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La peur de la grippe aviaire est politiquement programmée Par le Dr Leonard Horowitz

Publie le lundi 3 avril 2006 par Open-Publishing
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Mise en garde de santé publique et essai politique - - Première Partie

La peur de la grippe aviaire : programmation politique dans le cadre du "iatrogénocide"* mondial.

Si la grippe aviaire devient plus importante qu’une menace pandémique, cela sera le fait d’une planification politique et économique. Cette thése est corroborée par l’actuel soutien massif des médias de masse à travers la désinformation, la réalisation de profits excessifs sur des vaccins risqués et n’ayant aucune valeur, l’ignorance voulue de données prouvant l’existence antérieure d’épidémies fabriquées par l’homme tel le SARS, la grippe du Nil, le SIDA et bien d’autres.

La peur de la grippe aviaire : programmation politique dans le cadre du iatrogénocide mondial
Si la grippe aviaire devient plus importante qu’une menace pandémique, cela sera le fait d’une planification politique et économique. Cette thése est corroborée par l’actuel soutien massif des médias de masse à travers la désinformation, la réalisation de profits excessifs sur des vaccins risqués et n’ayant aucune valeur, l’ignorance voulue de données prouvant l’existence antérieure d’épidémies fabriquées par l’homme tel le SARS, la grippe du Nil, le SIDA et bien d’autres.

La poursuite d’études génétiques crée plus de mutants de virus de la grippe, qui ont toutes les chances de se répandre, dans le cadre de scandales commerciaux impliquant le savoir faire pandémique de la Maison Blanche, les responsables de firmes pharmaceutiques, l’immunité étonnante de celles-ci au siècle dernier face à l’application de la loi et des enquêtes menées par les médias traditionnels, et des objectifs officiels de dépopulation qui ont été publiés.

Avec les révélations et les déclarations faites ici, le public est mis en garde contre un massacre de masse avec complicité médicale, appelé plus précisément "iatrogénocide"*. Ce génocide imposé servira, comme espèré par ceux qui le mettent en place, des objectifs principalement économiques et politiques de dépopulation.

Contexte
En avril 2003, une expérimentation sociale appelée SARS, dont on a dit qu’elle venait d’Asie, a violemment frappé Toronto. J’y était pendant presque toute la durée de cette "peur" annoncée de grippe asiatique. Cette forme nouvelle de pneumonie a été nommée Severe Acute Respiratory Syndrome (syndrome respiratoire severe et aigu). On a dit que c’était la dernière menace de tout une séries d’attaques sur l’humain par des "super germes" mutants mystérieusement.

Une étude méticuleuse des corrélations et antécédents médicaux sociologiques de cette " éruption" montre quelque chose de beaucoup plus insidieux que SARS. En tant qu’expert diplomé d’Harvard en santé publique et science comportementale sur le pouvoir de persuasion des médias, j’ai critiqué la réaction des médias de Toronto. Le fléau portait toutes les caractéristiques d’une nouvelle expérience sociale menée par des terroristes en col blanc.

Il m’est clairement apparu qu’en réalité, cette manipulation sans précédent du public endoctrinait l’esprit des masses pour soutenir une campagne de santé publique légale mais plutôt inefficace en prévision de l’arrivée de la "Grande Menace". Pendant toute la durée de l’escroquerie au SARS (1), des références répétées à des agents biologiques pouvant favoriser la décimation d’un tiers à la moitié de la population mondiale ont été faites. Ayant étudié de manière approfondie la littérature politique sur le contrôle des populations et les objectifs contemporains des plus importantes multinationales industrielles, j’ai constaté que ces prédictions étaient proches des objectifs officiels actuels de réduction des populations.

Au Canada, la réponse au SARS en 2003 fut dirigée pour la première fois de son histoire par les Nations Unies et WHO ( World Health Organisation - OMS Organisation Mondiale de la Santé). Ayant étudié les liens intimes financiers et administratifs entre ces organisations, il apparaît que la famille Rockfeller, la Fondation Carnégie, et les industries pharmaceutiques dominantes mondialement ; "les renards", en fait règnent sur les "poules" du Canada.

La vérité concernant les épidémies, inclue le fait qu’aucune grande " pandémique" ne peut se développer séparée d’un bouleversement socio politique ? SARS démontrait un agenda politique bien plus qu’une urgence de santé publique. Si les responsables officiels de santé publique avait réellement voulu prévenir ces nouvelles maladies émergentes, ou les traiter à leurs sources, je l’ai répété, ils auraient étudié leurs origines certaines dans la phère du militaro médico biothechnologique regroupés. Un cours de base en sociologie médicale justifie ce conseil utilitariste.

