par l’Académie médicale et accréditée par les pouvoirs publics. Ces deux instances dominantes subodorent dans cette pratique un moyen de choix pour assurer, au nom du bien collectif, leur pouvoir sur une population craintive et donc crédule.

      Ainsi, les états les plus autoritaires d’Europe appliquent-ils, répression à l’appui, l’obligation vaccinale. Et la médecine la plus totalitaire impose-t-elle la soumission muette à ses décisions aussi arbitraires soient-elles. Et si, pour ne pas déroger à sa haute mission, elle se contente de tirer du bout de ses gants blancs les ficelles de la sanction, le blâme moral demeure son apanage.

      Mais cette politique sociale et sanitaire, habilement dirigée dans le sens d’un conditionnement de l’individu, je ne l’ai comprise que plus tard. Dépitée d’avoir été, non seulement trompée, mais ainsi poussée vers des formes graves de la maladie, je décidais de me documenter sur l’histoire des épidémies et des vaccinations. Alors, de cours de Fac en livres d’histoire, de dictionnaires en articles médicaux, prit forme le fruit de mes recherches. La forme d’une supercherie emballée dans un discours scientiste !

      Car jamais aucune preuve crédible n’a été apportée de l’efficacité de la pratique vaccinale. On a falsifié l’histoire pour faire concorder la récession des épidémies et l’introduction des vaccinations. On a interprété unilatéralement les phénomènes, on a effacé les échecs et les conséquences troublantes ; on a négligé les facteurs sociaux et hygiéniques, déterminants dans l’éradication des maladies pour proclamer haut et fort les mérites de la vaccination. Oui ; ainsi a-t-on agi ! Or, est-ce de cette façon que l’on prouve ? Où sont la rigueur et l’honnêteté scientifiques ?
      Mais qui parle de prouver ?
      Il ne s’agit pas de prouver : il faut faire croire ! Persuader la masse des gens de l’efficacité des interventions puis, en conséquence, de leur nécessité.
      Ainsi, l’oligarchie médicale usurpe-t-elle le droit de s’ériger en Sauveur suprême et unique, incarnation d’une « science » transcendantale. Elle se dresse en Sauveur généreux, qui connaît le mal et sait l’exorciser pour en préserver ses ouailles ; en Sauveur châtieur dont le glaive maladie siffle comme un fléau en folie au-dessus de la tête des candides et inflige dans les chairs les stigmates de la désobéissance punie. Gare à la brebis galeuse qui, à elle seule, peut réduire à néant l’œuvre de protection de l’humanité entière ! Haro, haro ! Là se niche le fléau !

      Elle trône enfin en Sauveur rédempteur qui rachète, par son art, les maux et péchés des humains infantilisés. Et elle s’en va prêchant, de l’officine de quartier à la cathédrale des ondes, exhortant à la foi les foules impressionnées par les miracles de ces thaumaturges en blouses blanches qui prétendent défier la Mort pour le salut de tous.

      Malgré leur volonté réelle de servir le malade, les médecins de la base, enfermés dans la structure hiérarchique de leur caste et façonnés par une idéologie réductionnelle, ne demeurent que les pantins de l’infernale machine étato-médicale dont les mobiles communs demeurent pouvoir et rentabilité.

      Combien de victimes pâtiront-elles de cette politique avant que ne soit remise en cause la pratique vaccinatoire ?

      Combien de malheurs le vaccin antivariolique a-t-il semé avant que soit envisagée, dans quelques mois, sa non obligation ?

      Et moi, petite oie, par mon conformisme grégaire à propos de ces interventions, j’ai offert aux substances étrangères inoculées la possibilité de jouer pleinement leur rôle de catalyseurs de destruction.
      Il me faudra, à l’avenir, être plus vigilante. Il est temps que je secoue la dangereuse emprise que les dogmes exercent sur moi !
      « L’aventure commence souvent au moment même où nos certitudes les plus tenaces en prennent dans l’aile. » ( Jacques Lanzmann, Fou de la Marche.)

      Jacqueline LARDY, « La griffe du Loup-Garou
      jacqueline.lardy@wanadoo.fr

      « Je possède les clés du coffre Santé. Je les ai maladroitement remises à d’autres, qui les ont perdues. » Jacqueline LARDY
      jacqueline

    • « OU RESTE LE RESPECT DE L’INDIVIDU, LA DIGNITE DE L’ESPRIT, LA SCIENCE (1) EN FACE DE DOCTRINES OBLIGATOIRES ET INFAILLIBLES ASSORTIES DE SANCTIONS PENALES ? » Maître Frédéric HOFFET

      Maître Frédéric HOFFET, Avocat au Barreau de Strasbourg, et qui avait perdu un enfant à la suite d’une vaccination écrit : « Il y eut aussi, chez Petit Pierre, cette étrange connaissance, qui fait que les tout petits en savent souvent davantage que les hommes de science sur les problèmes les plus angoissants de la vie. Il en savait en tout cas plus que nous sur les dangers de cette drogue par laquelle nous lui donnâmes la mort pour le protéger d’un mal hypothétique. Plongés par tout leur être dans l’universel, les tout petits sentent ce que nous ne sentons plus. Ils sont plus près de Dieu qui voit et connaît tout, affirme le croyant... Ce qui est intéressant dans le cas de mon fils, c’est la lumière qu’il jette sur les méthodes de l’Institut... et de nos autorités médicales et sur les vices de raisonnement qui heurteraient d’emblée le moindre professeur de logique, le moindre juge d’instruction. Au lieu de savants froids et pondérés que j’avais cru trouver, je découvris des pontifes remplis de leur importance, n’acceptant pas la moindre contradiction et élevant au niveau d’à priori indiscutables les doctrines peut-être intéressantes, peut-être même fécondes, mais nécessairement relatives, dont ils font leur affaire... On reste pantois devant la simplicité et la crédulité de nos professeurs. Nous ne sommes plus sur le terrain de la réalité, mais en pleine mystique : ces Messieurs sont des croyants, l’élément essentiel du raisonnement scientifique, qui est le doute, leur fait défaut....Les théories de nos savants ne sont plus des hypothèses, mais des dogmes, que l’on impose aux Facultés, aux ministères, aux étudiants et aux praticiens, qui doivent s’y soumettre sous peine d’excommunication majeure. (1) Les vérités d’Etat deviennent par surcroît lois d’Etat, et le bras séculier les sanctionne. Le peuple ignorant accepte et suit : on lui cache ce qui pourrait aller contre les thèses officielles... Ce qu’il y a de plus grave, et ce que nous enseigne l’affaire de mon fils, c’est que l’on ne peut avoir aucune confiance dans les raisonnements de nos maîtres, dans les déclarations de nos autorités médicales et dans les statistiques dont celles-ci s’enorgueillissent...Malhonnêteté ? Dans les cas plus rares. Aveuglement ? Peut-être, et certainement mystique ! Je suis persuadé que beaucoup de nos tyrans sont entièrement sincères. Ils ne voient plus, ils ne pensent plus que dans les termes des doctrines obligatoires. Je ne peux même pas leur en vouloir. Ils sont, eux aussi, des victimes. Ce que pourtant je n’accepte pas, c’est que l’on impose aux citoyens d’une démocratie, des opérations médicales discutables(2) ; c’est qu’on force les consciences, qu’on contraigne les corps, et qu’on se moque de l’angoisse des mères. Quand on raconte à un anglais, à un Américain, voire à un allemand, la façon dont on chasse de nos écoles des enfants auxquels leurs parents ont refusé d’administrer un vaccin qu’on rejette chez eux, on a honte d’être français ? Où reste l’intégrité de la personne ? Où reste le respect de l’individu, la dignité de l’esprit, la science, en face de doctrines obligatoires et infaillibles assorties de sanctions pénales ? Tout cela sent étrangement le totalitarisme. (3) Il est nécessaire que les Français se rendent enfin compte qu’ils sont victimes de la part de leurs autorités médicales, d’une dictature d’autant plus odieuse qu’elle est, non seulement occulte mais, ce qui est pire, inconsciente. Il est temps qu’une médecine vraiment scientifique et humaine, une médecine libre, que ne lie aucune crainte, n’arrête aucun tabou, détrône la médecine dogmatique et officielle de nos pontifes et de nos ministères. » Me. F.HOFFET

