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La Belgique autorise l’adoption par les couples homosexuels

Publie le vendredi 21 avril 2006 par Open-Publishing
18 commentaires

" La Belgique autorise l’adoption par les couples homosexuels

La Belgique a définitivement approuvé jeudi soir le projet de loi autorisant l’adoption par les couples homosexuels après un vote serré au Sénat.

Les sénateurs belges se sont montrés relativement divisés, comme les députés lors du vote à la Chambre des représentants en décembre : le texte n’a été approuvé au Sénat qu’à une voix d’écart (34 voix pour, 33 contre et 2 abstentions).

L’ensemble des sénateurs socialistes et écologistes ont voté pour. Les libéraux flamands ont dispersé leurs votes, les libéraux francophones, les sociaux-chrétiens et l’extrême droite ont voté contre.

Avec l’entrée en vigueur de cette nouvelle loi, les homosexuels, mariés ou en union libre, seront soumis aux mêmes règles que les couples hétérosexuels pour l’adoption d’enfants belges ou étrangers.

Avec sa légalisation de l’adoption par les couples gay, la Belgique rejoint l’Angleterre, l’Espagne ou la Suède et, dans une moindres mesure, les Pays-Bas qui réservent l’adoption des couples gay aux enfants de nationalité néerlandaise.

"La France serait-elle à la traîne ?" s’interroge pour sa part l’Inter-LGBT. "Les débats qui traversent le pays depuis de nombreuses années montrent au contraire que la société française est prête à accueillir de semblables évolutions, et est loin d’être rétive à l’égalité des droits".

L’Inter-LGBT dénonce le gouvernement et sa majorité qui refusent de "reconnaître la réalité de ces dizaines de milliers d’enfants élevés par des parents de même sexe". L’Inter pointe aussi les réserves de "certaines personnalités en vue à gauche, (Ségolène Royal pour ne pas la citer,ndlr), pour qui la famille reste fondée sur "un père et une mère", alors que tous les partis de l’opposition se sont prononcés en faveur de la reconnaissance de l’homoparentalité ". "

Source : http://lezzone.over-blog.com

Et la France... toujours en retard !

Messages

  • UN ENFANT SE CONSTRUIT A PARTIR D’IMAGE ET DE REPRESENTATIONS SYMBOLIQUES...
    Ces images ne se font qu’en présence d’une "sexuation" organisée a partir d’un pareil/pas pareil.

    Cest ce que que nous a enseigné Freud ( et Marx n’y peut rien ), et il en va de la structuration psychique de l’enfant et de la reconnaissance de son identité sexuelle ( oedipe)

    Alors que par modernisme revolutionnaire vous puissiez applaudir à cette "libéralisation", c’est votre droit( surtout ne pas apparitre reac) mais il y a des lois intersubjectives établis a partir de sciences humaines qui se moquent bien de politique et du paraitre...

    Les apprentis sorciers ont en commun, l’oubli , bof, tant qu’on satisfait des couples homosexuels
    l’enfant n’est qu’un objet.

    VERTIGO

    • En fait tu n’apprends rien de nouveau. Mais tous ces arguments sont repris et discutés par les députés, comme tu pourras le lire sur le site suivant.

    • VERTIGO, il a suffit de cet article pour faire ressortir les idées reçues les plus homophobes et pathétiques qui soient.

      Sais-tu qu’en dénonçant l’homoparentalité comme étant nuisible à l’enfant parce qu’il n’a pas l’image d’un couple hétéro sous les yeux, tu dénonces aussi la monoparentalité, et donc le principe du divorce ?

      Car il n’est pas rare que des enfants grandissent sans connaître un de de leurs parents (par exemple, c’est mon cas. J’ai été éduqué par des femmes. Ma mère et ma grand-mère. Mon père et ma mère ont divorcé et ne se sont plus vu-es depuis mes deux ans, et jusque là, seule ma grand-mère s’occupait de moi. Autant dire que toute mon enfance, je l’ai passée sans repère paternel qui te semble si essentiel pour l’équilibre de l’enfant.