Des "experts" avaient predit l’arrivée d’une super épidémie depuis des décennies. Cependant, ce qui était GRANDEMMENT SUSPECT concernant l’arrivée mystérieuse et terrifiante de SARS, c’était le moment de son apparition. Elle est arrivée synchronisée avec la guerre globale contre le terrorisme, et la guerre américano anglaise en Irak. Cela semblait détourner opportunémment l’attention du fait que l’administration Bush précédente avait fourni à Saddam Hussein la plupart de ses armes biologiques mortelles inclus l’anthrax et le virus du Nil ouest. SARS était pathognomonique ( i.e, symptomatique et charactéristique) de ce que j’avais prédit dans le livre Death in the Air : Globalism, Terrorism, and Toxic Warfare ( Mort dans l’air : globalisation, terrorisme et guerre toxique)

Tetrahedron Publishing Group, 2001 ; http://www.healthyworlddistributing.com/.

Un texte phrophétique datant de plusieurs mois avant les attaques du 11 septembre aux Etats unis et qui offrait une analyse contextuelle de certains liens mondiaux avec les récentes " éruptions".

J’ai fourni en fait une analyse interne d’une application extensive d’une nouvelle forme institutionnalisée de "bio terrorisme" allant de pair avec la guerre biologique sponsorisée par l’état. On a dit de Saddam Hussein qu’il avait exposé des populations sur ses terres et des terres voisines à des armes de destruction massive biologique et chimique. La peur du SARS et de l’actuelle grippe aviaire a la bénédiction du complexe militaro medico pharmaceutico petrochimico industriel, qui opère en outre au dessus des lois dans beaucoup de cas documentés. Ayant témoigné devant le Congres américain, j’ai directement expérimenté comment les industries pharmaceutiques leaders dirigent les représentants politiques et économiques au sein du gouvernement. Les épidémies naissantes complètent la "guerre contre le terrorisme", et trouve un écho dans notre culture influencée par la bio terreur. Cet agenda sert principalement deux objectifs : le profit et la réduction de population.

Réalité politique versus mythes des masses médias
La folie toujours plus grande qui nous entoure est étrangement consistante avec les recommandations des Think Tank pour la mondialisation à propos des " conflits de basse intensité". Commancant dans les années 1960, des "substituts économiques pour une militarisation standard" ont été recherchés et trouvés par les multinationales à la tête de la globalisation. De nouvelles menaces biologiques, la guerre contre le terrorisme, et le nombre croissant de "catastrophes naturelles" comprenant notamment des menaces venant de l’espace, et des super tempètes, ont été vus comme des expédients économiques et politiques, comparables à la première et seconde guerre mondiale. Ces "conflits de basse intensité" étaient décidemment plus gérables et économiquement viables. Pour cette raison, notamment pour les profits tirés, c’étaient les options choisies par les dirigeants politiques anglo américains.

Le protégé de Nelson Rockfeller, Henri Kissinger, par exemple, en tant que conseiller à la sécurité nationale de Richard Nixon dirigeait la politique étrangère en même temps qu’il considérait comme "une nécessité" la réduction des populations du Tiers Monde pour les Etats-Unis, la Grande Bretagne et l’Allemagne, et d’autres alliés. Cet homme nommé par Bush pour diriger l’enquête sur la conspiration du 11 septembre, un criminel de guerre réputé, a choisi l’option du développement des armes biologiques par la CIA, selon un enregistrement du Congrés américain de 1975. Parmi ces armes biologiques fabriquées par l’homme figuraient des microbes bien plus mortels que la grippe aviaire.

Par exemple, en 1968 quand Kissinger a demandé et obtenu des renseignements secrets sur "des agents biologiques synthétiques" utiles dans le cadre de la guerre bactériologique et le contrôle des populations, des virus mutants associés de la grippe venaient juste d’être fabriqués par les chercheurs en cancérologie O’Conner, Stewart, Kinard, Rauscher et d’autres (3) dans le cadre d’un programme de recherche "Virus Spécial Cancer". Au cours de ce programme des virus de la grippe et para grippe ont été associés avec des virus hyperactifs de la leucémie ( acute lymphocytic leukemia) pour fabriquer des armes qui pouvaient potentiellement disséminer le cancer, de la même manière que la grippe, en éternuant. Ces chercheurs ont également stocké des virus du sarcome (terme générique regroupant l’ensemble des tumeurs maligne d’origine conjonctive) et les ont inoculés à des singes et à des hommes pour déterminer leur carcinogénicité. En lien avec cela, Rauscher et al ont utilisé la radiation pour accroître les effets du virus du sarcome. Ces réalités scientifiques incroyables ont été officiellement censurées et généralement ignorées par les médias de masse.

