LA GAFFE DE JOFRIN

On savait joffrin dépouvu de tout talent, on savait également son goût immodéré de ne pas dénoter dans le paysage médiatique Français, d’appartenir coûte que coûte au microcrosme du journalisme unanimiste politiquement correct à un point tel de commettre les gaffes les plus ridicules.

Ce matin confondant vitesse et précipitation dans son désir d’en découdre avec Siné, il tient des propos douteux sur la question de l’antisémitisme.

Si je comprends bien, l’islam est une religion et à ce titre constitue un choix (plutôt mauvais) alors que les juifs ressortissent d’une race qu’ils ne peuvent choisir.

L’essentialisation biologisante des juifs ressemble étrangement à la définition que les nazis en faisaient dans leur délire idéologique.

La servilité pressée de ce journaleux, pressé d’être reconnu des siens, l’a en l’occurrence desservi et mis au banc de l’intelligence, victime du retour du refoulé.

Toutefois, je voudrais le rassurer, il se trouvera de nombreux courtisans pour mettre cet incident sur un coup de fatigue.

Les Adler, Valdemort, Askolovich et consorts faux intellectuels et journalistes officiels de la pensée unique puiseront bien dans leurs cerveaux tordus matière à disculper d’antisémitisme leur comparse.

Gageons même, qu’il ne sera pas viré comme Siné et traîné dans la fange et la calomnie, sort réservé à l’honnête homme dans la société Sarkozyste où le pardon n’est pas distribué parcimonieusement aux âmes serviles.

Bientôt tous ses hommes se retrouveront en bonne compagnie dans la nouvelle République de Salo.