      Pourtant, je ne pense pas être déséquilibré.

      Sais-tu par ailleurs que les parents qui refont leur vie avec une personne de même sexe ne sont pas rares non plus. Depuis les années 70, des exemples sont fréquents. De plus, les couples homos qui adoptent à l’étranger et reviennent vivre en France, ça existe aussi. Les enfants ? Elles/ils ne souffrent d’aucun troubles psychiques. De quels types de troubles voudrais-tu qu’elles/ils souffrent ?

      Un peu de sérieux, voyons : quand je lis ton message j’ai l’impression d’être tombé sur un chrétien ancré dans ses idées périmées depuis des millénaires ou un militant d’extrême droite...

      Il est temps de se réveiller. Les homos ne représentent pas plus un danger pour les enfants que les hétéros -et certaines fois, on se dit que les parents hétéros peuvent même être un danger redoutable pour les enfants, quand ils s’y mettent. Il suffit de voir les idées qu’on t’a inculquées, et que d’autres inculquent à leur gosse.

      Par ailleurs, tu sais, la psychanalyse a évolué depuis Freud... Freud, c’était les balbutiements. Comme toute science, la psychanalyse évolue. Réveille-toi, Freud est mort depuis longtemps, et sa conception des femmes et des homosexuel-les, qui datait bien de son époque, est morte aussi.

      Vertigo, vraiment, dis moi : de quels troubles as-tu peur que les enfants souffrent en ayant des parents homos ? Honnêtement !

      Vas-y : lance-toi. Je suis curieux de savoir ce que tu vas nous sortir...

    • Et côté identité sexuelle, je rappelle que bon nombre d’homos ont eu des parents hétéros et ont grandit dans un contexte hétéro.

      Alors, Vertigo ... De quoi parles-tu quand tu parles de troubles identitaire ????

      Complexe d’oedipe ? Ah oui, tu veux dire le garçon amoureux de sa mère qui tue son père pour créer un rapport quasi-incestueux avec sa mère ? La fille qui tue sa mère pour vivre un amour exclusif et incestueux avec son père... C’est ça que tu prétend être de l’équilibre psychique ???

      Arrête, Vertigo, tu me fais rire !

      Bilba.

    • Le commentaire qui commence par "VERTIGO, il a suffit de cet article pour faire ressortir les idées reçues les plus homophobes et pathétiques qui soient." était de moi. J’ai oublié de signer.

      Bilba.

    • Les enfants né-es dans les années 70 et ayant grandi dans des familles homoparentales, sont aujourd’hui adultes et témoignent. Elles/ils ne souffrent d’aucun trouble d’aucune sorte (d’ailleurs, au passage, insinuerais-tu que l’homosexualité est un trouble psychique, Vertigo ??????????), elles/ils sont peut-être plus sensibles à la notion de tolérance... Quel dommage que tu n’aies pas eu de parents homosexuels, ça t’aurait beaucoup aidé.

      Bilba.

    • On notera au passage que tes arguments, Vertigo, sont exactement ceux que l’Eglise utilise contre les familles homoparentales et contre l’émancipation féminine !Elle prétendait que la place d’une femme était à la maison, avec les gosses, et que la place de l’homme était dehors, au boulot, que cela s’appelle la paix du foyer, et que c’est un repère essentiel pour l’équilibre psychique des enfants. Ces discours, on les connaît bien. On sait ce qu’ils prônent ! On sait qui les défend. Et ce ne sont pas des personnes bien progressistes.