      Conscient que « les hommes s’aveuglent sur les conséquences de leur compulsion à empoisonner le vivant sous prétexte de le protéger », Maître Frédéric Hoffet, à la suite de la perte de son enfant, s’est engagé dans la lutte contre ce qu’il appelle « une tyrannie dont le public ignore jusqu’à l’existence et qui cependant est plus cruelle que toutes celles que l’on se plaît à fustiger chaque jour ».

      (1) « Que vaut en effet une science livrée au dogmatisme d’un clan et qui ne considère plus le doute comme un moteur de progrès ? » Lucienne FOUCRAS

      (2a) « Les accidents causés par les vaccinations ont été volontairement laissés dans l’ombre et, quand certains ont été révélés, l’importance en a été minimisée. Aucune enquête épidémiologique d’envergure n’a jamais été réalisée pour en connaître la fréquence. Par voie de conséquence, le rapport bénéfices/risques, sur lequel s’appuient de nombreux auteurs pour dire qu’il faut continuer à vacciner malgré les accidents qu’ils décrivent, n’a jamais été établi, pas plus d’ailleurs que le rapport coût/bénéfice. » Pr Michel Georget (2b) Au cours du Colloque organisé le 5 avril 2002 au PARLEMENT EUROPEEN « Les vaccinations en question » , le Pr. Bonnie DUNBAR (USA), Professeur de biologie moléculaire et cellulaire au Baylor College de Houston et expert en matière de vaccinations devait déclarer : « ... Bien que des milliards de dollars aient été dépensés pour développer ces vaccins, on notera que virtuellement aucun budget n’a été débloqué pour étudier les manifestations postvaccinales indésirables : il y a donc de quoi s’inquiéter... En synthèse, il apparaît que nous ne disposons pas de données scientifiques et cliniques suffisantes pour évaluer la sécurité ou l’efficacité des vaccins. Tant que des études moléculaires rigoureuses et des recherches épidémiologiques ne seront pas menées à bien, il sera impossible d’évaluer les risques et les bénéfices de la plupart des vaccins. »

      (3) " A moins d’insérer le principe de liberté médicale dans la Constitution, viendra un temps où la médicine finira par s’organiser en dictature secrète... restreindre l’art de guérir à une seule classe d’individus et refuser les mêmes privilèges à d’autres constituera la Bastille de la science médicale. Pareilles lois sont anti-américaines et despotiques ; elles n’ont aucune place dans la république... La Constitution de cette république doit accorder les mêmes privilèges pour la liberté médicale que pour la liberté religieuse." Dr Benjamin RUSH, signataire de la Déclaration d’Indépendance, U.S.A.

      “Those who lack all idea that it is possible to be wrong can learn nothing except know-how.” Gregory Bateson

    • LES VACCINS SONT CONTRAIRES AUX DROITS DE L’HOMME
      LES VACCINS SONT DES POISONS

      « Je ne conteste pas le droit à ceux qui veulent se faire vacciner de le faire, mais je leur conteste le droit d’imposer leurs croyances à tous. C’est inadmissible dans une démocratie digne de ce nom. C’est contraire aux Droits de l’Homme. C’est incompatible avec la déontologie médicale qui veut que le médecin considère chaque patient dans son individualité et ne lui applique pas des mesures uniformisées. Que dirait-on d’un médecin qui donnerait le même médicament à tous ses patients sans les avoir ni interrogés, ni examinés un par un ? C’est pourtant ce que les vaccinalistes veulent imposer en faisant fi des règles fondamentales de la pratique médicale qui ont été appliquées depuis des millénaires. Jusqu’à l’ère des vaccins, la médecine a toujours été une relation humaine, directe, intime, entre le médecin et son patient. Imposer à tous des mesures dictées par les scientifiques de la branche médicale dominante, ce n’est plus de la médecine, c’est une forme sournoise de dictature. Dans quelques années, dira-t-on des scientifiques vaccinalistes qu’ils étaient, comme Calvin « victimes des erreurs de leur temps » ? Il y a en effet, à deux pas de l’hôpital cantonal de Genève, une plaque commémorative sur laquelle on peut lire : « Ici Calvin, victime des erreurs de son temps, fit brûler Michel Servet ». Ce médecin avant-gardiste avait eu en effet l’audace de remettre en question les dogmes médicaux de l’époque.

      Le prix Nobel de Médecine John Eccles a écrit : « La majorité des savants est formée à l’école du matérialisme. C’est un moule extrêmement rigide, constitué par un ensemble de dogmes qui ne sont pas nécessairement justifiés du point de vue scientifique ! Entre autres, l’affirmation que notre existence n’est rien de plus qu’une simple combinaison biologique, en renonçant à comprendre tous les éléments qui ne trouvent pas leur place dans cet ensemble (sous prétexte qu’ils ne seraient pas « scientifiques » ) est pire qu’un dogme : c’est une superstition ! La science est truffée de superstitions, de croyances en tout genre... Mais ce qui est vraiment déconcertant, c’est que les gens soient persuadés que la science a réponse à tout. »

      Et le professeur Peter Duesberg, un des grands rétrovirologues de notre époque s’est exclamé : « La science, à notre époque, a abandonné toute prétention philosophique et est devenue une affaire commerciale qui modèle la mentalité de ceux qui la pratiquent. Les glorieuses découvertes du passé ne sont plus utilisées comme des moyens d’illumination mais comme des moyens d’intimidation. Il s’agit de faire un pas en avant si l’on ne veut pas que la profession de scientifique devienne un club de gens qui mettent leurs contemporains en esclavage. »

      Il est dramatique qu’aujourd’hui, comme l’a écrit le professeur Zarifian dans son Rapport sur les psychotropes, que « pratiquement toutes les études cliniques, épidémiologiques et médico-économiques soient suscitées, financées et exploitées au plan statistique de manière autonome par l’industrie pharmaceutique et les sous-traitants qu’elle rémunère. »

      La médecine devrait être au service des patients et non des intérêts commerciaux des producteurs de médicaments et de vaccins. »

      Docteur Christian Tal SCHALLER : "Les vaccins sont des poisons" (Vivez Soleil, 2004) "VACCINS : L’avis d’un médecin holistique" (M.Pietteur,2006)

    • « C’est toujours au nom de la sécurité, de la santé et du bien-être social que les tyrans modernes ont saisi le pouvoir absolu. » Pierre Gilbert
      http://www.pleinsfeux.com/article.php?sid=82

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      *** AUX ETATS-UNIS, LES DOMMAGES PAYES PAR L’ETAT EN COMPENSATION DE COMPLICATIONS VACCINALES OU DE DECES ATTEIGNENT DES SOMMES ASTRONOMIQUES.

