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M. Sarközy de Nagy-Bocsa continue d’aimer la France des riches.

par CD

Publie le lundi 20 février 2012 par CD - Open-Publishing
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Mensonge : M. Sarközy de Nagy-Bocsa continue d’aimer la France des riches.

"Nous ne serons jamais comme eux (la gauche, NDLR), nous n’avons pas d’ennemis dans le peuple français », a-t-il asséné." Il attaque ainsi la gauche qui entend réduire la finance et son pouvoir captateur et prédateur.

On saura le 21 si le PS de Hollande va s’opposer au MES, à la gouvernance oligarchique, ou faire le dos rond par simple abstention.

Deux choses concernant M. Sarközy de Nagy-Bocsa .

1 - Il veut soudainement aimer la France mais il n’a pas aimé tous les français et encore moins tous les résidents sur le territoire national. Le diviser pour régner est sa spécialité. Un maître ! Le discours de Grenoble de l’été 2010 n’est pas le discours de Marseille. Ce Sarkozy-là est haineux et n’aime ni les Roms ni les jeunes des quartiers populaires. Ses discours répété sur l’identité nationale ont stigmatisé les musulmans de France. Ses ministres de l’intérieur se sont disputés le titre de plus grand xénophobe du regime. La marque distinctive du sarkozysme c’est plus de racisme pour le peuple et plus d’argent pour les riches.

2 - En effet M. Sarközy de Nagy-Bocsa est le promoteur du bouclier fiscal qui pompe l’argent en bas pour le distribuer en-haut. Le contraire de la justice fiscal . Il a permis l’enrichissement des très riches comme jamais un Président de la République l’avait fait. Et il continue avec la défense des grands créanciers de la dette.

Aimer la France, c’est reconstruire l’Etat social et ses services publics.
Aimer la France c’est donner le droit de vote aux résidents étrangers durablement installés sur le territoire national.
Aimer la France, c’est penser aux générations futures et aller vers l’écosocialisme.

Excuser de le dire ainsi : Sarko est petit, trop petit pour faire de si grandes choses !
Il est arrivé Président par erreur. Le casting est terminé. Dehors !

 Le 29 février, nous diront non à l’austérité en France et en Europe

 Le 29 février nous diront non à la gouvernance oligarchique de l’Union européenne.

Nous voulons plus de démocratie et le développement des droits sociaux.

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