      Le problème est que ces personnes instrumentalisent les enfants pour justifier leur convictions barbares. Ce qui se cache derrière ton discours, ce n’est pas l’équilibre de l’enfant, dont on sait aujourd’hui qu’il n’est en rien affecté par le fait de grandir parmi des femmes ou des hommes, mais bien la question de l’égalité des droits. Certaines personnes, comme toi, souhaitent qu’il y ait une catégorie de personnes (les Noir-es, les femmes émancipées, les homos, les précaires ou autres...) qui méritent d’être mis à l’écart parce qu’elles ne sont pas conformes aux standards voulus par une société rétrograde et conservatrice, qui érige comme modèle l’homme blanc, dominant, hétéro et riche. On a, pour chacune des catégories que j’ai cité, tenté de justifier une forme d’appartheid. Souvent revenait l’argument bidon que permettre à ces personnes d’adopter ou de garder leur enfant mettrait la santé psychique de celle ou celui-ci en danger. Pourtant le vrai danger vient de ce type de discours.

      Bilba.

    • tu as tout à fait raison là-dessus, Vertigo :"Ce n’est pas parce que c’est voulu que cela doit étre". En effet, ce n’est pas "parce que c’est voulu", mais parce que c’est juste ! Et parce que l’on sait aujourd’hui que l’enfant ne risque rien à être élevé-e par deux femmes ou par deux hommes.

      Bilba.

    • Dis-nous, Vertigo, ne ferais-tu pas une fixation sur Freud par hasard ? Même si ce dernier a dit des choses fondamentales, il convient de le replacer dans son époque. Et cette époque est celle de l’entre deux guerres dans un pays, l’Autriche, marqué par un esprit très conservateur et puritain pour ne pas dire plus. Et pour répondre à ta question à laquelle tu ne réponds d’ailleurs pas : de quoi l’enfant a t-il besoin ? Eh bien, il a besoin avant tout d’amour, d’affection et d’attention pour se construire et s’épanouir, et qu’importe si ses parents sont homos ou hétéros. Quant à sa sexualité.... Comment définir la sexualité ? C’est si complexe si plurielle cette chose-là ! Elle lui appartient avant tout.

      William

    • J’étais partagé par le fait de répondre ou de ne pas répondre ; non pas par le désinteret que l’on peut porter à la question, mais par quelques apostrophes dont j’ai été l’objet.

      Extréme droite ? Alors que mes parents ont été exterminés dans les geoles argentines de la dictature, il ya des insultes inadmissibles Biba, et l’internet ne permet pas tout.

      Chretien ? bof cela ne change rien si ce n’est que si le débat se résume en athée pour la liberté et catho pour la reaction, on avancera réellemnt vers une reflexion novatrice :-))

      alors je vais répondre,
      Que vous remettiez en cause le Freudisme, pourquoi pas ? s’il dérange votre vision du monde, je pense que vous ne prendrez pas la peine de le considerer comme une révolution dans notre approche fondamentale de la libération de l’ humain . Le seul probléme est de savoir par quoi vous le remplacez : par la pensée commune ( j’ai pas dit unique) du collectif bellacio, soit, mais je pense qu’il va falloir étayer alors.

      Mais ce qui me révolte le plus, c’est la méconnaissance totale dans laquelle vous étes, en avançant des arguments ineptes.

      les familles monoparentales ? mais qu’est que vous racontez a la fin.. l’image d’un couple ( pour parler simplement) et dans son image symbolique.. peu importe que l’enfant soit élévé dans une famille monoparentale, il est issu d’un couple et la triangulation peut se faire.
      Que le pére ou la mére soit absente ou morte, ne veut pas dire qu’il n’existe pas, au sens imaginaire insconscient de la chose.. un enfant aura encore plus de chance d’identification (incluant aprés rejet et acceptation, mais c’est une autre histoire) à un de ses parents si celui çi est absent et méme mort, idealisation phénoméne perçu et reconnu comme fondamental.