      - « Aux Etats-Unis, l’Agence Gouvernementale VAERS ( Vaccine Adverse Event Reporting System) nous informe qu’entre 1990 et 1999, 1,048 MILLIARDS DE DOLLARS ont été payés en dédommagement d’accidents vaccinaux. » (1), (2)
      « Le fait que plus d’un billion de dollars ait été consacré (aux U.S.A.) à payer des indemnités aux victimes des vaccinations, démontre clairement que la sécurité des vaccins n’est pas l’objectif essentiel qui ait été favorisé. » Dr Sherri Tenpenny (3), (4)
      Il n’y a plus une seule compagnie d’assurances aux Etats-Unis qui accepte désormais d’ assurer les risques vaccinaux. (5)

      *** LES COMPICATIONS VACCINALES RAPPORTEES A L’AGENCE GOUVERNEMENTALE AMERICAINE « VAERS » FONT FROID DANS LE DOS
      - Bien qu’il soit connu que seuls 1 à 10% des complications vaccinales soient rapportées à l’Agence gouvernementale VAERS, rien que pour la vaccination anti-hépatite B, « entre le 1er juillet 1990 et le 31 octobre 1998, le VAERS a dénombré 24.775 effets secondaires du vaccin, dont 9673 cas très graves et 439 décès, dont 180 classés « Mort subite et inexpliquée du nourrisson » (6)

      « En ce qui concerne les enfants de moins de six ans, les chiffres officiels des accidents de vaccination advenus aux Etats-Unis entre 1999 et 2002 dans cette tranche d’âge, sont les suivants :

      Vaccin DTaP (diphtérie-polio-coqueluche) : 16.544 accidents, dont 631 hospitalisations et 394 décès.

      Grippe : 419 accidents, dont 41 hospitalisations et 11 décès.

      Hépatite B : 13.363 accidents, dont 1840 hospitalisations et 642 décès.

      Hib : 22.463 accidents, dont 3224 hospitalisations et 843 décès. »

      ROR : 18.680 accidents, dont 1736 hospitalisations et 110 décès. (7)

      « Je croyais les vaccins totalement sûrs et efficaces… Ce qui me rend folle, c’est que tout cela aurait pu être évité… Il est impossible de se trouver en présence d’un enfant profondément handicapé par les vaccinations et ne pas réaliser que cet enfant pourrait être le vôtre. Il est impossible de vouloir réconforter une mère qui vient d’inhumer le bébé plein de santé qu’elle a à peine pu serrer dans ses bras avant qu’un vaccin ne détruise son cerveau et son corps, et ne pas réaliser que c’est vous-même qui pourriez être là penché sur la petite tombe. Quand cela arrive à votre propre enfant, le risque est de 100%. »
      Barbara Loe Fisher

      .
      « Our society is littered with millions of children who have been harmed in one degree or another by this vaccine policy. In addition, let us not forget the millions of parents who have had to watch helplessly as their children have been destroyed by this devastating vaccine program.” “ THE TRUTH BEHIND THE VACCINE COVER-UP” Dr Russel BLAYLOCK, M.D. , Neurochirurgien

      " C’est parce que nous sommes immergés dans un océan d’informations et que nous vivons dans une technocratie "MONEY-THEISTE" que la propagande et la désinformation constituent les bases mêmes de la vie. Ce fait n’est nulle part mieux illustré que dans le domaine des vaccinations. "

      Walene JAMES, "Immunization- The Reality behind the Myth", p.XII

      (1) Dr M. Vercoutere, S. Simon : Vaccin hépatite B- Les coulisses d’un scandale, 2001.
      (2) Sylvie Simon : les 10 plus gros mensonges sur les vaccins, 2005
      (3) Dr Sherri Tenpenny, DO : Vaccines : why fear sells, www.NewswithViews.com, June 2007
      http://www.thenhf.com/vaccinations/vaccinations_129.htm
      (4) Dr Sherri Tenpenny, DO : www.nmaseminars.com
      http://www.thenhf.com/vaccinations/vaccinations_129.htm
      (5) Mark Sircus, Ac.,OMD : Cry of the heart – Stop hurting the children – The medical terror of vaccinations 2003.
      (6) Dr M. Vercoutere, S. Simon : Vaccin hépatite B- Les coulisses d’un scandale, 2001.
      (7) Sylvie Simon : Les 10 plus gros mensonge »s sur les vaccins, 2005

  • POUR QU’UN VACCIN PUISSE ÊTRE DECRETE "NECESSAIRE" IL FAUT, COMME LE RAPPELLE LES MEDECINS DU GROUPE MEDICAL SUISSE DE REFLEXION SUR LES VACCINS (UN GROUPE QUI RASSEMBLE + DE 1600 MEDECINS PEDIATRES ET GENERALISTES) QUE 5 CRITERES SOIENT TOUS REUNIS...

    CETTE GRILLE D’EVALUATION EST PERTINENTE POUR TOUS LES VACCINS ET COMME POUR DE NOMBREUX AUTRES VACCINS, L’EVALUATION RATIONNELLE DU VACCIN HEPATITE B SE SOLDE SANS SURPRISE PAR UN RAPPORT BENEFICES/RISQUES HAUTEMENT DEFAVORABLE :

    1°) PREMIER CRITERE : LE VACCIN DOIT ETRE HAUTEMENT EFFICACE :

    Dans le cas du vaccin hépatite B, c’est déjà contestable puisque 20% au moins des vaccinés sont non répondeurs et dans ceux qui répondent, plus de la moitié des enfants comme des adultes ne présentent plus d’anticorps 6 à 8 ans après la vaccination !
    En Italie par exemple, la vaccination hépatite B massive (qui y est obligatoire) a été associée à l’apparition de mutants viraux bien plus virulents !!

    2°) DEUXIEME CRITERE : LE VACCIN NE DOIT PAS AVOIR D’EFFETS SECONDAIRES DEMESURES.

    Ici encore on ne peut pas considérer ce critère comme rempli et c’est vraiment le moins qu’on puisse dire puisque ce produit est le produit ayant entrainé le grand nombre d’effets secondaires de TOUTE l’histoire de la pharmacovigilance française (qui date de 1974 !)
    La SEP est évidemment un des graves effets de ce vaccin mais cela ne devrait pas être l’arbre qui cache la forêt car ce vaccin est aussi la cause de leucémies de l’enfant (une récente étude le démontre, ce vaccin augmente le risque de leucémie de l’enfant), de cancers, d’asthmes, d’allergies, de maladies auto-immunes diverses dont diabète, thyroïdite, polyarthrite rhumatoïde, lupus, etc, de maladies neurodégénératives comme alzheimer et parkinson, de troubles comportementaux et psycho-oragniques comme l’autisme, etc

    Ces troubles très invalidants sont certainement moins réversibles qu’une hépatite B qui guérit sans traitement dans + de 9 cas sur 10 !

    3°) TROISIEME CRITERE : LA MALADIE VACCINABLE DOIT ETRE GRAVE :

    L’hépatite B ne saurait "jouir" de ce statut de maaldie grave car , au plan statistique une maladie qui guérit spontanément et sans séquelles dans + de 9 cas sur 10 ne saurait être qualifiée de grave !!