En même temps, l’Institut of Science in Society ( IoSS) à Londres a soulevé le problème de manipulation génétique à l’origine du SARS. "Est-ce qu’une manipulation génétique aurait pu par inadvertance créer le virus du SARS ?é demandaient -ils. "Cette question n’a même pas été envisagée par les experts coronavirologistes appelés pour aider à enrayer la crise, et maintenant fêtés et felicités par les compagnies pharmaceutiques avident de développer des vaccins. " Ceux qui vivent dans des maisons de verre ne devraient pas jeter de pierres. Cette remarque insistante citée ci-dessus est ajoutée pour montrer qu’IoSS n’avait "même pas considéré" la possibilité d’une dissimination intentionnelle du SARS dans leur remarque scientifique supposée non biaisée. (4)

"Les conflits de basse intensité" comme la guerre contre le SIDA, la guerre contre les drogues, la guerre contre le terrorisme, la guerre contre le cancer, et maintenant la guerre contre la grippe aviaire nécessitent des programmes de propagande sophistiqués utilisant des campagnes de peur afin d’être acceptées socialement et que les politiques législatives soient populaires. Ces opérations psychologiques (appelées officiellement PSYOPS) menées pour la guerre de commande et contrôle ( Command and Control Warfare - appelée techniquement C2W), selon l ‘avis des experts, soutiennent avec une réelle efficacité ce qui est entrain de naître et est appelé RMA : Révolution in Military Affairs - La révolution dans les affaires militaires. Les capacités de la RMA comprennent , une forme "d’esclavage humain" par lequel les populations réduites en esclavage dans le monde ne sauraient pas qu’elles sont réduites en esclavage. (2)

Le RMA inclus sans aucun doute, et bien volontiers, l’utilisation d’agents biologiques et chimiques débilitants pour le compte des fabricants de traitements, médicaments et vaccins. Un exemple classique est celui de l’utilisation de pesticides comprenant des organophosphates carcinogènes, dit viser les moustiques et employés contre les populations humaines dans la "guerre contre le virus du Nil ouest". De tels "agents non-léthaux" comme ils sont appelés dans le jargon militaire, sont en fait mortels, mais la mortalité résulte d’une intoxication lente permettant à leurs alliés des industries pharmaceutiques et médicales de réaliser plus de profits. Les victimes de ces expositions "non létales" meurent lentement de maladies chroniques débilitantes. Les hôpitaux coûteux et les établissements de soins à long terme sont quasiment des camps de concentration. Les affections produites pour le "iatrogénocide" comprennent des maladies auto immunes, et des nouvelles formes de cancers pratiquement inexistants il y a 50 ans. Ce seul fait suggère fortement l’existence d’un agenda socio économique et politique génocidaire.

Dr Leonard Horowitz - 12.10.05

Publié en anglais dans sa totalité le 12 octobre 2005 sur www.globalresearch.ca - copyright abandonné par son auteur et Tetrahedron Publishing Group au profit d’une divulgation la plus large possible - idem pour la traduction bénévole en francais par MD pour Planete Non Violence

Le mot iatrogénocide est un derive des mots “iatrogenesis” maladie induite physiquement et “genocide”, massacre de masse et/ou réduire des peuples en esclavage pour des raisons économiques, politiques et /ou idéologiques).

Qui est le professeur Leonard G. Horowitz*
L’autorité de l’auteur Leonard G. Horowitz, D.M.D., M.A., M.P.H.,est reconnue mondialement dans les domaines se recouvrant partiellement de la santé publique, la science comportementale, les épidémies émergentes, et le bio terrorisme. Le Dr Horowitz est célébre pour son livre, un best seller national : Emerging Viruses : AIDS & Ebola - Nature, Accident or Intentional ? (Tetrahedron Press, 1998 ; 1-888-508-4787) qui a eu comme consequence récente l’enquête menée par the General Accounting Office des Etats Unis sur la théorie de l’origine humaine du virus du SIDA (voir en anglais :http://www.healingcelebrations.com/gao.htm

Le travail du Dr Horowitz sur la prise de conscience des risques liés aux vaccinations ont fait qu’au moins trois pays du Tiers monde ont rapidement changer leur politique en matière de vaccination. Son témoignage étonnant devant le comité pour les réformes du congres américain ont carrément provoqué la suspension du témoignage ( voir sur le sujet healingcelebration.com).

le Dr Horowitz a posé des questions aux repésentants officiels du gouvernement américain sur un rapport secret du centre pour le contrôle et la prévention des épidémies (CDC) montrant le lien définitviement existant entre le composant à base de mercure ((i.e., Thimerosal), systématiquement présent dans la plupart des vaccins, et la montée en flèche des cas d’autisme et de désordres du comportement qui touchent nos enfants et le futur de notre nation.

Son livre le plus récent : DNA : "pirates de la spirale sacrée", est un texte de référence en matière d’electro genétique de la biologie, de thérapie des infections, et de spiritualité humaine. Dans cet ouvrage, il détaille les liens entre les courriers contaminés à l’anthrax, le hold up sur le génome humain, et une organisation d’espionnage leader, l’industrie de la génétique et les dirigeants des industries pharmaceutiques.

Références

Son site officiel www.drlenhorowitz.com.

1) Horowitz LG. SARS (Severe Acute Respiratory Syndrome) : A Great Global Scam.

2) Horowitz LG. Death in the Air : Globalism, Terrorism and Toxic Warfare. Sandpoint, ID : Tetrahedron Publishing Group, (Spring) 2001.

3) Horowitz LG. Emerging Viruses : AIDS & Ebola, Nature, Accident or Intentional ? Sandpoint, ID : Tetrahedron Publishing Group, (Spring) 2001.

4) The Institute of Science in Society. SARS and Genetic Engineering ? London, England.

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