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Karachigate : comment Luc Chatel ré-écrit l’Histoire.
Publie le vendredi 4 juin 2010 par Open-Publishing1 commentaire
L’attentat de Karachi est lié à la vente de 3 sous-marins français au Pakistan le 21 septembre 1994.
Lisez cet article :
21 Septembre 1994 : Signature du contrat par François Léotard, ministre de la Défense du Gouvernement Balladur, pour la vente de 3 sous–marins type Agosta pour un montant total de 825 millions d’euros.
http://www.verite-attentat-karachi.org/?page_id=66
Le 21 septembre 1994, au moment de la signature du contrat par François Léotard, qui gouvernait la France ? Qui était au pouvoir ?
Réponse :
– le Premier ministre Edouard Balladur,
– son directeur de cabinet : Nicolas Bazire,
– le ministre du Budget Nicolas Sarkozy,
– le directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy : Brice Hortefeux,
– le ministre de l’Intérieur Charles Pasqua,
– le ministre de la Défense François Léotard,
– le directeur de cabinet de François Léotard : Renaud Donnedieu de Vabres,
– le conseiller de François Léotard : Hervé Morin.
Et aujourd’hui, que dit le menteur Luc Chatel ?
Le menteur Luc Chatel dit :
"Je ne confirme absolument rien, je rappelle qu’il s’agit d’évènements qui sont situés au début des années 1990, à une époque qui suit la signature des contrats concernant ce marché puisque ces contrats avaient eu lieu au tout début des années 90", a déclaré M. Chatel sur LCI.
Il a souligné que "le gouvernement d’Edouard Balladur n’était pas aux responsabilités" à ce moment-là et que "le président de la République a eu l’occasion de s’exprimer sur ce sujet pour dire qu’il s’agissait d’une farce totale". "Là on est plutôt dans une fable à épisodes", a-t-il dit.
Messages
1. Karachigate : comment Luc Chatel ré-écrit l’Histoire., 4 juin 2010, 21:32, par Copas
Karachisme gâté, le scandale d’état grossi jour à jour malgré tous les édredons des porte-cotons qui essayent de protéger l’agité de Neuilly, malgré le blocus des médias et le trouillomètre à zéro qui les paralyse quand il s’agit de faire leur boulot à propos du petit.
La chasse au Sarko est ouverte, elle est politique et n’attente nullement physiquement à sa personne.