    4°) QUATRIEME CRITERE : LA MALADIE VACCINABLE DOIT ETRE AUSSI FREQUENTE :

    L’hépatite B est une maladie dont la fréquence est faible dans un pays de si faible endémie, c’est une maladie évitable si on a un mode de vie correct. Bien avant le vaccin, le nombre de porteurs chroniques était déjà en baisse d’où que le vaccin était complètement inutile et source de risques inutiles !

    5°) CINQUIEME CRITERE : LA MALADIE VACCINABLE DOIT ETRE AUSSI SANS TRAITEMENT CURATIF

    Une fois encore ce n’est pas le cas car plus de la moitié des 10% susceptibles d’avoir une évolution chronique sont guérissables.

    A LA LUMIERE DE CES 5 CRITERES,IL APPARIT EVIDENT QUE LES 5 NE SONT PAS PLEINEMENT REMPLIS ET PAR CONSEQUENT QU’ON NE SERAIT SOUS AUCUN PRETEXTE RECOMMANDER DE FACON GENERALISEE ET AUX NOURRISSONS ENCORE BIEN CE VACCIN-POUBELLE !!

    CE VACCIN N’EST A FAIRE SOUS AUCUN PRETEXTE ET C’EST L’AVIS DE NOMBREUX MEDECINS MÊME SI CEUX -CI PEUVENT ÊTRE HYPOCRITES DANS BIEN DES CAS. AINSI UNE ENQUÊTE PARUE DANS LA REVUE PEDIATRICS EN 1993 ET REALISEE PARMI UN ECHANTILLON REPRESENTATIF DE MEDECINS PEDIATRES ET GENERALISTES A QUI ON POSAIT LA QUESTION SIMPLE "LE VACCIN HEPATITE B EST-IL UTILE ?" 87% ONT REPONDU NON CONTRE SEULEMENT 13% DE OUI.....

    VOILA QUI EN DIT LONG SUR LA COHERENCE QU’IL EST GRAND TEMPS DE RETROUVER ENTRE LE DIRE ET LE FAIRE, ENTRE L’OPINION ET L’AGIR !!!

  • DEPUIS PLUS DE 200 ANS, DES MEDECINS, DES SCIENTIFIQUES, DES CHERCHEURS DENONCENT LE CARACTERE NON SCIENTIFIQUE DES VACCINATIONS, AINSI QUE L’OBLIGATION VACCINALE
    1794 -1800 - « Au XVIIIème siècle, par exemple, la mortalité était devenue si formidable, si effrayante, dans toute l’Europe qui avait adopté les pratiques vaccinales, qu’un cri universel de réprobation s’éleva contre ces coutumes, et que les gouvernements de Suède, de Prusse et d’Angleterre firent défense absolue d’inoculer la variole par la lancette, par les linges d’enfants, ou par les vaccins et peaux de brebis. Cela se passait de 1794 à 1800.(1)

    En 1810 « The London Medical Observer » Vol. VI, 1810 publie l’histoire de 535 cas de variole après vaccination (E.McBean, 1957). En 1834, la loi rend la vaccination obligatoire en Prusse. La population est pratiquement vaccinée à 100%. Après 35 ans de vaccination obligatoire, une épidémie de variole entraîne le décès de 124.978 citoyens Prusses vaccinés et revaccinés ( Dr Hadwen W. M.D. Médaille d’Or de Médecine et de chirurgie.)-http://www.whale.to/v/hadwen.h...

    « Les échecs qui se multipliaient un peu partout suscitèrent les Congrès Internationaux de Médecins d’Eisenach (1872), de Paris (1880),de Cologne (1882), Berne (1883) et de Charleroi (1885) réunissant des praticiens du monde entier dénonçant le « caractère anti-scientifique », « la dégradante superstition scientifique,« la pratique superstitieuse » de la vaccination . « Nous sommes pris dans les filets d’une bévue gigantesque. Nous sommes les dupes d’un immense imposture » (1) Résumant les conclusions du Congrès de Cologne (1882), le Dr Haugton de Londres n’hésitait pas à déclarer : « Au nom de l’humanité, nous protestons contre cette corruption du sang de générations entières... » (1)

    1872 - 1885

    « Au Congrès de Charleroi (1885), le Dr VOGT exposa les péripéties de la lutte provoquée en Suisse par les antivaccinateurs contre la loi qui rendait cette pratique obligatoire, loi qui fut rejetée à une immense majorité, malgré les intrigues du corps médical de certains cantons de la Suisse Française, encore imbus des préjugés de l’Ecole de Pasteur... « Les données et les acquisitions de la médecine sont trop variables et trop aléatoires, pour que l’autorité civile se permette de trancher les questions controversées, et de contraindre les citoyens à adopter les solutions provisoires qu’elle préfère. » (Dr Vogt, 1885), (1)

    Au même Congrès de Charleroi (1885), le Dr Hubert BOENS déclarait : « , Oui, il y a des antivaccinateurs, il y en a toujours eu ; il y en aura aussi longtemps que les gouvernements et les administrations locales n’auront pas résolument déclaré que la vaccine, comme la saignée, comme toute médication thérapeutique, palliative ou préventive, qui s’adresse à l’individu exclusivement, doit être absolument libre et indépendante des caprices de la Faculté et de l’arbitraire des gouvernements....Les inoculations cholériques de Ferran, comme toutes les vaccinations imaginées par M. Pasteur, comme la vaccine de Jenner, ne sont que d’abominables mystifications hygiéniques qui ont déconsidéré la science et la pratique de l’art de guérir en décimant l’humanité pour enrichir les vaccinateurs ! »

    Toujours au même Congrès de Charleroi (1885), M. William Tebb évoque la pétition au Reichstag partie de la grande ville de Cologne et signée par 10.000 citoyens réclamant l’abolition de la tyrannie vaccinale imposée par la loi. Il évoque la devise belge de l’époque : « Ni les amendes, ni la prison ne peuvent empêcher la vaccine d’être un poison, et les lois de la vaccination une infamie ». - M. le Comte Zedwitz déclarera ensuite : « quant à moi, malgré que je me croie tenu par ma position, de donner l’exemple du respect des lois, je n’ai jamais pu m’empêcher de faire entendre les plus vives protestations contre la doctrine de l’intervention de l’Etat en matière médicale. L’Etat n’a pas le droit de contraindre qui que ce soit, directement ou indirectement, à subir contre sa volonté l’opération vaccinale ou toute autre pratique médicale... Si l’Etat s’arroge ce droit, il se rend coupable d’injustifiables abus d’autorité...L’Etat n’a pas plus le droit de forcer les citoyens à accepter ses médecins et leurs doctrines que ses prêtres et leurs dogmes... Je suis peiné de ce que les gouvernements se laissent persuader qu’ils doivent être les serviteurs soumis et obéissants de la science médicale, si variable encore et toujours incertaine, et qu’ils ne peuvent refuser de prêter leur concours autoritaire à ses prescriptions charlatanesques et arrogantes. » (1885), (1)