      Au contraire, un pére présent peut etre la, et absent totalement ( il est le Non à l’inceste le pére, encore une fois symboliquement). C’est ce que l’on nomme "la forclusion,"( vous savez le pére en mer ?, desendentifié de la mere)qui méne a la toute puissance de la mére, et la non differenciation avec l’étre aimé ( Psychose)

      Je maintiens, et je continuerais a maintenir que ce travail ne pourra pas se faire avec deux parents de méme sexe, que cela plaise ou pas ,au milieu concerné.
      Puisque vous annoncez la prochaine résolution de cette adoption par des couples homo par l’évolution de lma sociéte, me donnerez vous le droit de ne pas voler au secours de cette victoire acquise.
      Et que vient faire la justice la dedans ? On mélange tout, cela n’a rien avoir.. les héteros ont des enfants, pourquoi pas les homos ? si la questions ne tenaient qu’a cela, croiriez-vous un seul instant que je prendrais la peine de discuter en terme sciences humaines.
      quant au fait de me souhaiter d’avoir des parents homo, je laisse l’auteur de ces lignes a sa propre reflexion, sur la hauteur de sa vision... cela lui appartient..
      au plaisir d’avoir essayé de discuter avec vous , messieurs
      Vertigo

    • "J’étais partagé par le fait de répondre ou de ne pas répondre ; non pas par le désinteret que l’on peut porter à la question, mais par quelques apostrophes dont j’ai été l’objet."

      Les enfants de familles homoparentales et monoparentales ainsi que les familles homoparentales et monoparentales, ainsi que moi-même ont été également "apostrophé-es" (pour le moins) par tes propos. Ca ne m’empêche pas d’y répondre.

      "Extréme droite ? Alors que mes parents ont été exterminés dans les geoles argentines de la dictature, il ya des insultes inadmissibles Biba, et l’internet ne permet pas tout."

      ABSOLUMENT... Que diable ne t’en souviens-tu pas pour toi-mêmes et tes sous-entendus abjectes ?

      "Chretien ? bof cela ne change rien si ce n’est que si le débat se résume en athée pour la liberté et catho pour la reaction, on avancera réellemnt vers une reflexion novatrice :-))"

      Je ne fais rien d’autre que de dénoncer le type d’arguments que tu utilises et qui est utilisé constamment par les chrétien-nes pour justifier leurs positions rétrogrades. Que tu te reconnaisses là-dedans ne me surprend qu’à moitié.

      "alors je vais répondre,
      Que vous remettiez en cause le Freudisme, pourquoi pas ? s’il dérange votre vision du monde, je pense que vous ne prendrez pas la peine de le considerer comme une révolution dans notre approche fondamentale de la libération de l’ humain ."

      Ce n’est pas le sujet, Vertigo. Le problème est que Freud avait une approche extrêmement misogyne, homophobe et puritaine, et que tout cela s’inscrit dans un contexte précis. Il n’existe pas de science qui n’évolue avec le temps. Les travaux de Freud ont été un point de départ pour la psychanalyse, mais il est évident que depuis la psychanalyse ne se limite plus aux travaux de Freud. Vouloir s’arrêter aux paroles de Freud, c’est vouloir sacrer une personne comme la perfection. Freud commet aussi des erreurs d’analyse, et a proposé une direction de la psychanalyse, d’autres psychanalistes ont déjà remis en question cette approche freudienne. Que tu refuses de le reconnaître, c’est une chose, mais ne prétend pas que c’est nous qui gardons ce qui nous arrange. Les sciences évoluent et se remettent constamment en question (c’est l’une des différences notoires entre elles et les religions qui restent fixées à des textes vieux de millénaires et qui sont tenus pour vérités absolue et intangibles -puisque divines ou d’inspiration divine- )

      Le seul probléme est de savoir par quoi vous le remplacez : par la pensée commune ( j’ai pas dit unique) du collectif bellacio soit, mais je pense qu’il va falloir étayer alors.

      Oh, mais on dirait que le masque tombe... Non, pas par la pensée de Bellaciao qui n’est pas si unique que ça puisque tu t’exprimes sur ce site. Mais par les travaux des différents courants psychanalitiques, et des différents psychanalystes qui ont succédé à Freud : Adler, From, Jung, Diel, K. Horney, etc...

      "Mais ce qui me révolte le plus, c’est la méconnaissance totale dans laquelle vous étes, en avançant des arguments ineptes."

