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La France craint d’être la prochaine victime de la crise de la dette
par Jean L
Publie le vendredi 11 novembre 2011 par Jean L - Open-Publishing8 commentaires
Après l’Italie, la France craint d’être la prochaine victime de la crise de la dette, les marchés et Bruxelles ne semblant pas convaincus par le nouveau plan de rigueur du gouvernement face à la dégradation de la situation économique.

source AFP, lire la suite :
Messages
1. La France craint d’être la prochaine victime de la crise de la dette, 11 novembre 2011, 22:20
Le capitalisme n’a pas de frontière, son seul horizon est la libéralisation des marchés et la recherche du profit maximum. Partout où il a eu la possibilité de s’implanter sans contrainte et de mettre en œuvre ses principes, le niveau de vie des populations a baissé, et seule une élite a vu ses revenus augmenter dans une proportion indécente. Le capitalisme s’est implanté dans les pays du sud, soit par la force, soit avec la complicité du FMI, de la Banque Mondiale ou de l’OMC, en pillant les ressources naturelles et humaines. Et maintenant c’est notre tour !
http://2ccr.unblog.fr/2011/10/07/un-travail-decent-pour-tous-partout/
2. La France craint d’être la prochaine victime de la crise de la dette, 12 novembre 2011, 05:11
On joue sur la crédulité, sur l’ignorance et sur les peurs : nous sommes dans la voyance et le mystère chargé de menaces du monde économique interprété par nos grand prêtres télévisés que sont banquiers et professeurs permet d’imposer à peu de frais pour le moment des plans d’austérités de plus en plus drastiques.
3. Ce n’est pas à nous de payer : organisons-nous, 12 novembre 2011, 07:20
Il faut maintenant et partout des collectifs citoyens pour faire un audit de cette dette et montrer qu’elle est en partie frappée d’illégitimité et doit donc être partiellement annulée.
Cette démarche est lancée dans d’autres pays d’Europe et expliquée ici par les économiste atterrés qui l’ont initiée.
http://www.audit-citoyen.org/
A faire tourner !
1. Ce n’est pas à nous de payer : organisons-nous, 12 novembre 2011, 08:54
Pourquoi Sarko ne publie pas les détails de cette "dette", emprunt par emprunt ? On parlerait alors démocratiquement et concrètement !
2. Ce n’est pas à nous de payer : organisons-nous, 12 novembre 2011, 11:56, par Quentin
Pourquoi a priori "en partie" ?
– Si le profit capitaliste était restitué à la la société ;
– si le coup d’Etat contre le financement public par la banque de France avait été renversé notamment par les GT d’Union de la gauche ;
– si la titrisation de la dette sur les marchés secondaires avait été interdite notamment par les GT (voir ci-dessus) ;
– si on en avait fini avec les exonérations fiscales et sociales accordées généreusement par la droite mais aussi par les GT (voir ci-dessus) ;
– si on avait tordu le cou aux dépenses inutiles, dangereuses et guerrières ;
– si on arrêtait de renflouer les capitalistes y compris pour leurs spéculations oiseuses ;
– si on arrêtait de considérer le capital et les profits fictifs comme des valeurs réelles ;
– si l’économie ne connaissait pas les crises cycliques provoquées par la recherche du profit alors que jamais nous n’avons eu autant les moyens de produire socialement et écologiquement utile.
– si on expropriait les banques/assurance et les plaçait sous contrôle social (tout le secteur financier et sans indemniser les gros actionnaires) ;
Alors la notion même de dette serait remise en cause et nos têtes remises à l’endroit.
Cela signifie bien sûr la promotion de mesures de rupture avec le capitalisme, sans les adjectifs restrictifs habituels : libéral, financier, etc. Non, le capitalisme tout court.
Cela n’a rien à voir, bien sûr, avec la nostalgie du capitalisme régulé des dites Trente Glorieuses et les vains espoirs de "l’humaniser".
–
3. Ce n’est pas à nous de payer : organisons-nous, 12 novembre 2011, 16:14
Si nous reprenions comme principe notre souveraineté monétaire !
4. Ce n’est pas à nous de payer : organisons-nous, 13 novembre 2011, 16:25, par Ferenc
Pas besoin d’audit : on ne remboursera pas cette dette qui n’est pas la nôtre !!!
4. La France craint d’être la prochaine victime de la crise de la dette, 12 novembre 2011, 12:06
Michel Sapin est l’homme qui au PS annonce la couleur du programme socialiste
"nous allons prendre plus pendant 2 ans et donner plus les 3 années suivantes"
Du Papandreou dans le texte !