    Peu avant, en 1872 au Congrès des médecins d’Eisenach, le Conseiller de médecine Flinzer déclarait : « Comprenez-vous l’infamie d’une loi, disant à nous médecins : « Nous t’obligeons contre tes convictions scientifiques et contre les expériences contraires que tu as faites, à vacciner tes enfants. Tu n’as pas foi dans la vaccine, tu sais qu’elle peut tuer tes enfants ou les rendre infirmes, malsains, idiots, débiles ; et nous te forçons d’obéir, quand même tu voudrais courir le risque de payer les amendes une fois, deux fois, trois fois, et d’aller en prison !... » (1)

    « La superstition greffée sur la peur entretient ainsi la pratique la plus inhumaine « qu’un cerveau humain ait imaginée depuis l’origine de la civilisation... Nous « sommes les dupes d’une des plus immenses impostures. » 4 ème Congrès International des Médecins, Charleroi, 26,27 et 28 juillet 1885. (1)

    « Où reste l’intégrité de la personne ? Où reste le respect de l’individu, la dignité de l’esprit, la science, en face de doctrines obligatoires et infaillibles assorties de sanctions pénales ? Tout cela sent étrangement le totalitarisme. » Maître Frédéric HOFFET, Avocat au barreau de Strasbourg

    1954 Les précisions catégoriques de S.S. Pie XII représentent une condamnation sans appel des vaccinations obligatoires. Au cours de l’audience accordée aux médecins ayant participé au huitième Congrès de l’Association Médicale Mondiale à Rome, le 30 septembre 1954 , Pie XII déclare :

    « L’homme dans son être personnel, n’est pas ordonné en fin de compte à l’utilité de la société, mais au contraire, la communauté est là pour l’ homme... L’autorité publique détient sans doute une autorité directe et le droit de poser des exigences à l’activité des parties, MAIS EN AUCUN CAS ELLE NE PEUT DISPOSER DIRECTEMENT DE SON ETRE PHYSIQUE. Aussi, toute atteinte directe à son essence constitue un abus de compétence de l’autorité...QUANT A L’INTERET DU PATIENT, LE MEDECIN N’A PAS PLUS DE DROIT A INTERVENIR QUE LE PATIENT NE LUI EN CONCEDE ...Comme l’Etat ne détient pas ce droit direct de disposition, il ne peut donc pas le communiquer au médecin POUR QUELQUE MOTIF OU BUT QUE CE SOIT ». (2) Cette dernière précision, catégorique et absolue, semble bien être la condamnation sans appel des vaccinations obligatoires.

    1990

    Les programmes de vaccinations obligatoires constituent “une violation du Code de Nuremberg en ce sens qu’ils contraignent les individus à subir des traitements médicaux contre leur volonté ou à participer à ce qui pourrait être une vaste expérimentation sans consentement pleinement éclairé. » Dr Jane Orient, M.D.

    L’historien de la médecine, Harris L. COULTER, écrit en 1990 : « Nous estimons que 1000 bébés au minimum meurent chaque année de ce vaccin (DPT), alors que 12.000 enfants deviennent des handicapés à vie. H. Coulter ajoute : nos chiffres n’ont jamais été contestés par l’establishment médical...Ce programme se poursuit tous les jours, des centaines de bébés en parfaite santé sont ainsi transformés en êtres déficients : retardés mentaux, aveugles, sourds, épileptiques, infirmes, instables, futurs délinquants, criminels avérés. Tout ceci peut paraître terriblement exagéré ; il s’agit cependant de conclusions tout à fait sérieuses et modérées essentiellement basées sur les preuves accumulées dans les pages qui suivent... Toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave... ...Si quelqu’ ennemi étranger avait infligé pareils dégâts au pays, une déclaration de guerre s’en serait immédiatement suivie... » (445 références bibliographiques ) . - L’historien poursuit : « QU’EST-CE LA POUR UNE « SCIENCE » QUI INFLIGE DES DEGATS NEUROLOGIQUES A PLUSIEURS CENTAINES DE MILLIERS D’ENFANTS CHAQUE ANNEE ? Il précise : Aujourd’hui, la société paye un lourd tribut en maladies et décès pour le monopole qui fut accordé à la profession médicale dans les années 1920. En fait, la situation ressemble singulièrement à celle de 1830, époque à laquelle les médecins avaient recours à la saignée, aux médicaments mercuriels et à la quinine, bien qu’ils en connaissaient le caractère intrinsèquement nocif. Ce sont précisément les mêmes arguments qui furent employés pour défendre ces thérapeutiques qui sont repris aujourd’hui : les bénéfices l’emportent sur les risques." H. Coulter ( 1990 ) (3)

    « Comment la relation-bénéfices/risques pourrait-elle être établie scientifiquement alors qu’il existe une sous-déclaration considérable des acccidents post-vaccinaux, que les vaccins n’ont jamais été testés quant à leurs potenteils cancérogène, mutagène et tératogène et que les conséquences à long terme des vaccinations n’ont jamais été étudiées ? » R. H.- « Les vaccinations en question ». Débat au Parlement Européen, 2002

    « Jamais aucune preuve crédible n’a été apportée de l’efficacité de la pratique vaccinale. On a falsifié l’histoire pour faire concorder la récession des épidémies et l’introduction des vaccinations. On a interprété unilatéralement les phénomènes, on a effacé les échecs et les conséquences troublantes ; on a négligé les facteurs sociaux et hygiéniques, déterminants dans l’éradication des ma ladies pour proclamer haut et fort les mérites de la vaccination. Oui, ainsi a-t-on agi ! Or, est-ce de cette façon que l’on prouve ? Où sont la rigueur et l’honnêteté scientifiques ? Mais qui parle de prouver ? Il ne s’agit pas de prouver : il faut faire croire ! » J.LARDY : La griffe du loup-garou,1997. « Alors que je travaillais dans un des plus anciens centres allemands pour les maladies respiratoires, Je tombai par hasard sur les dossiers des personnes qui étaient tombées malades au cours de la première épidémie de variole en Allemagne en 1947 ... On nous avait toujours dit que la vaccination antivariolique protégeait contre la variole. Maintenant, je pouvais vérifier, grâce aux dossiers et aux rapports, que ceux qui étaient tombés malades avaient bel et bien été vaccinés. Cette découverte me bouleversa. » Dr G.BUCHWALD, M.D.

    Au cours du Colloque organisé le 5 avril 2002 au PARLEMENT EUROPEEN « Les vaccinations en question » , le Pr. Bonnie DUNBAR (USA), Professeur de biologie moléculaire et cellulaire au Baylor College de Houston et expert en matière de vaccinations devait déclarer : « ... Bien que des milliards de dollars aient été dépensés pour développer ces vaccins, on notera que virtuellement aucun budget n’a été débloqué pour étudier les manifestations post-vaccinales indésirables : il y a donc de quoi s’inquiéter... En synthèse, il apparaît que nous ne disposons pas de données scientifiques et cliniques suffisantes pour évaluer la sécurité ou l’efficacité des vaccins. Tant que des études moléculaires rigoureuses et des recherches épidémiologiques ne seront pas menées à bien, il sera impossible d’évaluer les risques et les bénéfices de la plupart des vaccins. »

    2002

    Extrait de l’intervention du Député Européen Paul Lannoye au Colloque organisé le 05 avril 2002 au Parlement Européen à Bruxelles :

    La Commission Européenne a initié le projet EUVAX chargé d’établir un état des lieux comparatif des politiques d’immunisation au sein de l’Union Européenne... L’étude EUVAX constate notamment que les Etats membres n’ont pas défini formellement leurs programmes d’immunisation et que la promotion de l’immunisation vaccinale n’est pas basée sur une approche scientifique dans l’Union Européenne, sauf au Royaume-Uni. En outre , les schémas d’immunisation diffèrent largement d’un pays à l’autre, l’exemple de la vaccination anti-polio étant très révélateur à cet égard. Les contre-indications générales varient elles aussi d’un pays à l’autre, sans aucune base scientifique pour les justifier. En ce qui concerne la sécurité des vaccins (vaccine safety), la situation est particulièrement préoccupante.