      Docteur Freud, le tout puissant a parlé ! Nous sommes des incultes et Môssieur Vertigo a LA connaissance universelle. Pourtant tu sembles avoir aussi quelques lacunes sur la question psychanalitique. Ce n’est pas en sortant "complexe d’oedipe" qu’on est un-e savant-e. Tout le monde connaît ce cliché freudien.

      "les familles monoparentales ? mais qu’est que vous racontez a la fin.. l’image d’un couple ( pour parler simplement) et dans son image symbolique.. peu importe que l’enfant soit élévé dans une famille monoparentale, il est issu d’un couple

      Qu’appelles-tu couple ? Le rencontre entre le spermatozoïde et l’ovule ? En ce cas, les enfants de familles homoparentales sont aussi issu-es d’un "couple". Si maintenant tu veux parler du fait qu’un homme et une femme, un couple HETEROSEXUEL (car les couples homosexuels existent aussi, je tiens à te le rappeler), ait cet-te enfant en faisant l’amour, je ne vois vraiment pas ce que ça change pour l’enfant. Si tu parles de cellule familiale, alors je te renvois à la question de la monoparentalité. Au passage, les enfants adopté-es, qu’elles/ils le soient par des personnes hétéros ou homos ne change rien au fait qu’elles/ils ont été conçu-es par un couple hétéro. Je ne vois pas, là non plus ce que ça change. A moins que tu sois simplement contre l’adoption en général (qu’elle soit à l’initiative de couples homos ou hétéros. Sinon, je ne vois pas où tu veux en venir. J’ai l’impression que tu es en train de dériver sur la question de l’insémination artificielle.

      "et la triangulation peut se faire."

      La "triangulaire", comme tu dis si bien se fait entre deux personnes qui s’aiment et qui aiment leur enfant, et l’enfant qui les aime en retour. Ca n’a rien à voir avec le sexe des parents.

      "Que le pére ou la mére soit absente ou morte, ne veut pas dire qu’il n’existe pas, au sens imaginaire insconscient de la chose."

      C’est exactement comme pour les enfants adopté-es ou issu-es d’insémination artificielle. Tu crois que les personnes issues de familles homoparentales ne savent pas comment on fait des gosses ?

      "un enfant aura encore plus de chance d’identification (incluant aprés rejet et acceptation, mais c’est une autre histoire) à un de ses parents si celui çi est absent et méme mort, idealisation phénoméne perçu et reconnu comme fondamental."

      Plus de chances que quoi ?

      "Au contraire, un pére présent peut etre la, et absent totalement"

      Un peu de cohérence dans tes propos serait la bienvenue.

      "(il est le Non à l’inceste le pére, encore une fois symboliquement)."

      En langage clair... ça veut dire quoi ton délire ?

      "C’est ce que l’on nomme "la forclusion,"( vous savez le pére en mer ?, desendentifié de la mere)qui méne a la toute puissance de la mére, et la non differenciation avec l’étre aimé ( Psychose)"

      Psychose, le film ? Ne me dis pas que tu puises tes arguments dans les films !

      "Je maintiens, et je continuerais a maintenir que ce travail ne pourra pas se faire avec deux parents de méme sexe que cela plaise ou pas ,au milieu concerné."

      Avoir des convictions, c’est bien. Pouvoir les développer, c’est mieux. Or je regrette mais tes arguments frisent l’absurde, l’incohérence et se noient dans un charabia qui pourrait être issu de grande séances de fumettes. Alors bon, côté arguments, je ne suis pas convaincu du tout par ta prestation.

      "Puisque vous annoncez la prochaine résolution de cette adoption par des couples homo par l’évolution de lma sociéte, me donnerez vous le droit de ne pas voler au secours de cette victoire acquise."

