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« Les propos de Fillon puent la xénophobie » pour Manuel Valls.
par Les xénophobes sont déchaînés.
Publie le dimanche 17 juillet 2011 par Les xénophobes sont déchaînés. - Open-Publishing6 commentaires
Manuel Valls : « C’est François Fillon qui ne comprend pas ce qu’est la nation française, qui ne se construit pas sur le droit du sang mais sur des valeurs communes auxquelles on adhère. On ne peut pas nier à Eva Joly le droit de s’exprimer parce que ses origines sont différentes de celles du Premier ministre. C’est une faute. Ces propos-là puent la xénophobie. »
Messages
1. « Les propos de Fillon puent la xénophobie » pour Manuel Valls., 17 juillet 2011, 11:59
assez scato le Valls, la dernière fois c’était quoi déjà ??? propos merdeux ???
1. « Les propos de Fillon puent la xénophobie » pour Manuel Valls., 17 juillet 2011, 14:11
Il porte bien son patronyme cet opportuniste ; on dirait le costard de sarko à l’envers et le clone du clown dedans.
2. « Les propos de Fillon puent la xénophobie » pour Manuel Valls., 17 juillet 2011, 14:36
"Les propos de Fillon puent la xénophobie"...C’est vrai.
Mais Valls avec son déodorant au parfum de "gôche" ne sent pas très bon.
LR
1. « Les propos de Fillon puent la xénophobie » pour Manuel Valls., 17 juillet 2011, 16:01
c’est l’habilité du parti "socialiste" : ils ratissent une large bande du spectre idéologique entre Valls, de droite, et Filoche, proche de la gauche radicale...et tous appartiennent au même parti !
2. « Les propos de Fillon puent la xénophobie » pour Manuel Valls., 17 juillet 2011, 16:29
Valls un sous fifre du sionisme et de l’impérialisme germano américain.
Aussi dangereux que tous les opportunistes qui préfèrent le libéralisme à la lutte des classes.
Quand aux ténors du parti socialiste, passez vite, avec Valls et DSK vous serez bien servis.
3. « Les propos de Fillon puent la xénophobie » pour Manuel Valls., 17 juillet 2011, 18:05
Ce n’est pas quelque chose qu’on peut reprocher à ceux qui se situent à la gauche du PS, qui scissionnent, créent une tendance, une fraction, ou se positionnent "francs-tireurs-commentateurs-donneurs de leçons" à la moindre divergence périphérique...
Y aurait pas un juste milieu ?
Pourquoi par exemple tous ceux qui partagent l’analyse "lutte de classe, socialisme, indépendance vis à vis du PS" ne sont pas regroupés, au-delà des divergences qui distinguent inéluctablement ceux qui analysent en profondeur et sont exigeants ?
Pourquoi par exemple des camarades de ma fédé ont quitté le NPA certains parce qu’on s’occupait trop d’écologie d’autres parce qu’on ne s’en occupait assez ?! Alors que nous étions d’accord sur l’essentiel, le renversement nécessaire du capitalisme, la stratégie vis à vis du PS et même du FdG, sur... etc.
Dans la guerre que mène le capitalisme contre nous, au stade où nous en sommes (le pistolet sur la tempe), n’est-ce pas suicidaire ?
A gauche du PS il y a deux lignes inconciliables : ceux qui pensent pouvoir avancer avec le PS, par les urnes, le PCF (sa direction) par exemple, et ceux qui pensent que ce n’est pas par les institutions mais par la lutte des classes à la base que le mouvement vers le socialisme du 21ème siècle se fera, le NPA par exemple. Là où il ne devrait y avoir que deux pôles qui confrontent leurs analyses divergentes et se concurrencent, il y a une multitude de structures plus ou moins grandes, éparpillées, qui se tirent la bourre, sans compter un grand nombre "d’indépendants", d’individus isolés...
On va dire qu’on est à l’époque de l’individualisme (sans connotation positive ou négative... c’est un autre débat), mais il faudra bien un jour (si on veut éviter de se faire ramener au 19éme siècle) résoudre cet éclatement.
C’était l’ambition du NPA à sa création, mais pour l’instant force est de reconnaître que ça n’a pas (encore ?) marché. Et je commence à avoir de gros doutes... Mais... m’en fous, dès que je suis en retraite je me fais réfugié économique et politique en Turquie ;-)
Chico