    (Les vaccinations en question Ed. Frison-Roche, 2003.)

    BENEFICES/RISQUES

    « Les accidents causés par les vaccinations, écrit le Pr M.Georget ont été volontairement laissés dans l’ombre et quand certains ont été révélés, l’importance en a été minimisée. Aucune enquête épidémiologique d’envergure » n’a jamais été réalisée pour en connaître la fréquence. Par voie de conséquence, le rapport BENEFICES/RISQUES sur lequel s’appuient de nombreux auteurs pour dire qu’il faut continuer à vacciner malgré les accidents qu’ils décrivent, n’a jamais été établi, pas plus d’ailleurs que le rapport COUT/BENEFICE . » Ce constat terrifiant semble bien confirmé la le Dr Thomas Jefferson, Membre de la Commission chargée du Programme Européen pour la Sécurité et la Surveillance Vaccinale, mandaté par la Commission Européenne pour évaluer la sécurité des vaccins, qui, dans un discours sans précédent (Sunday Telegraph, 27/10/2002 ; The Informed Parent n°4 ) , reconnaissant que ce problème constitue le « Cendrillon » de la recherche en santé publique , souligne le manque flagrant d’études sérieuses sur la relation BENEFICES/RISQUES et le caractère « simplement inadéquat » (« simply inadequate ») de l’information disponible sur la sécurité des vaccins administrés de routine aux enfants !

    Ce sont essentiellement des motivations politiques qui justifient les procédures vaccinales. Ces dernières n’ont rien à voir avec la science. Les vaccinateurs ne pensent qu’à injecter quantités et quantités de vaccins sans se soucier des effets qu’ils peuvent produire . Dr V.SCHEIBNER

    2007

    « QUE VAUT EN EFFET UNE SCIENCE LIVREE AU DOGMATISME D’UN CLAN ET QUI NE CONSIDERE PLUS LE DOUTE COMME UN MOTEUR DU PROGRES ? Le mot "vaccin", en France est sacralisé. Nous en sommes encore à l’âge des guerres de religion, avec excommunication à la clé. Je dénonce ce terrorisme intellectuel et les connivences qui lui permettent de subsister. » Lucienne FOUCRAS, 2007

    « Pouvons-nous continuer à laisser faire n’importe quoi au nom d’une science qui est à vendre » et même, bien souvent vendue. » S.Simon « Notre système vaccinal fonctionne sans preuve scientifique » Dr Philippe Sturer

    « TOUS LES PAYS QUI RENDENT OBLIGATOIRE CET ACTE MEDICAL EXTREMEMENT INVASIF, QUI EST SANS REEL FONDEMENT SCIENTIFIQUE, ET DONT LES DANGERS ET L’INEFFICACITE SONT CONNUS, NE PEUVENT PLUS PRETETENDRE COMPTER PARMI LES PAYS LIBRES . » Dr V.SCHEIBNER ( 1993)

    "Vaccination is a monstrosity, a misbegotten offspring of error and ignorance ; and, being such, it should have no place in either hygiene or medicine....Believe not in vaccination, it is a world-wide delusion, an unscientific practice, a fatal superstition with consequences measured today by tears and sorrow without end." -Carlo Ruta, Professor of Materia Medica at the University of Perugia, Italy "If you want the truth on vaccination you must go to those who are not making anything out of it. If doctors shot at the moon every time it was full as a preventive of measles and got a shilling for it, they would bring statistics to prove it was a most efficient practice, and that the population would be decimated if it were stopped."---Dr Allinson

    (1) Dr P.E. Chèvrefils : Les vaccins, racket et poisons ? 1965 (2) Dr J.Kalmar , Maître Jean Eynard : Le procès des vaccinations obligatoires (3) Harris L. Coulter : Vaccination, social violence and criminality- The medical assault on the american brain, 1990.

    Les textes ci-dessus émanant de plusieurs sources et exclusivement destinés à l’information ne peuvent en aucune manière être envisagés comme conseils, vérités absolues ou orientations sur le plan médical. Il incombe à tout un chacun de les utiliser comme il lui paraît le plus raisonnable et le plus utile. Il est important que cette information soit soumise au médecin qui a la confiance du lecteur pour une évaluation ou adaptation éventuelle à chaque cas. L’entière responsabilité de ces extraits appartient à leurs seuls auteurs

    • on peut difficilement présenter la médecine occidentale sans parler de la médecine chinoise, je cite Wikipédia :
      "Dès le XIe siècle, les Chinois pratiquaient la variolisation : il s’agissait d’inoculer une forme qu’on espérait peu virulente de la variole en mettant en contact la personne à immuniser avec le contenu de la substance suppurant des vésicules d’un malade. Le résultat restait cependant aléatoire et risqué, le taux de mortalité pouvait atteindre 1 ou 2 %. La pratique s’est progressivement diffusée le long de la route de la soie. Elle a été importée depuis Constantinople en occident au début du XVIIIe siècle grâce à Lady Mary Wortley Montagu. En 1760, Daniel Bernoulli démontra que, malgré les risques, la généralisation de cette pratique permettrait de gagner un peu plus de trois ans d’espérance de vie à la naissance. La pratique de l’inoculation de la variole a suscité de nombreux débats en France et ailleurs[1]."

      ces inoculations en Chine dont parle Wikipédia posent bien le problème des vaccins
      même si le vaccin permet de sauver une ou des vies, dans la mesure ou il fait des victimes, il opère un changement radical de société
      on ne peut plus parler raison, en particulier aux proches des victimes

      ce n’est plus une société rationnelle basée sur la démocratie, mais une société sacrificielle, basée sur le sacrifice d’un ou de plusieurs individus pris au hasard, comme certaines sociétés (qu’on a traité naïvement de plus primitives, mais qui semblent être devenues notre présent et notre avenir )

      je cite encore Wikipédia :
      Lorsque la société se sent forte, elle peut bannir ces sacrifices humains dont elle ne ressent pas le besoin ; cela ne l’empêchera pas de renouer avec cette pratique si ses fondations tremblent à nouveau.

  • VACCINS ET CROYANCE

    LA PEUR SE VEND BIEN !
    Dr Sherri Tenpenny

    Il est intéressant de constater comment une discussion sur les vaccinations peut rapidement devenir animée et parfois même agressive. Pareille animosité se manifesterait-elle au sujet d’un antibiotique ou d’un médicament contre la tension s’il était démontré que le médicament pouvait être dangereux ? Il y a peu de chances. Le médicament serait retiré du marché s’il était prouvé qu’il entraîne des décès. Même s’il ne s’agissait que de soupçons, sa commercialisation serait interdite jusqu’à ce que son innocuité puisse être démontrée.