      Un droit ne se demande pas : il se prend. Les homos l’ont bien compris. Nous ne cherchons pas à ce que tu t’enthousiasme avec nous de cette victoire incontestable sur le puritanisme et les mentalités d’arrière-garde, nous voulons seulement que tu développes des arguments crédibles. Et excuse-moi mais les divagations type "Oui, l’enfant sans père est en désaccord avec son soi profond car l’étanchéité de substance organique de la pensée paternelle le traverse de part en part et construit son devenir virtuel dans la potentialité intrinsèque du rapport à la mère avant qu’il ne naisse", c’est du n’importe quoi.

      "Et que vient faire la justice la dedans ?"

      Il est juste que des personnes, quelque soit leur taille, leur poid, leur couleur de peau, leurs origines, leur sexe, leur couleur de cheveux, la forme de leur menton, etc aient les mêmes droits que tout le monde. Si en plus sur un point il s’avère que cela implique une troisième personne et qu’il n’y a pas de désagréments pour celle-ci, il n’y a alors aucune raison de s’y opposer si ce n’est la volonté de créer une société à deux vitesses, où certaines personnes bénéficieraient de certains droits et d’autres, citoyen-nes de 2nde zone, bénéficieraient de moins de droits à cause de leur différence.

      "On mélange tout, cela n’a rien avoir.. les héteros ont des enfants, pourquoi pas les homos ? si la questions ne tenaient qu’a cela, croiriez-vous un seul instant que je prendrais la peine de discuter en terme sciences humaines."

      C’est pourtant ce que tu essaies de faire. Car côté argus sur l’enfance, tu tombes toujours à côté. Donc force est de constater que tu ne peux pas développer sur ce point parce que ce n’est pas le point qui te pose problème. Et si ce n’est pas lui, lequel est-ce alors ?

      "quant au fait de me souhaiter d’avoir des parents homo, je laisse l’auteur de ces lignes a sa propre reflexion, sur la hauteur de sa vision... cela lui appartient.."

      Merci, mais je ne rougis pas de ce que j’ai écrit, et je n’ai pas à en rougir. Ce serait à redire, je le redirais... Pourquoi, ça te gènerait d’avoir des parents homos ?

      "au plaisir d’avoir essayé de discuter avec vous , messieurs
      Vertigo"

      Tu n’as pas discuté. Une discussion, ça implique des arguments, des contre-arguments, de nouveaux arguments, etc ... Tu n’as pas argumenté. Tu as bien tenté de le faire, mais de manière totalement décousue sans aucune base véritable, tu t’es empêtré dans tes contradiction, ce qui est tout à fait navrant. Et tu clos la conversation lorsque tu te trouves au bout de ton raisonnement.

      Je rappelle que tu as soigneusement évité de répondre à la question "quel type de désordres psychiques penses-tu qu’une personne issue de famille homoparentale puisse avoir ?" Et "qu’appelles-tu ordre et qu’appelles-tu désordre ? Par rapport à quoi ?"

      Mais bon, le fait que tu n’y répondes pas est hélas très révélateur...

      Bilba.

    • "LE MODELE PARENTAL N’A RIEN A VOIR AVEC LA SEXUALITE ? MERVEILLEUX.......
      Pensons que sont sont les génes alors...les inepties basées sur je ne sais quoi, sont assez fatiguantes le soir... puis je savoir quelle est ta profession Bilba ?
      le fait de méconnaitre est un droit dont il ne faut pas abuser R. Debray ( a peu prés )
      vertigo"

      Les gènes n’ont rien à voir avec le fait d’être élevé-e par deux personnes de même sexe ou de deux sexes différents. Tu crois qu’on attrape un gène comme on attrape un rhume, Vertigo ?

      Et il n’y a pas plus de transmission de gènes chez les parents adoptifs homosexuels que chez les parents adoptifs hétérosexuels

      Quant à l’insémination artificielle (que tu sembles confondre avec l’adoption -donc côté méconnaissance, tu es assez mal placé pour me faire la morale-), il y a transmission de gènes. Les gènes de la mère et les gènes du père, le donateur.

      Bilba.

  • je trouve que ce débat sur l’homoparentalité, c’est un peu le même que celui sur les OGM... quelles conséquences à moyen et long terme ?

    mais Bilba-qui-sait-tout a sans doute la réponse ?