    Il n’en va pas de même pour les vaccins. Leur promotion est souvent assurée avec grand renfort de publicité jusqu’à ce que les statistiques démontrent qu’ils provoquent des dommages chez un grand nombre des personnes. Mais les milliers de personnes qui souffrent des effets secondaires des vaccins comparées aux millions d’individus vaccinés ne sont pas considérées comme mathématiquement et statistiquement significatives. Le fait cependant que plus d’un billion de dollars ait été consacré (aux U.S.A.) à payer des indemnités aux victimes des vaccinations, démontre clairement que la sécurité des vaccins n’est pas l’objectif essentiel qui ait été favorisé. Pourquoi ce double critère ?

    Ce double langage existe parce que la vaccination est fondée sur un « système de croyances » et que le fait de remettre en cause la validité des vaccins remet en question de vieilles croyances bien ancrées. Nous CROYONS que les vaccins sont sans dangers ; nous CROYONS que les vaccins sont importants pour notre santé ; nous CROYONS que les vaccins nous protégeront des infections ; nous CROYONS que ce sont les vaccins qui ont fait décroître les maladies infectieuses dans le monde et nous voulons vraiment CROIRE que notre médecin a lu toute l’information disponible des « pour » et des « contre » et qu’il nous délivre la vérité ultime sur les vaccinations...

    Cette croyance est en fait basée sur la foi et pas nécessairement sur les faits. L’étude de la littérature émanant du CDC (Center for Disease Control : l’ultime référence en matière d’information santé aux USA) montre cependant clairement que :

    1. Les études sur la sécurité des vaccins sont limitées et n’ont été réalisées que sur des enfants en parfaite santé. Il n’a jamais été démontré qu’un vaccin était totalement sans danger. Les études sont parcellaires, limitées et n’ont été réalisées que sur des enfants en « parfaite santé » ; il n’empêche que ces vaccins sont administrés à TOUS les enfants sans tenir compte de leurs véritables conditions de santé ou de leur prédispositions génétiques. Nous avons une politique vaccinale « passe-partout » qui ne tient aucun compte des choix individuels ou des options personnelles, une politique qui a engendré une quantité énorme de problèmes pour tellement de personnes.

    2. Les études sur la sécurité des vaccins sont insuffisantes et incomplètes En ce qui concerne les études cliniques concernant la « sécurité », le suivi (des effets secondaires) se limite à une durée dérisoire de 14 à 21 jours, parfois 5 jours, alors que les problèmes complexes liés au système immunitaire peuvent prendre des semaines et même des mois avant de se manifester. Les délais arbitraires fixés par la FDA et l’industrie pharmaceutique mettent un terme au suivi bien avant que nombre de complications soient susceptibles de se manifester. Telle est la base même du mantra habituel « les vaccins sont sans danger », alors que les complications long terme peu connues sont ignorées.

    3. Les études ne font pas appel à de véritables placebos. On pourrait d’emblée croire qu’une étude sur la sécurité des vaccins consiste à comparer un nouveau vaccin avec un « placebo ». Quand on examine cependant ces études d’un peu plus près, on découvre que le « placebo » n’est PAS une substance neutre, inerte comme une solution saline ou simplement de l’eau. Le « placebo » est en fait un autre vaccin dont le « profile de sécurité est connu ». Il s’ensuit que si le nouveau vaccin révèle les mêmes effets secondaires que le « placebo », il sera considéré comme « sans danger ».

    4. Les anticorps engendrés par le vaccin ne sont pas synonymes de protection. L’on considère que les vaccins assurent la protection grâce au développement d’ anti- corps. Il existe cependant de nombreuses références dans la documentation du CDC ( la plus Haute Autorité du pays en ce qui concerne les vaccins) qui montrent que les anticorps ne protègent pas nécessairement de l’infection. Ci-dessous quelques exemples repris de la presse médicale et des documents du CDC :

    Coqueluche : les recherches sur l’efficacité des vaccins n’ont pu montrer une corrélation directe entre la réponse des anticorps et la protection contre la coqueluche.

    « The findings of efficacy studies have not demonstrated a direct correlation between antibody response and protection against pertussis disease.” MMWR, March 28, 1997/Vol.46/N).RR-7,p.4.

    Variole : Bien que l’on considère que les anticorps neutralisant reflètent les niveaux de protection, ce fait n’a pu être démontré sur le terrain.

    Smallpox : « Neutralizing antibodies are reported to reflect levels of protection, although this has not been validated in the field.” JAMA, June 9, 1999, Vol. 281,N°22,p.3132.

    Hemophilus influenzae B (HIB) : Le rôle des anticorps pour assurer une protection clinique n’est pas connu .

    H.Flu (HIB) : « The antibody contribution to clinical protection is unknown.” HibTITER package insert : “ The precise level of antibody required for protection against HiB invasive disease is not clearly established .” http://www.cdc.gov/nip/publica... Le niveau précis d’anticorps nécessaires à une protection contre le HIB n’a pas clairement été établi.

    5. Nous voulons CROIRE que le vaccin nous protégera de l’infection. Plusieurs articles publiés dans des journaux médicaux montrent que ce n’est pas nécessairement le cas.

    Quelques exemples :

    Coqueluche chez des enfants parfaitement vaccinés dans des Centres de soins, Israël Pertussis Infection in Fully Vaccinated Children in Day-Care Centers, Israël ( Emerging Infectious Diseases Vol.6,N°5 ; sept.-oct 2000)

    Coqueluche dans une population fortement vaccinée. Pays-Bas Pertussis in the Highly Vaccinated Population, the Netherlands ( Emerging Infectious Diseases, Vol.6,N° 4, July-aug. 2000)

    Coqueluche en 1999 dans le Nord Ouest de l’Australie ; tous vaccinés. Pertussis in North-West Australia in 1999 ; all vaccinated. ( Communicable Diseases Intelligence 2000, Vol.2 4 n°12 )

    Le débat sur les vaccins se poursuit ainsi avec des « études », des « données » qui servent à soutenir les thèses des deux camps. Mais le fond du problème est le suivant :

    La vaccination a été « acceptée » comme efficace, protectrice et sans danger depuis environ 200 ans. Il s’agit en fait d’une « vache sacrée ». Toutes les « vaches sacrées » font réagir les hommes avec leurs tripes quand quelqu’un se permet de suggérer que la « vache » doit être « sacrifiée ». Les exemples ne manquèrent pas au cours des siècles : quand Copernic a voulu montrer que c’était le soleil et non la terre qui était le centre du système solaire, il allait à l’encontre des croyances philosophiques et religieuses du Moyen-Âge. Quand deux scientifiques italiens Galilée et Bruno ont embrassé la théorie Copernicienne, leurs commentaires furent jugés blasphématoires. Bruno fut jugé par l’Inquisition et condamné au bûcher en 1600. Trente ans plus tard, Galilée fut traîné devant ses « supérieurs » et forcé de renoncer à ses croyances sous menace de torture et de mort. Même après sa confession, il fut condamné à la prison pour le restant de ses jours. Semmelweiss qui avait démontré que les médecins qui se lavaient les mains sauvaient la vie des femmes (qu’ils accouchaient) fut aussi ridiculisé de son temps. C’est en fait une hérésie de mettre en cause le « statu quo ».

    Les statistiques ont montré que confrontés à une idée nouvelle, quelque peu provocatrice, 96% des personnes appliqueront leur temps et leur énergie à défendre les croyances généralement admises, et seulement 4% pourront accepter que la nouvelle idée mérite d’être sérieusement envisagée.

    Effectuer des recherches sur les vaccinations, ainsi que sur l’industrie des vaccinations, ne pourra qu’ébranler vos « croyances » sur les vaccins. Quand vous étudierez les effets secondaires- réels et théoriques- que les vaccins peuvent avoir sur le système immunitaire, vous ferez vraisemblablement partie des 4% qui comprennent que la « vérité » sur les vaccins n’est pas véritablement « La Vérité », et que les politiques vaccinales passe-partout qui nous sont imposées doivent changer.

    Au plus on effectue des recherches sur les vaccins et leurs effets secondaires au plus on devient l’hérétique Copernicien qui ne peut que dénoncer un « statu quo » pouvant avoir des conséquences mortelles. J’ai personnellement investi 8.000 heures de travail pour pouvoir révéler la vérité sur les vaccins ! Si les résultats de cette enquête et de cette révélation doivent être qualifiés d’hérétiques, je puis alors dire que je me trouve en excellente et merveilleuse compagnie.

    Dr Sherri Tenpenny New Medical Awareness Seminars www.nmaseminars.com http://www.thenhf.com/vaccinat...

    A la suite d’un travail intense de recherche, tant dans la presse médicale, qu’au CDC (Agence Gouvernementale Américaine ; la plus Haute Autorité Médicale des E.U. en matière de vaccinations), le Dr Sherri Tenpenny conclut que les vaccins ne sont ni efficaces, ni dépourvus de risques. Le Dr Sh.Tenpenny est l’auteur de 2 DVD (Vidéos) :

    VACCINES : What CDC documents and Science Reveal
    VACCINES : the risks, the benefits, the choices

    « La souffrance engendrée par une idée nouvelle est l’une des plus grandes peurs que peut connaître l’homme. Ses plus chères idées pourraient être fausses ; sa nourriture préférée, la cause de ses plus grandes souffrances ! C’est un fait avéré que l’homme trouve plus facile de croire le mensonge mille fois répété que de s’incliner devant des évidences dont il n’a jamais entendu parler. » Daniel P.REID Si vous pensez qu’une chose est vraie parce que tout le monde y croit, alors tout simplement vous ne pensez pas. Vievienne Westwood

    C’est le célèbre historien de la médecine, Harris COULTER qui écrit :

    L’une des raisons principales du déclin de l’Empire romain, après six siècles de domination mondiale, fut liée au remplacement, pour le transport de l’eau potable, des aqueducs en pierre par des tuyaux de plomb. Les ingénieurs romains, qui étaient les meilleurs du monde, firent de leurs concitoyens des handicapés neurologiques, victimes du saturnisme. De nos jours, nos scientifiques de pointe, mus par les meilleures intentions du monde, sont en train d’obtenir le même résultat par des programmes de vaccinations infantiles qui débouchent sur les fléaux modernes de l’hyperactivité, de l’autisme, de désordres neurologiques et de troubles du comportement marqués par le sceau de la violence. Harris Coulter : VACCINATION, SOCIAL VIOLENCE AND CRIMINALITY

    • LES MEDECINS, COMME LES PRETRES , SONT DIVISES SUR LEURS CROYANCES

      « Il me semble urgent que l’opinion publique prenne conscience des excès qui sont journellement commis au nom de la santé publique par certains partisans trop zélés d’une pratique discutable. La médecine est un sacerdoce dit-on. Qu’elle n’érige pas en dogmes ses croyances d’un moment ! Et que ses dévots, emportés par le mouvement de leurs convictions, cessent d’user de leur puissance pour imposer leur foi et leur loi à ceux qui les subissent !
      Quand le fonctionnaire zélé imagine un règlement à la mesure de ses désirs, quand il use de l’autorité que lui confère sa position de serviteur de l’Etat pour le faire appliquer, il est grand temps que l’opinion s’émeuve…

      Je m’adresse à ceux qui ne refusent pas de voir, et, ne flétrissant que les excès, j’espère trouver des sympathies parmi les vaccinalistes les plus convaincus pour qui conviction n’est pas synonyme de fanatisme ou même d’intolérance… Il est faux - même si c’est commode - de prétendre que l’obligation des vaccinations est un problème de spécialistes : c’est avant tout un problème concernant les parents. Prétendre qu’ils ne peuvent faute de compétence, choisir ce qui convient à la santé de leurs enfants, c’est admettre qu’il faut avoir fait des études de théologie pour choisir sa religion.
      Les médecins, comme les prêtres, sont divisés sur leurs croyances. Les parents devraient, à notre avis, pouvoir opter librement, en leur âme et conscience, entre l’église médicale du pays et la chapelle de leur cœur. » Fernand DELARUE

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      Dans « PAROLES DE MEDECIN », Georges DUHAMEL déclare :
      « En médecine, la réserve d’inconnu, d’insoluble et d’illogique est inépuisable. » Aussi conseille-t-il aux servants de cette science inexacte de « ne pas l’enchaîner à des doctrines tyranniques » et de redouter « l’enivrement, la présomption. »
      Il n’en reste pas moins, écrit le Pr. Dr M. FERRU que « le dogmatisme est naturellement oppressif et que, comme toute tyrannie, il est entraîné à imposer sa doctrine ou sa loi. »

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      « …en déclarant : « si les faits ne cadrent pas avec la théorie, les faits ont tort », Einstein faisait preuve d’humour ; et cependant il exprimait les sentiments profonds de l’homme de science attaché à sa théorie….
      … La foi en un système de croyance collective se fonde sur un acte d’engagement affectif ; elle repousse le doute, le doute étant le mal……Si grossières que soient ces méthodes, elles ont vite fait d’imposer une vue du monde bornée et sectaire…
      J’avais des yeux pour voir, et un esprit conditionné pour éliminer ce qu’ils voyaient. Cette « censure intérieure » est plus sûre et plus efficace que n’importe quelle censure officielle. Cela m’aidait à surmonter mes doutes et à remodeler mes impressions dans la forme désirée… .Tous mes amis avaient une de ces trieuses automatiques dans le crâne… »
      Arthur Koestler : Génie et folie de l’homme- Le cheval dans la locomotive Calman-Levy, 1968.

    • protection immunitaire

      la guerre biologique contre le système immunitaire est voulue pour l’élimination des masses... c’est une remarque de parano !!! mais alors, que d’erreurs involontaires commises par le pouvoir. Entre les horreurs de l’hormone de croissance, de l’amiante, d’AZF, des pesticides, des poulets et du lait à la dioxine, ...compléter la liste, tout cela n’est qu’une coîncidence, n’est ce pas ?
      alors se protéger, c’est être informer et agir.
      informer : suivre un programme de dévaccination renseignement auprès d’un homéopathe sérieux
      agir : protéger la reconversion pour retrouver un sytème immunitaire normal, se protéger en utlisant les huiles essentielles qui protègent des infections de toutes sortes, suivre les stages d’aromathérapie et retrouver une santé naturelle
      protéger les autres : en cas de vaccination obligatoire , demander une décharge auprès des responsables , si vaccination utiliser une masse d’argile pour absorber le vaccin immédiatement aprrès l’injection (l’argile absborbe tous les poisons avec le charbon noir végétal)
      moralité s’informer et se former, et soyons solidaires.
      l’espoir ca se mérite, n’est ce pas ?