    • 1) Pour savoir ça, il faudrait tester en champ fermé ? T’inquiète pas, les enfants resteront bien sagement à la maison si tu le souhaites...

      2) Concernant les effets à long-terme, et bien regarde ce qui se passe à l’étranger. Ou (comme je te le disais plus haut), regarde ce qui se passent dans les familles homoparentales actuelles : ça existe déjà, le seul intérêt d’un tel vote, c’est de garantir une sécurité juridique pour de telles familles.

      Soit tu es contre l’homoparentalité, c’est ton choix, mais dans ce cas, tu dois pourchasser toutes les familles homoparentales pour supprimer la garde des enfants pour éviter dieu sait quoi ; soit tu ne fais rien, et dans ce cas-là, tu continues de permettre l’homoparentalité (soit tu légifères et dans ce cas, tu as moins de risque qu’il y ait des adoptions dans des familles où l’un(e) des partenaires est taré(e) )... Choisis ton camps, camarade Vertigo !

    • il existe déja au moins 100 000 familles recomposées.

      et les gamins vont très bien.

      mais il a un problême qui vient de ceux qui regarde de travers les parents homos de ces enfants.
      là les gamins souffre.

  • mais ne vous inquiétez pas, ces enfants issus de familles recomposer savent très bien où sont leur référents symboliques. ils savent très bien qui est leur père qui est leur mère. Ils ont de multiple exemple dans leur entourage, oncle, tente, parain, maraine, grand parent, prof etc....
    mais parcontre il n’ont pas à savoir ce que leur parents font dans leur lit : qu’ils soient des adeptes du Sado-mazo, qu’ils aient de la dificulter à jouir, ou qu’ils aient une orientation sexuelle différente de la "norme hétéro-hégémonique" qui utilise tous les arguments les plus falacieux pour s’opposer au bien être de leur parents discriminés en parmanance par les speudo psy incarnés magistralement par l’un d’ente eux dans ces commentaires.

    la seule chose dont souffre ces enfants, c’est de l’homophobie larvée qui s’abat sur leur parents.
    car ces hétérocentrés confonde l’éducation d’un enfant une pratique sexuelle.
    seule la zigounette dans la foufoune est d’autorité parentale selon ces arguments stupides.


     Une thèse confirme le développement psychologique normal des enfants élevés par des homosexuels

    "L’Homoparentalité : une nouvelle chance pour la famille ?"

    "L’homoparentalité ne semble pas constituer, en soi, un facteur de risque pour les enfants" C’est la conclusion d’une thèse soutenue le 10 octobre 1999 à l’université de Bordeaux II par un pédopsychiatre qui a consacré deux années à étudier la question.

    Le docteur Stéphane Nadaud était étonné que "n’importe qui dise n’importe quoi, mélangeant orientation sexuelle du parent, différence des sexes et capacité d’être de bons parents" et a donc décidé d’élaborer, "sans hypothèse a priori", la première thèse de medecine en France sur le sujet de l’homoparentalité.

    Selon cette thèse, intitulée "Approche psychologique et comportementale des enfants vivant en milieu homoparental", le développement psychologique des enfants élevés par des homosexuels est tout à fait normal et "ces enfants vont bien" selon les propres mots de l’auteur.

    http://www.lgbth.com/homoparentalite/etudes/nadaud_1999.html

  • j’ai rien contre les homos MAIS...

    j’ai rien contre ces familles homoparentales MAIS !

     elles mettent en péril le référent symboliques
     elles sont dans l’erreur, il n’y a pas d’autre différence entre les individus que celle des sexes.
     elles sont déviantes
     elles sont un danger pour l’humanité

    et dailleurs :

     la monoparentalité c’est pas bien non plus.
     l’insémination artificiel, ça pose un problême

    par ce que :

     le model hétéro est la NATURE
     le model hétéro est conforme à ce que doit être la PROCREATION

    je vous laisse complêter cette liste ringarde.